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Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

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Documents  Seuil | enregistrements trouvés : 7

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Cote : ESA-017

La dimension cachée, c'est celle du territoire de tout être vivant, animal ou humain, de l'espace nécessaire à son équilibre. Mais chez l'homme, cette dimension devient culturelle. Ainsi, chaque civilisation a sa manière de concevoir les déplacements du corps, l'agencement des maisons, les conditions de la conversation, les frontières de l'intimité. Ces études comparatives jettent une lumière neuve sur la connaissance que nous pouvons avoir d'autrui et sur le danger que nous courons, dans nos cites modernes, à ignorer cette dimension cachée : peut-être est -ce moins le surpeuplement qui nous menace que la perte de notre identité.
La dimension cachée, c'est celle du territoire de tout être vivant, animal ou humain, de l'espace nécessaire à son équilibre. Mais chez l'homme, cette dimension devient culturelle. Ainsi, chaque civilisation a sa manière de concevoir les déplacements du corps, l'agencement des maisons, les conditions de la conversation, les frontières de l'intimité. Ces études comparatives jettent une lumière neuve sur la connaissance que nous pouvons avoir ...

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- 111
Cote : ESA-099

L’ouvrage analyse les effets territoriaux des crises qui frappent simultanément notre pays. Crise financière, crise de la dette, crise de l’énergie : chacune, à sa façon, joue et jouera fortement sur ledestin des territoires. Ces chocs et leurs impacts territoriaux ne sont pas conjoncturels, mais structurels. Ils signent la fin d’un cycle de trente ans.
Durant les grandes crises antérieures (1973, 1983, 1993), qui avaient accéléré les changements structurels dans le pays, les aides publiques avaient permis aux territoires de connaître un développement aussi inattendu qu’ignoré. Hier, les amortisseurs étaient plus puissants que les chocs.
Ce n’est plus le cas depuis 2008 avec la crise des finances publiques et sociales, ce qui, hier, avait porté et protégé les territoires les menace aujourd’hui. Une ère s’achève : celle de la croissance et du développement des territoires suburbains, fondée sur la consommation (elle-même financée par les déficits publics et l’endettement). De plus en plus, notre société sera assise sur une croissance faible le sevrage de la dépense publique et la restriction du crédit. L’énergie chère et la crise de l’économie résidentielle laissent prévoir un retour à la production et aux métropoles.
Les cartes se redistribuent. Les changements en cours remettent en cause le mode de développement qui prévalait depuis trente ans. En d’autres termes, le nouvel ouvrage de Davezies annonce et décrit la crise des années 2010-2020.
L’ouvrage analyse les effets territoriaux des crises qui frappent simultanément notre pays. Crise financière, crise de la dette, crise de l’énergie : chacune, à sa façon, joue et jouera fortement sur ledestin des territoires. Ces chocs et leurs impacts territoriaux ne sont pas conjoncturels, mais structurels. Ils signent la fin d’un cycle de trente ans.
Durant les grandes crises antérieures (1973, 1983, 1993), qui avaient accéléré les c...

ANALYSE ; SOCIÉTÉ ; ANALYSE ÉCONOMIQUE ; POLITIQUE DE LA VILLE

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- 286 p
Cote : RO-011

Les superbes aquarelles de Paul Hogarth, étonnantes de vie, évoquent les paysages toujours changeants et le charme de la vie en Provence. C'est un bel exemple de collaboration réussie entre un écrivain humoriste et un peintre. Lorsque Peter Mayle a fui la grisaille de Londres pour le soleil provençal et qu'il a acheté un vieux mas dans le Luberon, ses rêves pastoraux ont été quelque peu perturbés tout au long de l'année par les rafales glacées du mistral, les visiteurs exigeants, les averses diluviennes et les ouvriers absentéistes. Il a vite compris que la seule chose sur laquelle on pouvait compter, c'était le déjeuner servi avec une régularité militaire à midi. Ainsi, en hôte parfait, Peter Mayle nous prodigue un service après l'autre de personnages comiques, d'événements bizarres et de délices gastronomiques.
Les superbes aquarelles de Paul Hogarth, étonnantes de vie, évoquent les paysages toujours changeants et le charme de la vie en Provence. C'est un bel exemple de collaboration réussie entre un écrivain humoriste et un peintre. Lorsque Peter Mayle a fui la grisaille de Londres pour le soleil provençal et qu'il a acheté un vieux mas dans le Luberon, ses rêves pastoraux ont été quelque peu perturbés tout au long de l'année par les rafales glacées ...

