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Documents  Editions du patrimoine - centre des monuments nationaux | enregistrements trouvés : 8

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Cote : P-018

Spectaculaires, les expositions universelles parisiennes ont marqué la mémoire collective et demeurent des témoins précieux de leurs époques. 185 photographies issues principalement des collections de la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine et des Archives nationales illustrent l'édification de bâtiments insolites et grandioses, pour beaucoup aujourd'hui disparus. Palais et pavillons se succèdent et ne se ressemblent pas. Du palais de l'Industrie de 1855 en passant par le quai des Nations de 1900, sur lequel chaque pays dispose de son propre pavillon, jusqu'aux emblématiques pavillons de l'URSS et de l'Allemagne nazie se faisant face en 1937, de l'invention de l'électricité, qui révolutionne les mises en scènes et autorise les visites en nocturne, aux féeries lumineuses de 1937, chaque exposition se dévoile et se révèle unique. Bien qu'éphémères, les expositions successives ont profondément transformé le paysage parisien et son développement urbanistique et nous ont légué quelques monuments qui font aujourd'hui la fierté des parisiens et la spécificité de la capitale, tels la tour Eiffel, le Grand et le Petit Palais, le pont Alexandre-III, les palais de Chaillot et de Tokyo. Un voyage architectural dans le temps, au fil des Expositions universelles de 1855, 1867, 1878, 1889 et 1900 mais aussi de celles de 1925, 1931 et 1937, expositions non universelles mais qui, en raison de leur caractère historique ou artistique majeur, restent indissociables des expositions universelles. Huit rendez-vous pour suivre l'évolution des innovations techniques, s'émerveiller des prouesses architecturales du XIXe siècle et détecter les nouvelles formes
Spectaculaires, les expositions universelles parisiennes ont marqué la mémoire collective et demeurent des témoins précieux de leurs époques. 185 photographies issues principalement des collections de la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine et des Archives nationales illustrent l'édification de bâtiments insolites et grandioses, pour beaucoup aujourd'hui disparus. Palais et pavillons se succèdent et ne se ressemblent pas. Du palais de ...

ARCHITECTURE ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE

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Cote : P-002

Claude Nicolas Ledoux (1736-1806), architecte du roi. Créateur inspiré du siècle des Lumières, bâtisseur visionnaire, utopiste et écrivain d'inspiration maçonnique, l'architecte Claude Nicolas Ledoux exerça d'abord son art avec succès comme ingénieur et dans le domaine privé sous le règne de Louis XV. Protégé de Mme du Barry, il édifia - outre de nombreux hôtels particuliers - le pavillon de Louveciennes, le château de Bénouville, celui de Maupertuis et réalisa la décoration du Café militaire. Puis, architecte du roi, il construisit sous Louis XVI la saline d'Arc-et-Senans commandée par Louis XV avant sa mort et les barrières de Paris ; en province, avec la construction du théâtre de Besançon, il fit progresser la réforme des lieux de spectacle. Tombé en disgrâce à la Révolution, il fut incarcéré à la Force en 1793. Empêché d'exercer, il commence la rédaction de L'Architecture considérée sous le rapport de l'art, des mœurs et de La législation. Ce texte, superbement illustré de projets grandioses qui rendent compte de la surprenante modernité de sa vision, offre à la postérité toute l'étendue de la puissance créatrice de Ledoux et une solide réflexion sur l'implication sociale et politique de l'architecture. Lors des réformes urbanistiques de Paris au XIXe siècle, ses constructions furent pour les trois quarts détruites. En s'appuyant sur ce qu'il reste encore actuellement de ses édifices, sur les estampes de ses projets et réalisations ainsi que sur ses écrits, qui témoignent de ses aspirations, cet ouvrage propose de retracer le parcours du grand novateur humaniste que fut Ledoux à travers une étude approfondie de son œuvre. Cette étude s'accompagne de celle, indissociable, du contexte historique particulièrement mouvementé dans lequel Ledoux vécut et s'articule autour d'une analyse sensible de la question du progrès des arts.

