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Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

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Documents  Textuel | enregistrements trouvés : 3

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V

- 160
Cote : URB-244

Prenez la ville du Moyen Âge, remplacez le mur d’enceinte par le périphérique, et vous avez la ville contemporaine ! Pourtant, la ville bientôt sans limites engloutit la campagne, écartelée entre ses fondements médiévaux et l’émergence des mégapoles. Tel un piéton amoureux de la cité médiévale, Jacques Le Goff nous en livre les clés pour appréhender l’époque de rupture urbaine qui est la nôtre.
À travers quatre thèmes, l’historien chemine au cœur des fonctions de la ville. L’innovation et l’échange, la sécurité, le pouvoir et l’esthétique urbaine aboutissent à une interrogation sur la fin de la ville. Inquiet devant nos villes dévitalisées, transformées en musée, Jacques Le Goff veut pourtant croire au dynamisme urbain, fort de son amour des cités médiévales.

- La ville innovante, théâtre d'égalité et fête d'échange (21)
- La ville en sécurité, les biens protégés et le bien commun (67)
- Le pouvoir à la ville, l'idéal du bon gouvernement (91)
- La fierté de la ville, urbanisme et invention de la beauté (115)
- Conclusion, la fin de la ville ou la ville sans fin (139)
Prenez la ville du Moyen Âge, remplacez le mur d’enceinte par le périphérique, et vous avez la ville contemporaine ! Pourtant, la ville bientôt sans limites engloutit la campagne, écartelée entre ses fondements médiévaux et l’émergence des mégapoles. Tel un piéton amoureux de la cité médiévale, Jacques Le Goff nous en livre les clés pour appréhender l’époque de rupture urbaine qui est la nôtre.
À travers quatre thèmes, l’historien chemine au ...

VILLE ; ARCHITECTURE MEDIEVALE ; URBANISME ; HISTOIRE ; HISTOIRE GENERALE

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y

- 112 p
Cote : A-273

Dans cet entretien, l'architecte Rudy Ricciotti, animé par un goût des mots et des formules qui saisissent les conventions à la gorge, bouscule les idées reçues. Il n'hésite pas à sabrer le "salafisme architectural" ambiant - ce minimalisme désincarné qui règne sur la création contemporaine -, la "pornographie réglementaire" d'une administration omnipotente, sans oublier la "fourrure verte", nouvelle doxa environnementale. Ce virtuose du béton, grand défenseur des savoirs-faire locaux, tient à expliciter ses combats armé de ses principales oeuvres : le Stadium de Vitrolles, le centre chorégraphique national d'Aix-en-Provence, le pont du Diable à Gignac, le musée Cocteau à Menton, le musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée à Marseille, le MuCEM... Il dresse ici un portrait sans concession de sa profession et de son enseignement. Un manifeste provocant et salutaire.
Dans cet entretien, l'architecte Rudy Ricciotti, animé par un goût des mots et des formules qui saisissent les conventions à la gorge, bouscule les idées reçues. Il n'hésite pas à sabrer le "salafisme architectural" ambiant - ce minimalisme désincarné qui règne sur la création contemporaine -, la "pornographie réglementaire" d'une administration omnipotente, sans oublier la "fourrure verte", nouvelle doxa environnementale. Ce virtuose du béton, ...

ARCHITECTURE ; ARCHITECTE ; ENTRETIEN ; MANIFESTE

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- 72
Cote : A-314

Ce dialogue réunit deux monstres de l’architecture en rien semblables mais qui partagent une conscience aigüe des pouvoirs et devoirs de l’architecte.
Paul Chemetov, l’aîné de l’architecture française, âgé de 92 ans, cultive une élégante et ferme sobriété quand Rudy Ricciotti, 68 ans, soigne son talent de pamphlétaire.
Le beau ? C’est le principal sujet, dont ils n’ont pas la même conception. Le beau pour Chemetov n’est ni exceptionnel ni extravagant, c’est celui du quotidien, du collectif et du social. Tandis que Ricciotti défend le récit architectural face à une « esthétique de supermarché » qu’il ne cesse de dénoncer.
Le brut, c’est le béton tant célébré par Ricciotti, mais c’est aussi l’archaïsme auquel ils se réfèrent tous deux.
Et qui sont les truands ? La bureaucratie gloutonne comme le suggère Ricciotti ? Ou ceux qui, d’après Chemetov, ne se soucient pas de l’argent dépensé ?
Le beau, le brut et les truands : chacun s’y reconnaîtra ou y reconnaîtra… les auteurs.
Ce dialogue réunit deux monstres de l’architecture en rien semblables mais qui partagent une conscience aigüe des pouvoirs et devoirs de l’architecte.
Paul Chemetov, l’aîné de l’architecture française, âgé de 92 ans, cultive une élégante et ferme sobriété quand Rudy Ricciotti, 68 ans, soigne son talent de pamphlétaire.
Le beau ? C’est le principal sujet, dont ils n’ont pas la même conception. Le beau pour Chemetov n’est ni exceptionnel ni ...

ARCHITECTURE ; ARCHITECTE ; EXPOSITION ; DIALOGUE

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