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Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

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Documents  la découverte | enregistrements trouvés : 7

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- 221
Cote : ESA-170

Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes ?
Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ?
À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ».
À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité.
Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à ...

ENTRETIEN ; NON-FICTION ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE ; CAMPAGNE ; CLASSES POPULAIRES ; RURAL ; MONDE RURAL ; ETHNOLOGIE

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Cote : ESA-002

Ce guide s’adresse aux étudiants qui souhaitent entreprendre une enquête de terrain dans le cadre d’un mémoire (licence, maîtrise ou DEA) ou d’une thèse, dans des disciplines comme la sociologie, l’ethnologie, les sciences politiques. Il sera également très utile aux étudiants de DEUG de sociologie désireux d’approfondir leur « UV » de méthodes qualitatives et aux élèves d’écoles de journalisme.

SOCIOLOGIE ; SCIENCES HUMAINES

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- 125
Cote : URB-131

Au singulier, l'espace public désigne la sphère du débat politique, la publicité des opinions privées, qui participent à la vie commune en devenant publiques. Au pluriel, les espaces publics, depuis une trentaine d'années en France, correspondent au réseau viaire, rues et boulevards, places et parvis, parcs et jardins, bref à toutes les voies de circulation qui sont ouvertes au public. Les deux ont, par conséquent, à voir avec la communication. La mondialisation de l'économie capitaliste, la révolution communicationnelle, la mutation des supports médiatiques (appartenant à une poignée d'entreprises), le déploiement de la vidéosurveillance, la construction de murs, la privatisation de nombreux territoires urbains " effacent " les espaces publics, entravant ainsi l'émergence d'expériences alternatives. L'urbanisation planétaire, avec les centres commerciaux, le tourisme de masse, le mobilier urbain, les enclaves sécurisées, etc., transforme les usages des espaces publics et les uniformise. Pourtant, des résistances se manifestent (spectacles de rue, code de la rue, cyberrue, etc.) et associent aux espaces publics, gratuits et accessibles, l'esprit de la ville.
Au singulier, l'espace public désigne la sphère du débat politique, la publicité des opinions privées, qui participent à la vie commune en devenant publiques. Au pluriel, les espaces publics, depuis une trentaine d'années en France, correspondent au réseau viaire, rues et boulevards, places et parvis, parcs et jardins, bref à toutes les voies de circulation qui sont ouvertes au public. Les deux ont, par conséquent, à voir avec la communication. ...

URBANISME ; AMÉNAGEMENT URBAIN ; VILLE ; TISSU URBAIN ; ESPACE PUBLIC

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- 214
Cote : URB-147

Dans les années 2030, près de 90 % de la population française sera urbaine. Il est urgent de réfléchir à des modes de vie plus économes et plus respectueux de l'environnement et surtout d'expérimenter d'autres formes pour habiter et vivre ensemble. L'auteur propose un étonnant parcours à travers toutes les réalisations, même les plus modestes, réalisées ces dernières années et qui nous permettent de rêver à une autre ville : des maisons de retraite autogérées, des béguinages remis au goût du jour, des immeubles construits directement par des familles qui se sont regroupées, des fermes urbaines sur le toit des immeubles... Après les cités jardins qui voulaient faire la campagne à la ville, les éco-quartiers relèvent le pari.
Ce livre aidera tout ceux qui veulent habiter autrement à réfléchir à leur environnement et aux changements à y apporter. Certaines initiatives seront sans lendemain, d'autres deviendront vite banales. Il ne s'agit pas de faire le catalogue exhaustif des récentes innovations architecturales, mais plutôt d'apprendre à déplacer légèrement notre regard sur le quotidien, à sortir des sentiers battus en conservant une bonne dose d'optimisme et d'utopie. Tous ces projets instaurent de nouvelles appropriations et d'autres partages collectifs de l'espace grâce à des dispositifs ingénieux.
Dans les années 2030, près de 90 % de la population française sera urbaine. Il est urgent de réfléchir à des modes de vie plus économes et plus respectueux de l'environnement et surtout d'expérimenter d'autres formes pour habiter et vivre ensemble. L'auteur propose un étonnant parcours à travers toutes les réalisations, même les plus modestes, réalisées ces dernières années et qui nous permettent de rêver à une autre ville : des maisons de ...