Daniel Rabreau, historien de l'art, est spécialiste de l'art urbain, de l'architecture, de la sculpture et de l'iconographie monumentale des XVIIIe et XIXe siècles, mais également des institutions et des échanges artistiques dans leurs rapports avec la théorie de l'art au siècle des Lumières. Auteur de nombreuses publications, il est actuellement professeur à l'université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne où il a assuré durant six ans la...
Claude Nicolas Ledoux (1736-1806), architecte du roi. Créateur inspiré du siècle des Lumières, bâtisseur visionnaire, utopiste et écrivain d'inspiration maçonnique, l'architecte Claude Nicolas Ledoux exerça d'abord son art avec succès comme ingénieur et dans le domaine privé sous le règne de Louis XV. Protégé de Mme du Barry, il édifia - outre de nombreux hôtels particuliers - le pavillon de Louveciennes, le château de Bénouville, celui de ...

; TEMPLE ; SALINE ; royale ; THÉÂTRE ; UTOPIE ; poesie ; classique ; REVOLUTION ; MONUMENTS ; roi ; arts ; ARCHITECTE ; HISTOIRE

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Cote : P-007

Louis Pierre (1764-1846) et Victor Baltard (1805-1874). Victor Baltard, célèbre auteur des Halles de Paris, et son père Louis-Pierre Baltard, important théoricien du néoclassicisme et de l'architecture des prisons, finalement l'un et l'autre méconnus, n'avaient jamais fait l'objet de monographies. Bien que leurs personnalités et leurs œuvres soient dissemblables, ils illustrent tous deux une certaine conception culturelle et intellectuelle de l'architecture, par leurs constructions comme par leurs publications et leurs activités d'enseignement. Qu'ils se réfèrent à l'Antiquité ou à la Renaissance - toujours à l'Italie -, ils appartiennent à ces générations qui ont fondé les types de l'architecture publique moderne. Cet ouvrage, richement illustré de photographies originales et largement fondé sur l'exploitation des archives familiales et de documents inédits, révèle un Louis-Pierre violemment polémiste, pédagogue doctrinaire, mais aussi artiste sensible, renommé comme graveur, qui s'est battu toute sa vie pour construire et vainement confronté à tous les concours, avant de réaliser le palais de justice de Lyon dont le chantier commence alors qu'il a soixante et onze ans. Victor, fils de son père, a facilement cumulé tous les honneurs (grand prix, membre de l'Institut, architecte en chef de la Ville de Paris). Ingénieux constructeur de Saint-Augustin et bien sûr des Halles centrales, il a encore été l'habile décorateur des fêtes du second Empire et le consciencieux restaurateur des églises médiévales parisiennes.

Architecte et historien, Pierre Pinon a publié une vingtaine d'ouvrages dont L'Hospice de Charenton, 1823-1886) (Mardaga, 1989), Paris, biographie d'une capitale (Hazan, 1999), Places et parvis de France (Imprimerie nationale, 1999), Atlas du Paris haussmannien (Parigramme, 2002) et Les Plans de Paris (La Passage, 2004). Il enseigne à l'école d'architecture de Paris-Belleville et est partiellement en délégation à l'institut national d'histoire de l'art.
Louis Pierre (1764-1846) et Victor Baltard (1805-1874). Victor Baltard, célèbre auteur des Halles de Paris, et son père Louis-Pierre Baltard, important théoricien du néoclassicisme et de l'architecture des prisons, finalement l'un et l'autre méconnus, n'avaient jamais fait l'objet de monographies. Bien que leurs personnalités et leurs œuvres soient dissemblables, ils illustrent tous deux une certaine conception culturelle et intellectuelle de ...

