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Centre de ressources documentaires
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Documents  MONTPELLIER | enregistrements trouvés : 13

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- 95
Cote : P-220

Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine et la botanique. Un paradis pour l'esprit humaniste de Daniel Jarry qui évoque les maîtres aussi habiles en médecine qu'en botanique ou en anatomie et démontrant l'interdépendance entre l'homme et la nature. Après plus de quatre siècles d'existence, malgré les soubresauts de l'histoire et les difficultés budgétaires, il demaure une institution bien vivante associant recherche et sauvegarde du patrimoine.
Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; JARDIN DES PLANTES

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- 160
Cote : P-231

Le musée Fabre, un ensemble bâti chargé d'histoires mais hier encore plutôt disparate et peu adapté à une muséographie raisonnée, attendait son essentiel renouveau.

C'est aujourd'hui chose faite - à l'issue de quatre années d'études et de travaux - et c'est même avec beaucoup de dignité qu'il livre dorénavant à ses visiteurs ses lettres de noblesse recouvrées. Depuis le 3 février 2007, le musée Fabre est en effet entré dans la modernité - sans pour autant y perdre son âme. Si tous les fleurons de l'architecture passée ont été conservés, révélés même, c'est encore avec subtilité qu'ils ont été intégrés à une architecture contemporaine privilégiant la fluidité et la liberté du parcours muséographique.

Un parcours qui présente comme point d'orgue un écrin de verre et de lumière au traitement radical entre minimalisme et abstraction.

Un parcours témoin d'un travail partagé entre les protagonistes de ce projet tout à la fois architectural et culturel - les architectes des agences bordelaise (Brochet, Lajus et Pueyo) et montpelliéraine (Atelier d'architecture Emmanuel Nebout), le conservateur Michel Hilaire, le peintre Pierre Soulages... Un parcours offert à la lecture dans toute sa générosité.
Le musée Fabre, un ensemble bâti chargé d'histoires mais hier encore plutôt disparate et peu adapté à une muséographie raisonnée, attendait son essentiel renouveau.

C'est aujourd'hui chose faite - à l'issue de quatre années d'études et de travaux - et c'est même avec beaucoup de dignité qu'il livre dorénavant à ses visiteurs ses lettres de noblesse recouvrées. Depuis le 3 février 2007, le musée Fabre est en effet entré dans la modernité - sans ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; MUSÉE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; MONTPELLIER ; ARCHITECTE ; RESTAURATION ; RESTRUCTURATION DE BÂTIMENT

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Cote : PEV-137

Guide pour mieux connaître les arbres des parcs, des places et des rues.

ARBRE ; ARBRE D'ALIGNEMENT ; PATRIMOINE VÉGÉTAL ; MONTPELLIER ; OCCITANIE

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- 79 P
Cote : P-156

Parmi les ouvrages fantômes de l'histoire monumentale de Montpellier, édifices disparus ou projets inaccomplis brille d'un éclat tout spécial la cathédrzale Saint-Louis, voulue tout de suite après la reprise en main de Montpellier par l'autorité royale.
Cet édifice d'échelle colossale aurait occupé le point le plus haut de la colline montpelliéraine, l'espace de l'actuelle place de la Canourgue. Sa coupole aurait culminé à 44 mètres au-dessus du sol. Non loin du palais du Présidial que l'on élevait au même moment pour accueillir les cours souveraines, et en même temps que la citadelle que l'on était en train de bâtir au flanc oriental de la ville, la cathédrale aurait constitué le troisième signe monumental de la reconquête royale et catholique de cette ville rebelle.
Finalement la chose ne se fit pas. Ou du moins, fut arrêtée après deux ans de travaux et d'énormes investissements financiers. Et l'on résolut de se rabattre sur la vieille église du collège Saint-Benoît, d'en restaurer les structures violentées et lacérées pendant les troubles religieux et de s'en contenter pour cathédrale sous le vocable opportunément papiste de Saint-Pierre.
Parmi les ouvrages fantômes de l'histoire monumentale de Montpellier, édifices disparus ou projets inaccomplis brille d'un éclat tout spécial la cathédrzale Saint-Louis, voulue tout de suite après la reprise en main de Montpellier par l'autorité royale.
Cet édifice d'échelle colossale aurait occupé le point le plus haut de la colline montpelliéraine, l'espace de l'actuelle place de la Canourgue. Sa coupole aurait culminé à 44 mètres au-dessus du ...

PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; MONTPELLIER ; PATRIMOINE ; CATHÉDRALE ; HERAULT

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- 87 p
Cote : P-189

Selon la tradition, saint Roch, né à Montpellier au XIV siècle, donne ses biens aux pauvres avant de partir en pélerinage à Rome, qu'il délivrera de la peste. A sa mort, son culte se propage rapidement en Europe où il est invoqué contre la peste et les maladies contagieuses. La renaissance de son culte à Montpellier, à la suite de l'épidémie de choléra de 1854, est à l'origine d'une dévotion populaire grandissante et du projet de construction d'une église monumentale, soutenu par le curé de Saint-Roch l'abbé Recluz et le maire de Montpellier David-Jules Pagézy. Célèbre aussi pour les œuvres d'art qu'elle renferme, c'est aujourd'hui l'église la plus visitée de la ville de Montpellier.
Selon la tradition, saint Roch, né à Montpellier au XIV siècle, donne ses biens aux pauvres avant de partir en pélerinage à Rome, qu'il délivrera de la peste. A sa mort, son culte se propage rapidement en Europe où il est invoqué contre la peste et les maladies contagieuses. La renaissance de son culte à Montpellier, à la suite de l'épidémie de choléra de 1854, est à l'origine d'une dévotion populaire grandissante et du projet de construction ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; ÉGLISE ; MONTPELLIER

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MasCobado : Habitat participatif à Montpellier | PUCA Novembre 2016

Documentation

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Cote : URBA-167

Deux bâtiments bioclimatiques à l’architecture ciselée ; vingt-trois logements personnalisés et déclinés selon une grande diversité de typologies ; trois statuts d’occupation ; une salle polyvalente, des buanderies, une terrasse, trois chambres d’amis partagées : l’opération MasCobado relève d’une programmation toute professionnelle… pourtant menée par des « amateurs ».
Ce sont en effet les futurs habitants, une poignée de montpelliérains convaincus par les vertus de l’habitat participatif, qui ont mené de bout en bout le projet. Assistés par une société de conseil spécialisée et d’AMO sélectionnés par le Plan urbanisme construction architecture dans le cadre du programme Logement Design pour tous, ils ont découvert et se sont approprié des notions complexes pour composer leur habitat.
Deux bâtiments bioclimatiques à l’architecture ciselée ; vingt-trois logements personnalisés et déclinés selon une grande diversité de typologies ; trois statuts d’occupation ; une salle polyvalente, des buanderies, une terrasse, trois chambres d’amis partagées : l’opération MasCobado relève d’une programmation toute professionnelle… pourtant menée par des « amateurs ».
Ce sont en effet les futurs habitants, une poignée de montpelliérains ...

URBANISME ; OPÉRATION PROGRAMMÉE D'AMÉLIORATION DE L'HABITAT ; HABITAT PARTICIPATIF ; MONTPELLIER ; HABITAT - LOGEMENT ; HABITAT GROUPÉ

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- 91
Cote : PATR-187

Guide illustré avec un itinéraire pratique pour visiter à la suite tous les anciens hôtels de la ville

PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; HÔTEL PARTICULIER ; MONTPELLIER ; OCCITANIE

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- 103
Cote : P-242

Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, a été relevé avec finesse et élégance par l'Atelier d'Architecture Philippe Prost. Révélant le génie du lieu et dialoguant avec les décors historiques, quatre grands décors de plafonds ont été confiés à des artistes d'envergure internationale, continuant ainsi le dialogue entre art et architecture et l'alliance entre œuvre patrimoniale et création contemporaine.


L'hôtel Richer de Belleval, un monument historique (8)

Le monument historique : histoire et restauration
Du palais de Guilhem VI à l'hôtel de ville (16)
La place de la Canourgue et la fontaine des Licornes (33)
A comme Architecture (34)
La restauration de l'hôtel Richer de Belleval (38)

L'architecture et son décor : restauration et création
Redécouverte et restauration des grands décors des salles d'apparat (66)
Une fondation pour l'art contemporain (86)
Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER

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- 103
Cote : P-243

L'université de médecine de Montpellier a célébré ses 800 ans le 17 août 2020
C'est la plus ancienne écle universitaire de médecine du monde, créée le 17 août 1220, par le cardinal Conrad d'Urach, légat apostolique du pape Honorius III, qui concède à "l'universitas medicorum" ses premiers statuts. Mais dès 1181 Guilhem VIII, seigneur de Montpellier avait accordé le droit d'exercer et d'enseigner la médecine. Née d'une volonté politique, l'université de médecine s'est developpée grâce au partage des cultures médicales arabes, juives et chrétiennes, dans un esprit humaniste et scientifique relayé au travers des siècles.
Reflet du prestige de cette institution multiséculaire, son patrimoine architectural, artistique et scientifique est exceptionnel. Monuments et collections conservent la mémoire de cette longue histoire que cet ouvrage invite à découvrir.

