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Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

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Dernières acquisitions  | enregistrements trouvés : 7

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- 256
Cote : A-319

Pour la première fois depuis des décennies, nos mondes sont devenus plus petits, mais pour beaucoup, les limitations de voyage ont favorisé une nouvelle appréciation des vacances régionales. Êtes-vous prêt et disposé à vous désintoxiquer numériquement ? Laissez la ville derrière vous, déconnectez-vous, reconnectez-vous à vous-même et à la nature, et retombez amoureux du monde à travers les pages de Stay Wild .

Suivez-nous au cœur des bois dans un voyage qui présente de nouvelles façons de s'évader dans le paysage vaste et éclectique de l'Europe. En mettant l'accent sur les voyages respectueux de l'environnement, Stay Wild met en lumière des endroits où les voyageurs curieux et conscients peuvent se reposer et se ressourcer. Des imposantes cabanes dans les arbres, des cabanes compactes, des péniches, des yourtes et des mobil-homes qui vous permettent de cuisiner vos repas en plein air pendant que le feu de camp scintille, ce livre présente l'étonnante diversité et les qualités enrichissantes des voyages alternatifs.
Pour la première fois depuis des décennies, nos mondes sont devenus plus petits, mais pour beaucoup, les limitations de voyage ont favorisé une nouvelle appréciation des vacances régionales. Êtes-vous prêt et disposé à vous désintoxiquer numériquement ? Laissez la ville derrière vous, déconnectez-vous, reconnectez-vous à vous-même et à la nature, et retombez amoureux du monde à travers les pages de Stay Wild .

Suivez-nous au cœur des bois dans ...

ARCHITECTURE ; CABANE ; HABITATION INSOLITE ; TEXTE EN ANGLAIS

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- 221
Cote : ESA-170

Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes ?
Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ?
À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ».
À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité.
Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à ...

ENTRETIEN ; NON-FICTION ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE ; CAMPAGNE ; CLASSES POPULAIRES ; RURAL ; MONDE RURAL ; ETHNOLOGIE

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V

- 125
Cote : ESA-171

La gauche perd les campagnes électorales, c’est entendu. Mais elle perd aussi la campagne de France, où sa bannière devient un repoussoir. À mesure que le Rassemblement national se normalise, c’est la gauche qui y est diabolisée, devenant une élite qui impose un modèle de vie, des donneurs de leçons qui, depuis les métropoles, expliquent comment il faut manger, se loger ou se déplacer. Certes, la gauche n’a jamais été à l’aise dans les territoires ruraux, mais elle avait auparavant une place qui, aujourd’hui, s’étiole au point que le divorce paraît consommé entre les « bobos » des villes et les classes populaires des campagnes. Fin de l’histoire ? Non, tous ne veulent pas ­renoncer, et Rémi Branco en fait partie. Au-delà d’un état des lieux lucide sur la disparition de la gauche dans le monde rural, l’auteur de ce livre propose des pistes de réconciliation, convaincu que la gauche et la ruralité ont un avenir en commun.
La gauche perd les campagnes électorales, c’est entendu. Mais elle perd aussi la campagne de France, où sa bannière devient un repoussoir. À mesure que le Rassemblement national se normalise, c’est la gauche qui y est diabolisée, devenant une élite qui impose un modèle de vie, des donneurs de leçons qui, depuis les métropoles, expliquent comment il faut manger, se loger ou se déplacer. Certes, la gauche n’a jamais été à l’aise dans les ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES

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V

- 160
Cote : URB-244

Prenez la ville du Moyen Âge, remplacez le mur d’enceinte par le périphérique, et vous avez la ville contemporaine ! Pourtant, la ville bientôt sans limites engloutit la campagne, écartelée entre ses fondements médiévaux et l’émergence des mégapoles. Tel un piéton amoureux de la cité médiévale, Jacques Le Goff nous en livre les clés pour appréhender l’époque de rupture urbaine qui est la nôtre.
À travers quatre thèmes, l’historien chemine au cœur des fonctions de la ville. L’innovation et l’échange, la sécurité, le pouvoir et l’esthétique urbaine aboutissent à une interrogation sur la fin de la ville. Inquiet devant nos villes dévitalisées, transformées en musée, Jacques Le Goff veut pourtant croire au dynamisme urbain, fort de son amour des cités médiévales.

- La ville innovante, théâtre d'égalité et fête d'échange (21)
- La ville en sécurité, les biens protégés et le bien commun (67)
- Le pouvoir à la ville, l'idéal du bon gouvernement (91)
- La fierté de la ville, urbanisme et invention de la beauté (115)
- Conclusion, la fin de la ville ou la ville sans fin (139)
Prenez la ville du Moyen Âge, remplacez le mur d’enceinte par le périphérique, et vous avez la ville contemporaine ! Pourtant, la ville bientôt sans limites engloutit la campagne, écartelée entre ses fondements médiévaux et l’émergence des mégapoles. Tel un piéton amoureux de la cité médiévale, Jacques Le Goff nous en livre les clés pour appréhender l’époque de rupture urbaine qui est la nôtre.
À travers quatre thèmes, l’historien chemine au ...