ARCHITECTURE ; HALLE ; ÉGLISE ; ARCHITECTE ; PATRIMOINE

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- 280
Cote : ESA-059

La critique architecturale est fréquemment accusée de tous les maux. On dénonce la crise permanente dont elle serait victime. On regrette les absences régulières dont elle se rendrait coupable. Face à la réalité des productions architecturales, urbaines et paysagères, on se prend même à fustiger les insuffisances de cette critique qui n'assumerait pas les responsabilités qui sont les siennes. Depuis longtemps, en France comme à l'étranger, le constat est sévère. Mais le " Dossier" central de cette livraison des Cahiers se propose de le dépasser. Placé sous la responsabilité scientifique de Kenneth Frampton et Hélène Jannière, il suggère plutôt de décrypter cet objet complexe qu'est la critique architecturale. Pour ce faire, il rassemble ici les contributions internationales de Michele Bonino, Ulrich Conrads, Pierre-Alain Croset, Jacques Lucan, Manuel Martin-Hernândez, Suzanne Stephens, qui s'interrogent chacune avec rigueur sur ce qu'il en est des temps et lieux du " projet critique ". La rubrique " Varia " de ce numéro propose un article sur les évolutions de la programmation architecturale et urbaine élaboré par Jodelle Zetlaoui-Léger. Dans la rubrique " Héritage ", on lira une des premières analyses sur la vie dans les grands ensembles due à René Kaës. La rubrique " Sans frontières " se nourrit d'une contribution toute récente de Bernardo Secchi sur les échelles de la recherche et du projet. L'actualité de la recherche et les notes de lecture viennent comme d'habitude compléter la présente livraison des Cahiers.
La critique architecturale est fréquemment accusée de tous les maux. On dénonce la crise permanente dont elle serait victime. On regrette les absences régulières dont elle se rendrait coupable. Face à la réalité des productions architecturales, urbaines et paysagères, on se prend même à fustiger les insuffisances de cette critique qui n'assumerait pas les responsabilités qui sont les siennes. Depuis longtemps, en France comme à l'étranger, le ...

SOCIOLOGIE URBAINE ; MOBILITÉ SOCIALE

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- 260
Cote : ESA-060

Le développement durable connaît aujourd'hui un réel succès, tant international que local, dans les espaces urbains notamment. Cette notion floue se rapporte à des énoncés, à des pratiques et à des expériences très diverses, qui ont en commun la transversalité des enjeux, compte tenu de la diversité des acteurs et des échelles d'action impliqués (le bâti, la ville, l'agglomération, la métropole). Comment communique-t-on alors sur la «ville durable» ? À quels instruments et dispositifs techniques recourt-on pour concrétiser puis évaluer les projets ? Dans quels dispositifs participatifs s'insèrent ces initiatives ? Quels «modèles» d'action repère-t-on d'une ville à l'autre et comment se diffusent-ils ? Explorant ces pistes et les multiples connexions entre les questions environnementales, sociales et économiques, voire culturelles, cet ouvrage propose une analyse sociologique des dynamiques du développement durable urbain à partir d'un travail comparatif d'ampleur incluant six métropoles françaises : Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes et Toulouse. Couplant une enquête empirique fine et la mobilisation d'un important corpus théorique, le tableau dressé, à la fois distancié, clair et nuancé, offre un outil de référence qui faisait défaut jusque là.
Le développement durable connaît aujourd'hui un réel succès, tant international que local, dans les espaces urbains notamment. Cette notion floue se rapporte à des énoncés, à des pratiques et à des expériences très diverses, qui ont en commun la transversalité des enjeux, compte tenu de la diversité des acteurs et des échelles d'action impliqués (le bâti, la ville, l'agglomération, la métropole). Comment communique-t-on alors sur la «ville ...

ANALYSE URBAINE ; SOCIOLOGIE ; SOCIOLOGIE URBAINE

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- 140
Cote : P-130

L'ABBAYE DE CLUNY
- Un patrimoine en cercles concentriques (10)
- Cluny 2010, Gunzo et Hézelon : les enjeux d’une mise en valeur (12)
- Cluny sous les feux de l’archéologie du bâti : les campagnes de fouilles et d’études, 2006-2011 (18)
- Cluny 2010 : le projet Hézelon, une mise en valeur patrimoniale tournée vers le public (22)
- Un nouveau parcours de visite (28)
- La médiation à l’abbaye de Cluny, l’utilisation du numérique (40)
- Le mobilier archéologique mis au jour à Cluny (41)
- Le mobilier archéologique géré par l’Etat : statut, inventaire et conservation (42)
- Les satuts du mobilier issu des fouilles (43)
- Le projet du secteur sauvegardé de Cluny : entre sauvegarde et mise en valeur (44)
- Le plan de sauvegarde et de mise en valeur de Cluny (45)
- Cluny, une ville romane et gothique bien vivante (47)
- Les bâtiments du haras national (48)
- Le restaurant de l’École nationale supérieure d’arts et métiers (Ensam) (49)

