m
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard


F Nous contacter

Documents  DRAC Occitanie | enregistrements trouvés : 26

O

-A +A

Q


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y

- 103
Cote : P-259

La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux pour sa demeure située dans le bourg. Ce dernier transforme l'ancien logis en un château néo-gothique, véritable vitrine des produits de la fabrique familiale. Qelques années plus tard, son fils Gaston, spécialiste de la terre cuite émaillée, est chargé de la décoration intérieure de l'église paroissiale. Le domaine de Miremont, le château Dufaÿ et l'église ont été protégés au titre des monuments historiques respectivement en 1984, en 1993 et e, 2016.
Le château de Dufaÿ a été acheté par la commune en 1991 pour y installer la mairie. Les rares meubles dessinés par auguste Virebent, encore conservés au château, ont été protégés au titre des monuments historiques en 2018.
La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; ARTS DÉCORATIFS ; MIREMONT

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 79
Cote : P-209

Cette publication nous fait partager le mystère de la découverte d’une œuvre majeure, unique en Occitanie, un plafond peint conservé dans une maison de Montpellier inscrite au titre des Monuments historiques. Elle relate une épopée qui fait songer à celle de la tapisserie de la reine Mathilde.
L’histoire est plus jeune de deux siècles et nous renvoie au 31 décembre 1229, à l’époque des rois d’Aragon et représente la prise de l’île de Majorque, épisode essentiel de la Reconquista de la péninsule Ibérique par Jacques d’Aragon (1208-1276), comte de Barcelone, seigneur de Montpellier. Il s’engage dans un vaste projet d’extension de son domaine en reprenant les royaumes occupés par les musulmans d’al-Andalus.
Au cours de l’épopée, les seigneurs catalans, aragonais, languedociens, béarnais, provençaux, navarrais et français qui l’accompagnaient, trouvèrent leurs heures de gloire et de fortune. Ces peintures nous rappellent que Montpellier a appartenu successivement aux souverains aragonais puis majorquins entre 1204 et 1349.
Cette publication nous fait partager le mystère de la découverte d’une œuvre majeure, unique en Occitanie, un plafond peint conservé dans une maison de Montpellier inscrite au titre des Monuments historiques. Elle relate une épopée qui fait songer à celle de la tapisserie de la reine Mathilde.
L’histoire est plus jeune de deux siècles et nous renvoie au 31 décembre 1229, à l’époque des rois d’Aragon et représente la prise de ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 95
Cote : P-220

Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine et la botanique. Un paradis pour l'esprit humaniste de Daniel Jarry qui évoque les maîtres aussi habiles en médecine qu'en botanique ou en anatomie et démontrant l'interdépendance entre l'homme et la nature. Après plus de quatre siècles d'existence, malgré les soubresauts de l'histoire et les difficultés budgétaires, il demaure une institution bien vivante associant recherche et sauvegarde du patrimoine.
Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; JARDIN DES PLANTES

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 103
Cote : P-257

La collégiale Saint-Martin de Montpezat-de-Quercy a été protégé au titre des monuments historiques dès la première liste nationale établie en 1840. Cet édifice de pierre blanche qui marque le paysage des côteaux du Bas-Quercy est dû à la volonté d'un seul homme : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361, vice-chancelier de l'église, au service de quatre papes d'Avignon. La collégiale est un bel exemple d'architecture qui mêle à la fois la tradition constructive du Quercy aux innovations techniques développées dans la France du Nord et sur les bords du Rhône. Les bâtiments qui accueillaient les chanoines constituent un très rare exemple de ce type d'édifice médiéval conservé dans le Midi de la France. La collégiale abrite également un important trésor d'objets mobiliers : statues médiévales, tapisseries flamandes Renaissance, retables et tableaux des XVII, XVIII et XIX siècles.

SOMMAIRE

Une église dans la cité (6)
- Montpezat à l'époque médiévale (6)
- Des temps modernes à nos jours (12)

La collégiale aujourd'hui (18)

Un fondateur et une communauté (22)
- Avant l'église, un fondateur : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361 (22)
- Une église de la mémoire (26)
- Des chanoines pour l'éternité (30)
- Un quartier canonial unique (31)

L'histoire du monument (42)
- Un chantier homogène (42)
- Influences et originalité (48)
- Comme un fantôme : les décors peints (52)
- Les temps modernes et les restaurations des XIX et XX siècles (63)