URBANISME ; VILLE ; URBANISME DURABLE ; HABITAT GROUPÉ

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- 251 p
Cote : ESA-112

Les sociologues sont-ils des savants "neutres" détachés des contingences historiques et politiques, échappant aux lois de l'économique et du social ? Tandis qu'ils observent, analysent, mettent en lien toutes ces dimensions de la vie pour expliquer les autres, seraient-ils, de leur côté, tenus d'être des humains sans qualités pour faire une recherche de qualité ? Jusqu'à présent, la question de l'engagement du sociologue a essentiellement été posée sous l'angle de ses convictions idéologiques, de ses partis pris politiques ou de son militantisme, et jugée à l'aune de la "neutralité axiologique", selon laquelle un bon savant ne devrait pas porter de jugement de valeur dans son travail. Les contributions réunies ici permettent au contraire de comprendre comment les sociologues font leur travail alors même qu'ils sont engagés et font partie du monde social qu'ils analysent. Des sociologues de sexe, d'âge et d'école différents apportent une réflexion sur leurs manières concrètes de faire leur métier, en articulant pratiques de recherche et engagements politiques, institutionnels, professionnels, mais aussi biographiques et parfois même intimes. Loin de la représentation éthérée et asociale du chercheur enfermé dans sa tour d'ivoire, cet ouvrage donne à voir des travailleurs scientifiques immergés dans le monde social qu'ils ont pour "métier et vocation" d'analyser. En dévoilant des expériences vécues de ce travail intellectuel méconnu du grand public, il s'adresse à toutes celles et tous ceux qui veulent comprendre la réalité du métier de chercheur en sciences sociales.
Les sociologues sont-ils des savants "neutres" détachés des contingences historiques et politiques, échappant aux lois de l'économique et du social ? Tandis qu'ils observent, analysent, mettent en lien toutes ces dimensions de la vie pour expliquer les autres, seraient-ils, de leur côté, tenus d'être des humains sans qualités pour faire une recherche de qualité ? Jusqu'à présent, la question de l'engagement du sociologue a essentiellement été ...

SOCIOLOGIE ; SCIENCES SOCIALES

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- 294
Cote : URB-189

Le terme lotissement évoque parfois la « France moche » comme a pu le titrer un grand hebdomadaire français. Cette étude, initiée par le ministère de la Culture, permet de resituer la place de cette forme urbaine depuis la période expérimentale de l’après-guerre jusqu’à nos jours et de réfuter cette image souvent injuste. La sélection présentée dans ce livre offre une variété de contextes et d’organisations à même de révéler les caractéristiques et l’identité des lieux, de créer des paysages cohérents et d’avoir valeur d’exemple du point de vue de l’expérimentation de nouvelles dispositions spatiales ou d’implantation. La majorité des ensembles d’habitat individuel présentés dans cet ouvrage ont été conçus par des architectes, à l’exception de quelques-uns réalisés par des ingénieurs ou d’autres, en autoconstruction.

- Le lotissement d'habitation construit après la Seconde Guerre mondiale, un urbanisme pas si ordinaire (8)
- Portfolio, photographies de Cyrus Cornut, Sandrine Marc et Jürgen Nefger (27)
- Jean-Pierre Watel (1933-2016) : Les villes sont faites de maisons (46)
- La Roche-Clermault : Une expérience constructive «du côté des habitants» (52)
- Philippe et Martine Deslandes, des architectes-artisans (56)

92 Lotissements remarquables (63)
POUR L'OCCITANIE :
AVEYRON
- Résidence Roquebrune 1972-1975, Gages-Montrozier, Agence Jean-Claude Duprat- Jacques Hondelatte et Laurent Fagart architectes (222)
GARD
- Le Bosquet 1957-1959, Bagnols-sur-Cèze, Georges Candilis, Alexis Josic, Shadrach Woods architectes (224)
- La Garrigue 1962-1966, Castillon du Gard, Joseph Massota architecte (226)
- Le Puech du Teil 1968, Nîmes, Joseph Massota architecte (228)
HAUTE-GARONNE
- Hameau de Mange-Pommes 1983-1985, Ramonville-Saint-Agne, Christian Hélie, Florence Coder architectes (230)
- Les Mûriers 1971-1974, Toulouse Le Mirail, Georges Candilis architecte (232)
HERAULT
- Villas Vanille 2002-2005, Montpellier, SCP d'architecture Gilles Cusy / Michel Maraval architectes (234)

- Lotissements et paysage (264)
- Regards depuis l'intérieur des logements (274)
- Les Villages Vacances Familles (VVF) : Des lotissements de vacances entre tourisme social et créativité (282)
Le terme lotissement évoque parfois la « France moche » comme a pu le titrer un grand hebdomadaire français. Cette étude, initiée par le ministère de la Culture, permet de resituer la place de cette forme urbaine depuis la période expérimentale de l’après-guerre jusqu’à nos jours et de réfuter cette image souvent injuste. La sélection présentée dans ce livre offre une variété de contextes et d’organisations à même de révéler les caractéristiques ...