AUTRES CHANTIERS
- La Maison carrée de Nîmes : une intervention séculaire (50)
- La Maison carrée de Nîmes : Le contexte historique des différentes campagnes de restauration (52)
- Le chantier de la Maison carrée de Nîmes (54)
- La restauration des sculptures de la Maison carré de Nîmes (58)
- La restauration de la Porte noire de Besançon (60)
- Entre Grégoire et Guizot, la naissance de la restauration moderne (62)
- La restauration des sculptures de la Porte noire de Besançon (64)
- La restauration du tombeau et de la chapelle des enfants royaux de la cathédrale de Tours (66)
- Oise, le Portement de Croix retrouvé du retable de Rochy-Condé (70)
- Villennes-sur-Seine : la découverte d’un carton de tapisserie inédit réalisé d’après un dessin de La Hyre (72)

L’hôtel de Sully, Paris IV
- La restauration des façades et des appartements de la duchesse de Sully (74)
- Remeubler l’appartement de la duchesse ? (78)
- L’évocation de l’ameublement d’origine : les partis pris (79)
- Une politique d’acquisition et de dépôt, complexe et raisonnée (80)
- La restauration et la restitution du mobilier (81)

- Protéger et valoriser les phares, patrimoine des littoraux français (82)

BREVES
- Découvertes sur les voûtes du choeur de la cathédrale de Beauvais, Oise (86)
- La restauration de l’horloge du Palais de justice, Paris I (88)
- La conception d’un meuble pour les tapisseries de la cathédrale d’Aix-en-Provence (89)
- Le centenaire de Fernand Pouillon (1912-1986) (90)
- Le centenaire d’André Chastel (1912-1990) (91)

LABORATOIRES / RECHERCHES
- Consolidation, restauration et conservation préventive (92)
- La consolidation et la protection des peintures murales. Une recherche permanente (94)
- Le dessalement des peintures murales et des décors architecturaux par compresses, une utopie ? (99)
- La conservation durable dans le domaine de la peinture murale. L’exemple du plafond peint sur bois de Zillis, Suisse (102)
- Bilan de la recherche et de la conservation des peintures murales en Autriche (104)
- Comparaison de différents consolidants organiques et minéraux. essais en laboratoire (108)
- La consolidation des structures peintes de la voûte de l’annexe de la bibliothèque du Sénat, Paris VI, étude et travaux (112)
- La consolidation des structures peintes de la voûte (114)

PROTECTIONS
Bureau de la protection des monuments historiques, sous direction des Monuments historiques et des Espaces protégés
- Objets classés au titre des monuments historiques en 2011 (118)
L'ABBAYE DE CLUNY
- Un patrimoine en cercles concentriques (10)
- Cluny 2010, Gunzo et Hézelon : les enjeux d’une mise en valeur (12)
- Cluny sous les feux de l’archéologie du bâti : les campagnes de fouilles et d’études, 2006-2011 (18)
- Cluny 2010 : le projet Hézelon, une mise en valeur patrimoniale tournée vers le public (22)
- Un nouveau parcours de visite (28)
- La médiation à l’abbaye de Cluny, l’utilisation du numérique (40)
- Le mobilier ...

