m
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard


F Nous contacter

Documents  Editions de l'Aube | enregistrements trouvés : 4

O
     

-A +A

Q


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 243
Cote : ESA-157

La fabrication des villes s'est toujours organisée à partir de la constitution d'un centre. Lieu des échanges, des pouvoirs et du sens (religieux, politique, identitaire), le centre rassemblait une multiplicité de fonctions et quelque chose de plus : l'innovation, l'imprévu, l'ouverture sur le monde et l'altérité, l'effervescence sociale et, dans les démocraties, le débat public. Le centre de la ville était aussi celui de la société. Aujourd'hui ces caractéristiques sont plus que jamais d'actualité et pourtant le centre s'est décomposé en une multitude de centralités. Dans une lecture urbanistique et socio-économique, ce livre interroge : à quoi sert le centre aujourd'hui, en particulier dans la production de différents types de valeurs ?

LE CENTRE
- Les figures du centre (25)
- Fonctions et suprafonctionnalité du centre (37)
- La puissance du centre (49)
- Urbanité et valeurs du centre (61)

LES CENTRALITES
- Le non-centre n'est plus ce qu'il était (81)
- L'intensité en court-circuit ? (91)
- Une puissance affaiblie ou dérivée (99)
- Des symboles à consommer et un imaginaire en miettes (109)
- Les produits de la décomposition du centre (121)

FAIRE CENTRE
- Faut-il faire centre ? (133)
- Centre, centralités, modes de vie (145)
- Centres et centralité de proximité (161)
- Urbanisme des lieux et augmentation des centralités (185)
- Travailler les centralités (197)
- L'avenir des centres anciens (211)

Conclusion (227)
La fabrication des villes s'est toujours organisée à partir de la constitution d'un centre. Lieu des échanges, des pouvoirs et du sens (religieux, politique, identitaire), le centre rassemblait une multiplicité de fonctions et quelque chose de plus : l'innovation, l'imprévu, l'ouverture sur le monde et l'altérité, l'effervescence sociale et, dans les démocraties, le débat public. Le centre de la ville était aussi celui de la société. Aujourd'hui ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; CENTRE VILLE ; VILLE ; URBANITÉ ; CENTRE ANCIEN

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 204
Cote : ESA-089

Jean Viard, "l'un des meilleurs connaisseurs du territoire
français" dresse un portrait de la France bien différent des images courantes. La
place du travail a évolué, la carte de France s'est transformée,
le tri social par origine ou par âge a accéléré. Les choix de
modes de vie priment de plus en plus sur les choix
professionnels, les vies s'allongent et sont "discontinues", la
mobilité virtuelle bouscule la mobilité physique, les extra
urbains repeuplent les campagnes... Oui, la France a changé, et
elle change tous les jours par une multitude de décisions
publiques, économiques, administratives, mais aussi privées,
familiales, professionnelles. Certes, tout le monde ne vit pas
ces changements de la même manière, mais il nous faut
renouer avec un récit commun qui dise l'individu face au
monde. La France de Jean Viard est une société du bonheur
privé et du malheur public, où nous vivons une véritable
dépression collective quand le politique est incapable de saisir
le changement, de l'impulser, de l'accompagner. Un souffle
d'air sérieux et documenté en période de crise.
Jean Viard, "l'un des meilleurs connaisseurs du territoire
français" dresse un portrait de la France bien différent des images courantes. La
place du travail a évolué, la carte de France s'est transformée,
le tri social par origine ou par âge a accéléré. Les choix de
modes de vie priment de plus en plus sur les choix
professionnels, les vies s'allongent et sont "discontinues", la
mobilité virtuelle bouscule la mobilité physique, les extra ...

MODE DE VIE ; SOCIOLOGIE ; SOCIÉTÉ

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 183 p
Cote : ESA-115

Les villes, et notamment leurs cours, sont loin d'avoir dit leur dernier mot. Entourées de banlieues, trop denses, trop congestionnées, trop polluées, trop violentes, les villes subissent la rude concurrence de périphéries de plus en plus lointaines qui captent désormais l'essentiel de la croissance démographique et attirent de nombreux grands équipements. Elles apparaissent souvent inadaptées aux enjeux d'une modernité éprise de liberté individuelle, de vitesse, de grands espaces et de qualité de vie. Dès lors, quel avenir peuvent-elles espérer ? S'appuyant sur de nombreuses expériences européennes et sur une grande connaissance des meilleurs spécialistes des enjeux urbains, Alain Cluzet propose, pour les villes centres et les villes traditionnelles qui constituent encore la structure des espaces urbanisés, un autre avenir que celui de simples lieux de mémoire, de témoignages d'un passé révolu. Il trace des pistes pour une réelle reconquête de villes à vivre, tant dans leur morphologie et leurs usages que dans leurs rapports sociaux. Un livre dont devraient s'emparer tous sociologues, urbanistes, architectes et décideurs de politiques urbaines d'habitat et de transport. Un livre pour ceux qui veulent vivre la ville, et la faire vivre.
Les villes, et notamment leurs cours, sont loin d'avoir dit leur dernier mot. Entourées de banlieues, trop denses, trop congestionnées, trop polluées, trop violentes, les villes subissent la rude concurrence de périphéries de plus en plus lointaines qui captent désormais l'essentiel de la croissance démographique et attirent de nombreux grands équipements. Elles apparaissent souvent inadaptées aux enjeux d'une modernité éprise de liberté ...

SOCIOLOGIE ; SCIENCES SOCIALES ; VILLE ; POLITIQUE URBAINE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 220 p
Cote : ESA-125

" Avant tout, je dis aux paysans que je les plains, sans la moindre condescendance. Ils font un métier difficile, encore plus difficile qu'il ne l'a été autrefois, même s'il est devenu aujourd'hui moins pénible, un des métiers les plus difficiles avec celui d'enseignant et celui de médecin. Ces trois-là œuvrent sur le long terme, ils aident les humains à se forger un avenir. Cependant, ils agissent dans un monde manœuvré par les hommes du court terme : le politique mobilisé par l'échéance électorale, le médiatique ébloui par l'actualité, le financier anxieux de prendre ses gains. Face à ces puissances, les paysans n'ont même plus l'avantage du nombre.
" Avant tout, je dis aux paysans que je les plains, sans la moindre condescendance. Ils font un métier difficile, encore plus difficile qu'il ne l'a été autrefois, même s'il est devenu aujourd'hui moins pénible, un des métiers les plus difficiles avec celui d'enseignant et celui de médecin. Ces trois-là œuvrent sur le long terme, ils aident les humains à se forger un avenir. Cependant, ils agissent dans un monde manœuvré par les hommes du court ...

SOCIOLOGIE ; ACTIVITES HUMAINES ; AGRICULTURE ; AGRICULTEUR

... Lire [+]

Z