VILLE ; ARCHITECTURE MEDIEVALE ; URBANISME ; HISTOIRE ; HISTOIRE GENERALE

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V

- 288
Cote : URB-245

Depuis longtemps, Jean-Christophe Bailly s'intéresse à la ville. Il s'y promène, y rêve, l'observe et l'analyse. Il en a le souci, et le désir. Les textes ici réunis vont de l'approche théorique (la ville comme langage et comme mémoire, la tension utopique de l'espace) à des considérations plus concrètes, notamment sur la politique de la ville et la question des banlieues. Sans que jamais ne soit abandonnée une approche plus sensible, qui fait la part belle à la promenade comme méthode : cela même à quoi les lecteurs du Dépaysement ont été familiarisés. Défini comme un devenir illimité, aux bords de plus en plus imprécis, le phénomène urbain est abordé comme un énorme puzzle dont toutes les pièces ne coïncident pas toujours forcément entre elles, ne serait-ce qu'à cause de l'écart entre les « pièces montées » de l'architecture et le bricolage de la ville en train de s'inventer et se réécrire sans fin.

- Enjeu (11)
- La grammaire générative des jambes (19)
- Pas loin d'Arcueil (41)
- Echantillons (47)
- Passage des heures, passage des noms (61)
- Paris, la mémoire en chantiers (69)
- Passé simple (85)
- L'appel des coulisses (99)
- Le propre des villes (115)
- Fin des dortoirs ? (123)
- Utopia povera (137)
- La diction de l'architecture (155)
- La phrase urbanie (171)
- La ville buissonnière (183)
- Sur les délaissés parisiens (201)
- Retour aux allées (217)
- Le Brooklyn de James Agee (239)
- Pour une architecture réintégrée (245)
- Trois visions (265)
Depuis longtemps, Jean-Christophe Bailly s'intéresse à la ville. Il s'y promène, y rêve, l'observe et l'analyse. Il en a le souci, et le désir. Les textes ici réunis vont de l'approche théorique (la ville comme langage et comme mémoire, la tension utopique de l'espace) à des considérations plus concrètes, notamment sur la politique de la ville et la question des banlieues. Sans que jamais ne soit abandonnée une approche plus sensible, qui fait ...

RECITS ; LITTERATURE GENERALE ; BIOGRAPHIE ; ESTHÉTIQUE ; VILLE ; URBANISME ; PHILOSOPHIE ; ARCHITECTURE

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V

- 800
Cote : URB-246

Bordeaux m'a procuré le plein épanouissement. C'est dans cette ville, "ma" ville, que j'ai le sentiment d'avoir agi le plus concrètement, d'avoir fait vraiment changer les choses, d'avoir servi.

Ce que je voudrais dans ce livre, c'est d'abord lancer au lecteur une invitation au plaisir : le plaisir d'une déambulation au coucher du soleil le long des quais de la Garonne ; le plaisir d'aller "bruncher" un dimanche dans l'espace Darwin ; celui d'accompagner ses enfants au jardin public pour applaudir le Guignol Guérin ; le plaisir de s'asseoir à l'une des innombrables terrasses de café à l'écart de la circulation automobile, place de la Comédie, place Pey-Berland, place Camille-Jullian... Le plaisir de goûter un petit blanc sec avec quelques huîtres du banc d'Arguin après avoir fait ses courses aux Capus. Et tant d'autres moments rares.

Je voudrais surtout créer une contagion : celle de "l'esprit bordelais".
Bordeaux m'a procuré le plein épanouissement. C'est dans cette ville, "ma" ville, que j'ai le sentiment d'avoir agi le plus concrètement, d'avoir fait vraiment changer les choses, d'avoir servi.

Ce que je voudrais dans ce livre, c'est d'abord lancer au lecteur une invitation au plaisir : le plaisir d'une déambulation au coucher du soleil le long des quais de la Garonne ; le plaisir d'aller "bruncher" un dimanche dans l'espace Darwin ; celui ...

LITTERATURE GENERALE ; ROMAN ; ESSAI ; VILLE ; BORDEAUX ; REGIONALISMES ; DICTIONNAIRE

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- 103
Cote : P-259

La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux pour sa demeure située dans le bourg. Ce dernier transforme l'ancien logis en un château néo-gothique, véritable vitrine des produits de la fabrique familiale. Qelques années plus tard, son fils Gaston, spécialiste de la terre cuite émaillée, est chargé de la décoration intérieure de l'église paroissiale. Le domaine de Miremont, le château Dufaÿ et l'église ont été protégés au titre des monuments historiques respectivement en 1984, en 1993 et e, 2016.
Le château de Dufaÿ a été acheté par la commune en 1991 pour y installer la mairie. Les rares meubles dessinés par auguste Virebent, encore conservés au château, ont été protégés au titre des monuments historiques en 2018.
La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; ARTS DÉCORATIFS ; MIREMONT

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