ARCHITECTURE ; ABBAYE ; ART RELIGIEUX ; PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; MONUMENT HISTORIQUE

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- 210 p
Cote : A-274

Fernand Pouillon (1912-1986) est assurément la figure la plus romanesque du XXe siècle. Les fastes de sa vie privée et ses démêlés judiciaires ont défrayé la chronique. Ils ont aussi motivé l'écriture de deux ouvrages cultes, Les Pierres sauvages (1964) et Mémoires d'un architecte (1968), qui révèlent un remarquable conteur. L'oeuvre bâtie, elle, est exceptionnelle par son ampleur, ses qualités de composition et de construction. Mis au ban de sa profession pour avoir osé défier l'industrie du béton armé, Fernand Pouillon a démontré, en Provence d'abord, puis en Algérie, dans la région parisienne et en Iran, la compatibilité de la construction en pierre de taille et du logement de masse. La reconstruction du Vieux-Port de Marseille, la résidence Climat de France à Alger, celles du Point-du-Jour à Boulogne-Billancourt et du Parc à Meudon constituent aujourd'hui des repères importants dans l'histoire de l'habitat. Cet ouvrage propose un regard nouveau sur l'architecte et présente des projets, ignorés ou méconnus : maisons industrialisées, plan d'urbanisme de Créteil et projet d'extension de Saint-Tropez... Il apporte quantité d'éléments inédits sur l'oeuvre, qui se révèle plus que jamais d'une extraordinaire riche et d'une étonnante diversité.

- Le Savonarole de l'architecture (29)
- Immeubles (55)
- Grande opérations de logements (91)
- Industrie et halls (117)
- Equipements (133)
- Rénovation, restauration (149)
- Fronds de mer (163)
- Urbanisme (183)
- Répertoire des œuvres (193)
Fernand Pouillon (1912-1986) est assurément la figure la plus romanesque du XXe siècle. Les fastes de sa vie privée et ses démêlés judiciaires ont défrayé la chronique. Ils ont aussi motivé l'écriture de deux ouvrages cultes, Les Pierres sauvages (1964) et Mémoires d'un architecte (1968), qui révèlent un remarquable conteur. L'oeuvre bâtie, elle, est exceptionnelle par son ampleur, ses qualités de composition et de construction. Mis au ban de sa ...

ARCHITECTURE ; ARCHITECTE

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- 142
Cote : PAY-211

Attribué depuis 2004 par le ministère de la Culture, le label « Jardin remarquable » distingue aussi bien des jardins anciens que contemporains, des jardins d’origine royale que des jardins privés ou partagés, qu’ils soient protégés ou non au titre des monuments historiques.

Ce label est attribué par la DRAC, après avis d’un comité d’experts, pour une durée de cinq ans. Il est décerné aux jardins qui répondent à plusieurs critères de sélection parmi lesquels :
- la composition (organisation des espaces),
- l’intégration dans le site et la qualité des abords,
- les éléments remarquables (eau, fabriques, architectures végétales…),
- l’intérêt botanique,
- l’intérêt historique,
- l’accueil des publics et l’entretien dans le respect de la qualité environnementale.

Le label garantit aussi un programme de manifestations culturelles de qualité, gage de découverte pour chacun d’entre nous. Aujourd’hui, 450 parcs et jardins sont labellisés en France.

Ce guide est la première publication qui rassemble les jardins d'Occitanie labellisés et invite à de belles promenades à travers les 43 jardins de la région, dont les plus célèbres comme le domaine de Prafrance, dit Bambouseraie à Générargues, le plateau des Poètes à Béziers, le jardin japonais Pierre-Baudis à Toulouse, le jardin Massey à Tarbes, le jardin du palais de la Berbie à Albi ou encore les jardins secrets à Cahors.

Gard
- Jardin du Tomple, Concoules (30)
- Bambouseraie en Cévennes, Générargues (31)
- Jardins de Mazet, Monoblet (36)
- Jardins de la Fontaine, Nîmes (37)
- Jardin des Sambucs, Saint-André-de-Majencoules (42)
- Jardin des Oules, Saint-Victor-des-Oules (44)
- Jardins de l'abbaye Saint-André, Villeneuve-lès-Avignon (46)
Attribué depuis 2004 par le ministère de la Culture, le label « Jardin remarquable » distingue aussi bien des jardins anciens que contemporains, des jardins d’origine royale que des jardins privés ou partagés, qu’ils soient protégés ou non au titre des monuments historiques.

Ce label est attribué par la DRAC, après avis d’un comité d’experts, pour une durée de cinq ans. Il est décerné aux jardins qui répondent à plusieurs critères de sélection ...

PAYSAGE ; JARDIN ; OCCITANIE ; GUIDE ; JARDIN REMARQUABLE

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