URBANISME ; PERMIS DE CONSTRUIRE ; MITOYENNETÉ ; BORNAGE ; SERVITUDE ; NUISANCE ; CONFLIT ; TROUBLE DE VOISINAGE ; DROIT PRIVÉ

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- 192
Cote : URB-230

La ville et les territoires sont sous tension. Il y a quinze ans, il était coutumier d’affirmer, face aux utopies urbaines déclarées et aux récits journalistiques enfl ammés, que l’essentiel de la ville du futur était déjà là. L’objectif était de faire « la ville sur la ville », de réhabiliter les centres, de prolonger raisonnablement (et avec talent) le canevas de la trame et des réseaux existants.
Nous savons aujourd’hui que cet urbanisme sage, équilibré, raisonné, n’est pas une réponse à la mesure du changement climatique et des mutations technologiques. Même si la démarche
de décarbonation pousse à la conservation de l’existant, l’ampleur des défis écologiques va produire à grande échelle des bouleversements spatiaux, sociaux et sociétaux que nous pressentons
sans pouvoir encore en mesurer la nature, le rythme et la dimension systémique. La conscience de l’incertitude invite à l’expérimentation, à la mobilisation des sciences et de l’imaginaire.
La recherche de réponses requiert une œuvre collective et une haute exigence, intégrant un éventail de disciplines de plus en plus large dans une combinatoire urbaine originale. Cette ligne
de conduite est depuis  celle d’Une Fabrique de la ville. Ce livre en est le refl et au travers de quelques exemples de missions urbaines et territoriales caractérisées par une temporalité
longue et une grande diversité des échelles et des lieux d’intervention. Avec une conviction constante : la ville est le bien commun par excellence.
Plus loin, plus proche : tenir le cap environnemental et climatique impose de regarder au loin dans le temps et dans l’espace et, simultanément, d’être plus attentif à la proximité, aux usages, aux conditions de vie, en particulier des personnes les plus vulnérables. Cette double injonction, rendre la ville durable et solidaire, est un grand défi démocratique.

Jean-Louis Subileau : Une Fabrique de la ville dans le flux de l’histoire urbaine et territoriale (7)

Sébastien Harlaux : Des stratégies territoriales engagées (26)

- Euralens : la renaissance d’un territoire en transition (46)
- Plaine Commune : planifier et accompagner les mutations urbaines (56)
- Nantes-Saint-Nazaire : adapter la métropole estuarienne au défi climatique (66)
- Faire évoluer les règles d’urbanisme (70)

Contrepoints
- Michel Desvigne (78)
- Pierre Veltz (79)

Anna Cremnitzer : Des projets urbains porteurs des transitions (80)

- Le Village olympique et paralympique : laboratoire post-carbone (98)
- Versailles Gally : un nouveau rapport ville-nature (106)
- Métropole européenne de Lille : révéler la Deûle (114)
- Les magasins généraux au Havre, patrimoine créatif et productif (118)

Contrepoints
- Emmanuelle Cosse (122)
- Marine Linglart (123)

Guillaume Hébert : L’art de la mise en œuvre (124)

- Le siège de l’AP-HP : réversibilité et adaptation (150)
- Le parc des Portes de Paris : une transformation dans la durée (154)
- Gare des Mines : apaiser l’infrastructure, faire la ville autour du paysage (160)
- Maine-Montparnasse, ouvrir sur la ville un centre commercial introverti (164)
- Abords de Notre-Dame de Paris : accueillir à l’heure du changement climatique (166)

Contrepoints
- Ido Avissar (174)
- Virginie Vial (175)

Conclusion
Plus loin, plus proche (176)
Sur une ligne de crête (181)
La ville et les territoires sont sous tension. Il y a quinze ans, il était coutumier d’affirmer, face aux utopies urbaines déclarées et aux récits journalistiques enfl ammés, que l’essentiel de la ville du futur était déjà là. L’objectif était de faire « la ville sur la ville », de réhabiliter les centres, de prolonger raisonnablement (et avec talent) le canevas de la trame et des réseaux existants.
Nous savons aujourd’hui que cet urbanisme ...

URBANISME ; ARCHITECTURE ; VILLE ; PROJET URBAIN ; URBANITÉ ; PLANIFICATION URBAINE ; VILLE DURABLE

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