La fondation de l'université de médecine de Montpellier (10)
Mémoire du savoir et patrimoine (28)
La médecine et les arts (40)

Panorama des monuments et collections
Le bâtiment historique de la faculté de médecine (54)
Le conservatoire d'anatomie (74)
Le jardin des plantes (82)
L'université de médecine de Montpellier a célébré ses 800 ans le 17 août 2020
C'est la plus ancienne écle universitaire de médecine du monde, créée le 17 août 1220, par le cardinal Conrad d'Urach, légat apostolique du pape Honorius III, qui concède à "l'universitas medicorum" ses premiers statuts. Mais dès 1181 Guilhem VIII, seigneur de Montpellier avait accordé le droit d'exercer et d'enseigner la médecine. Née d'une volonté politique, ...

MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; MEDECINE ; FACULTE DE MEDECINE

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- 103
Cote : P-246

La voie Domitienne est créée dès la conquête de la future Narbonnaise. Cette route stratégique qui relie l'Italie à l'Espagne sous domination romaine depuis la fin des guerres puniques est aménagée en effet en 118 avant J.-C. par le consul Cneus Domitius Ahenobarbus.
La reconnaissance de son tracé a intéressé les érudits depuis le XVIIe siècle et grâce à l'archéologie moderne, on connaît mieux les vestiges de l'axe viaire, son mode de construction, son impact sur les paysages parcourus ainsi que l'attractivité économique de cette via publica.
Plus de vingt ans après la parution du dernier ouvrage de synthèse, la documentation tirée des fouilles archéologiques récentes permet de mieux comprendre comment les concepteurs de la voie ont adapté leur ouvrage à la grande diversité de la plaine languedocienne, dotée d’un réseau complexe de cours d'eau à franchir, à la traversée des centres urbains, comme à la difficulté du passage des Pyrénées.
Les relais routiers constituent un équipement indispensable pour la mise en service de la voie. Leur étude apporte de nombreuses informations sur les voyageurs et les conditions de déplacement à l’époque antique. Le mobilier découvert nous éclaire sur les services offerts lors de l’étape, sur la restauration dans ces auberges de bord de route ou sur les activités commerciales et administratives pratiquées.

UNE VOIE ROMAINE EN LANGUEDOC
Aux origines de la voie Domitienne (12)
- Voies et chemins des Gaulois du Midi
- De la voie Héracléenne à la voie Domitienne

La route-monument : itinéraires et tracé privilégié (18)
- En suivant les itinéraires antiques
- Une grande route tracée dans la plaine languedocienne
- Viam refecere, viam restituere : évolution et réfection de la voie

L'anatomie de la voie : tracé et modelé (28)
- De la voie unique au faiseau de routes
- Tracé et profils en long de la voie
- Modelé et profils en travers de la voie

SUR LA ROUTE
Les établissements routiers (58)
- Le relais tardo-républicain de Marinesque à Loupian
- Ambrussum, une agglomération routière
- L'auberge de Roux/Moulinas, un lieu d'étape du Haut Empire

Voyage et voyageurs (72)
- Se restaurer sur la voie Domitienne
- Le monnayage, économie et circulation des hommes
- Objets perdus, objets trouvés sur la voie Domitienne

LE DEVENIR DE LA VOIE APRES LA PERIODE ANTIQUE
Déclassement et résilience d'un tracé (84)
La voie, protection et valorisation (88)
La voie Domitienne est créée dès la conquête de la future Narbonnaise. Cette route stratégique qui relie l'Italie à l'Espagne sous domination romaine depuis la fin des guerres puniques est aménagée en effet en 118 avant J.-C. par le consul Cneus Domitius Ahenobarbus.
La reconnaissance de son tracé a intéressé les érudits depuis le XVIIe siècle et grâce à l'archéologie moderne, on connaît mieux les vestiges de l'axe viaire, son mode de c...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; VOIE DOMITIENNE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHÉOLOGIQUE ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER

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- 79
Cote : P-247

En cette année 2021, il y a exactement 900 ans que la présence juive est attestée à Montpellier grâce au testament dicté en 1121 par Guilhem V. De l’existence de cette communauté quelques traces subsistent, notamment un exceptionnel édifice, le bain rituel juif ou mikveh identifié dès 1737 par le chanoine Pierre d’Aigrefeuille.
Depuis 1984, le service régional de l’archéologie est sollicité pour comprendre et préciser l’histoire et la fonction des vestiges présents dans la rue de la Barralerie afin d’assurer leur bonne conservation. Après des années d'enquête, ce Duo livre une synthèse des observations effectuées. L’ouvrage résulte d'un croisement des sources d’information. Il doit beaucoup à l’étude des travaux des historiens et des érudits, à la relecture des archives montpelliéraines et aragonaises, à l'analyse du bâti et, enfin, aux observations archéologiques.
Au-delà de l'étude du monument, l'enquête s'est poursuivie sur l'ensemble de la ville, livrant une image jusque-là inédite du cadre de vie des Juifs montpelliérains entre le XIIe siècle et 1394. Elle permet de redessiner les contours de leurs deux quartiers d’habitat et de proposer une localisation des édifices cultuels dans une trame viaire complexe. Hors du centre urbain, les cimetières juifs établis dans les faubourgs, et plus largement en périphérie de la ville, ont aussi été repérés.
À travers l'histoire des établissements juifs montpelliérains, c’est celle de la ville médiévale qui ressurgit. La vie de cette communauté avec ses édifices, ses quartiers et ses cimetières, laisse apparaître les enjeux du pouvoir exercé par les seigneurs, les Guilhem puis les rois d’Aragon et de Majorque, d'une part, et par l'évêque de Maguelone et, enfin, le roi de France, d'autre part. Ce travail peut aider les Montpelliérains d’aujourd’hui, à connaître, comprendre et mieux préserver le patrimoine de leur ville.
En cette année 2021, il y a exactement 900 ans que la présence juive est attestée à Montpellier grâce au testament dicté en 1121 par Guilhem V. De l’existence de cette communauté quelques traces subsistent, notamment un exceptionnel édifice, le bain rituel juif ou mikveh identifié dès 1737 par le chanoine Pierre d’Aigrefeuille.
Depuis 1984, le service régional de l’archéologie est sollicité pour comprendre et préciser l’histoire et la fonction ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; MOYEN-ÂGE

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- 88
Cote : P-249

Le 50ème anniversaire de l’acquisition de l’hôtel de Grave par l’État en 1971 pour installer les Affaires culturelles au centre historique de Montpellier est l’occasion d’évoquer l’histoire d’un monument d’exception situé à l’emplacement de l’ancienne résidence des évêques de Maguelone. L’appel à deux architectes de renom, Simon Levesville (vers 1600-1645) puis Charles-Augustin Daviler (1653-1701) permit à Jean de Sartre, conseiller à la Cour des comptes, aides et finances, à partir de 1633, puis à Louis de Vignes dès 1696, d’édifier ce qui deviendra au fil des siècles l’hôtel de Grave, l’une des plus belles demeures montpelliéraines. La transformation d’une habitation privée pour un usage public éclaire l’histoire institutionnelle du ministère des Affaires culturelles en région et l’aventure de la déconcentration culturelle qui aboutira à la création des Drac et leur évolution jusqu’à la fusion des régions.

Du palais épiscopal à l'hôtel des Espous (12)
- Le palais épiscopal (14)
- L'hôtel classique (22)
- Le temps des Espous (36)

De la demeure privée à l'udage public : décors, mobiliers historiques et aménagement (44)
- L'acquisition de l'hôtel de Grave par l'Etat (46)
- Le mobilier et l'ornement de l'hôtel de Grave (52)
- Le plan d'aménagement pour l'installation de la DRAC (60)

L'installation à l'hôtel de Grave du ministère de la Culture en région (72)
Le 50ème anniversaire de l’acquisition de l’hôtel de Grave par l’État en 1971 pour installer les Affaires culturelles au centre historique de Montpellier est l’occasion d’évoquer l’histoire d’un monument d’exception situé à l’emplacement de l’ancienne résidence des évêques de Maguelone. L’appel à deux architectes de renom, Simon Levesville (vers 1600-1645) puis Charles-Augustin Daviler (1653-1701) permit à Jean de Sartre, conseiller à la Cour ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; PALAIS EPISCOPAL ; HOTEL DE GRAVE

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