ROMAN ; ARCHITECTURE ; PROVENCE ; AMBIANCE ; PAYSAGE

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- extrait

Extraits photocopie de l'ouvrages : charpentiers, couvreurs, cloutiers

METIER D'ART ; PROFESSION ; OUTIL

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- 240 p
Cote : RO-017

Aimez-vous le vert ? À cette question les réponses sont partagées. En Europe, une personne sur six environ a le vert pour couleur préférée ; mais il s’en trouve presque autant pour détester le vert, tant chez les hommes que chez les femmes. Le vert est une couleur ambivalente, sinon ambiguë : symbole de vie, de sève, de chance et d’espérance d’un côté, il est de l’autre associé au poison, au malheur, au Diable et à ses créatures. Le livre de Michel Pastoureau retrace la longue histoire sociale, artistique et symbolique du vert dans les sociétés européennes, de la Grèce antique jusqu’à nos jours. Il souligne combien cette couleur qui a longtemps été difficile à fabriquer, et plus encore à fixer, n’est pas seulement celle de la végétation, mais aussi et surtout celle du Destin. Chimiquement instable, le vert a symboliquement été associé à tout ce qui était instable : l’enfance, l’amour, la chance, le jeu, le hasard, l’argent. Ce n’est qu’à l’époque romantique qu’il est définitivement devenu la couleur de la nature, puis celle de la santé, de l’hygiène et enfin de l’écologie. Aujourd’hui, l’Occident lui confie l’impossible mission de sauver la planète.
Aimez-vous le vert ? À cette question les réponses sont partagées. En Europe, une personne sur six environ a le vert pour couleur préférée ; mais il s’en trouve presque autant pour détester le vert, tant chez les hommes que chez les femmes. Le vert est une couleur ambivalente, sinon ambiguë : symbole de vie, de sève, de chance et d’espérance d’un côté, il est de l’autre associé au poison, au malheur, au Diable et à ses créatures. Le livre de ...

ROMAN ; COULEUR ; LITTÉRATURE

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- 256
Cote : ESA-152

Saviez-vous que les objectifs de « neutralité carbone » reposent largement sur des technologies qui n’existent pas ? Que la destruction d’une zone naturelle peut être « compensée » par l’investissement dans un produit financier ? Que l’on ne produira jamais assez d’hydrogène « vert » pour remplacer le pétrole ? Alors que l’enjeu écologique est décisif, nous avons un besoin urgent de clarifier les débats sur le sujet. Le greenwashing est ce qui nous en empêche. Évoquant tour à tour un verdissement de façade, la récupération d’un discours environnementaliste vidé de sa substance, la mise en place d’innovations aux effets « écologiques » douteux, il biaise le débat public et empêche des choix démocratiques éclairés.
Fort de ses vingt-quatre entrées : croissance verte, économie circulaire, énergies décarbonées, dématérialisation, politiques publiques, nucléaire, transition, véhicule propre, ville durable… ce manuel d’autodéfense intellectuelle permet d’appréhender le greenwashing dans toute son ampleur. Trente-cinq scientifiques et spécialistes de ces questions révèlent les fausses promesses, les illusions rassurantes et les formes d’enfumage qui nous enferment dans des trajectoires insoutenables. Un outil essentiel pour ouvrir la voie aux bifurcations nécessaires.

- Du verdissement de façade au verrouillage de l'avenir : formes et fonctions du greenwashing (11)
- Agriculture durable : comment la nocivité de l'agriculture industrielle est-elle dissimulée ? (35)
- Anthropocène : l'écomodernisme pour piloter la catastrophe écologique ? (44)
- Biodiversité : à qui profite le flou ? (53)
- Compensation : notre impact sur la biosphère peut-il être l'objet d'un jeu comptable ? (61)
- Construction écoresponsable : le grand gâchis des normes environnementales ? (69)
- Croissance verte : la raison économique peut-elle faore l'économie de la raison ? (76)
- Dématérialisation : le monde numérique est-il un paradis virtuel ou un bagne industriel ? (85)
- Développement durable : jusqu'à quand va-t-on perpétuer la religion du Progrès ? (93)
- Eco-citoyen (écocitoyen) : changer les individus sans repenser la société ? (101)
- Economie circulaire : recycler la promesse d'infini ou prendre au sérieux les limites écologiques ? (108)
- Ecopsychologie : simple développement personnel ou combat culturel ? (116)
- Energie décarbonée : mangeons-nous assez de frites, pour voyager en avion ? (122)
- Finance verte : financer la transition ou financiariser la nature ? (135)
- Nationalisme vert : peut-on concilier nationalisme et écologie ? (143)
- Nature humaine : l'être humain est-il écocidaire par nature ? (150)
- Neutralité carbone : quand la baignoire déborde, le plus simple n'est-il pas de fermer le robinet ? (157)
- Nucléaire : un avenir à la fois plus chaud et plus radioactif ? (164)
- Politiques publiques : en matière d'écologie, l'Etat peut-il autre chose que se payer de mots ? (173)
- Prise de conscience : une incantation au service des pollueurs ? (183)
- Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) : peut-on moraliser les joueurs sans changer les règles du jeu économique ? (191)
- Tourisme : quelle empreinte pour visiter le monde de manière "responsable" ? (199)
- Transition : évoluer vers un monde soutenable ou relancer les illusions du développement durable ? (205)
- Véhicule propre : changer de voiture pour changer le monde ? (215)
- Villes durables : les métropoles peuvent-elles verdir autre chose que leurs façades ? (224)
Saviez-vous que les objectifs de « neutralité carbone » reposent largement sur des technologies qui n’existent pas ? Que la destruction d’une zone naturelle peut être « compensée » par l’investissement dans un produit financier ? Que l’on ne produira jamais assez d’hydrogène « vert » pour remplacer le pétrole ? Alors que l’enjeu écologique est décisif, nous avons un besoin urgent de clarifier les débats sur le sujet. Le greenwashing est ce qui ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; GUIDE ; NEUTRALITE CARBONE ; ECO-BLANCHIMENT ; ARGUMENTATION ECOLOGIQUE

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- 352
Cote : URB-228

La ville de demain va-t-elle définitivement reléguer les villes du passé au musée du patrimoine historique ? N'est-il pas, au contraire, possible d'intégrer villes, centres et quartiers anciens dans la vie quotidienne de l'ère électronique, de les rendre à des usages qui ne soient pas ceux de l'industrie culturelle ?
A ce problème, devenu sociétal, Gustavo Giovannoni, une des figures majeures de l'urbanisme italien, apporte une réponse positive qui associe tradition urbaine et techniques de pointe. Réponse qui exige de repenser à la fois les rapports de l'urbanisme avec l'architecture et la formation des architectes. Réponse d'un grand anticipateur qui s'adresse aujourd'hui aux praticiens autant qu'à leurs partenaires dans l'aménagement du territoire, les élus et les citoyens.

L'urbanisme face aux villes anciennes
Dissonances et accords (33)

Caractéristiques des villes anciennes (45)

Caractéristiques des villes modernes (89)
- la ville en tant qu'organisme social (97)
- la ville en tant qu'organisme cinématique (113)
- la ville en tant qu'organisme esthétique (138)

Principes et phases des plans régulateurs (177)
- le caractère global des plans régulateurs (177)
- le développement des villes (183)

La question des centres anciens (195)
- les conditions d'hygiène (201)
- les questions économiques dans les centres anciens (204)
- le mouvement dans les villes anciennes (207)
- les problèmes esthétiques dans les villes anciennes (210)

La greffe des quartiers nouveaux sur le tronc ancien (221)
- la solution annulaire (221)
- le déplacement du centre urabin (224)
- localisation et greffe des quartiers extérieurs (229)
- extension de la ville par diffusion dans les banlieues (233)
- cités satellites (234)

Plans de développement et politique d'urbanisme (241)

Exemples de villes italiennes (251)
- Rome (251)
- Florence (259)
- Cagliari (262)
- Pise (263)

L'aménagement interne des quartiers anciens : les voies traversantes (267)

La mise en valeur des noyaux internes : théorie de l'éclaircissage (285)
- le quartier du Salicotto à Sienne (304)
- le quartier de la Renaissance à Rome (305)

Les associations d'aménagement (317)

Normes, procédures et lois nouvelles (321)
La ville de demain va-t-elle définitivement reléguer les villes du passé au musée du patrimoine historique ? N'est-il pas, au contraire, possible d'intégrer villes, centres et quartiers anciens dans la vie quotidienne de l'ère électronique, de les rendre à des usages qui ne soient pas ceux de l'industrie culturelle ?
A ce problème, devenu sociétal, Gustavo Giovannoni, une des figures majeures de l'urbanisme italien, apporte une réponse positive ...

URBANISME ; PATRIMOINE URBAIN ; VILLES ANTIQUES ; VILLES MEDIEVALES ; RÉSEAUX URBAINS ; QUARTIERS ANCIENS ; ITALIE ; ARCHITECTURE ; CONSERVATION DU PATRIMOINE ; RESTAURATION DU PATRIMOINE ; VILLE

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