Le trésor du cardinal (68)
- Gisants, sculptures et textiles médiévaux (68)
- La tenture de la vie de Saint-Martin : histoire et restaurations (85)
- Retables, tableaux et ornements, des temps modernes à la fin du XIX siècle (92)
La collégiale Saint-Martin de Montpezat-de-Quercy a été protégé au titre des monuments historiques dès la première liste nationale établie en 1840. Cet édifice de pierre blanche qui marque le paysage des côteaux du Bas-Quercy est dû à la volonté d'un seul homme : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361, vice-chancelier de l'église, au service de quatre papes d'Avignon. La collégiale est un bel exemple d'architecture qui mêle à la fois la tradition ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; COLLEGIALE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 95
Cote : P-224

Ouvrage fonctionnel favorisant les échanges et le transport, le pont est un monument emblématique d’un territoire, au fort pouvoir symbolique. Reliant les peuples de chaque côté des berges d’une rivière ou d’un ravin, il impressionne par sa mise en œuvre, fascine par son ingénierie et témoigne de l’effort millénaire de l’Humanité pour aménager son environnement. Son histoire est parfois auréolée de mystère, voire de folklore, comme l’illustre l’attribution courante d’un ouvrage d’art spectaculaire aux talents constructifs du Malin : ponts du diable de Saint-Jean-de-Fos, de Lagrasse, de Céret, etc.

La région Occitanie est marquée par une topographie et une hydrographie parfois tumultueuses ; elle a la particularité de compter près de 150 ponts protégés au titre des Monuments historiques ou labellisés "Architecture contemporaine remarquable". Certains, comme le pont Valentré de Cahors ou le pont Séjourné du Train Jaune, font partie des édifices iconiques de la région, objets de fierté locale reconnus à l’échelle internationale.
Ouvrage fonctionnel favorisant les échanges et le transport, le pont est un monument emblématique d’un territoire, au fort pouvoir symbolique. Reliant les peuples de chaque côté des berges d’une rivière ou d’un ravin, il impressionne par sa mise en œuvre, fascine par son ingénierie et témoigne de l’effort millénaire de l’Humanité pour aménager son environnement. Son histoire est parfois auréolée de mystère, voire de folklore, comme l’illustre ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; PONT ; DRAC ; PONT DU GARD ; VIADUC

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 62
Cote : P-229

Claude Charles Mazet 1908-2000 est un architecte de la Reconstruction, installé à Béziers, dont la production applique les principes de rapidité et d'efficacité caractéristiques de cette période. Inventeur du procédé de constructions préfabriquées Delta-J, il est lauréat d'un concours d'école prototype qu'il construit à Saint-Dionisy, Gard et Alignan-le-Vent, Hérault, deux édifices qui ont été labélisés "Architecture contemporaine remarquable" en 2015 et 2019. Particulièrement actif dans la région Occitanie dans les années 1950-1960, il applique son procédé aussi bien à des immeubles collectifs qu'à des villas ou des cliniques. Soucieux de proposer des solutions innovantes et pratiques, il invente également un bloc opératoire clé en main. Son travail, publié dans des revues nationales d'architecture prestigieuses, a été redécouvert grâce à l'étude menée par la DRAC sur l'architecture de la seconde moitié du XX siècle, en vue de la labéllisation "Architecture contemporaine remarquable".

Oeuvres répertoriées dans le Gard
- 1950, école primaire prototype à Saint-Dionisy
- 1952, douches municipales, rue du Mas à Saint-Dionisy
- 1953, villa Bénédittini, 62 avenue de Montaury à Nîmes
- 1956, clinique mutualiste, route d'Uzès à Nîmes
- 1956, villa Dufandéou, 19 rue Tour Magne à Nîmes
Claude Charles Mazet 1908-2000 est un architecte de la Reconstruction, installé à Béziers, dont la production applique les principes de rapidité et d'efficacité caractéristiques de cette période. Inventeur du procédé de constructions préfabriquées Delta-J, il est lauréat d'un concours d'école prototype qu'il construit à Saint-Dionisy, Gard et Alignan-le-Vent, Hérault, deux édifices qui ont été labélisés "Architecture contemporaine remarquable" ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; ARCHITECTE ; DRAC ; PATRIMOINE DU XX SIECLE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y

- 184
Cote : ART-027

Afin de promouvoir la création artistique, l’État met en place en 1951 le 1 % sur proposition du sculpteur audois René Iché (1897-1954). Ce projet prévoit la réalisation d’une œuvre décorative à hauteur de 1 % du coût de chaque construction scolaire. Héritage d’un projet de loi inauguré sous le Front populaire, ce dispositif national vise la promotion de l’art de son temps.

Entre 1951 et 2022, près de 900 œuvres sont réalisées par plus de 500 artistes dans toute la région Occitanie. Sculptures, peintures, tapisseries, mosaïques ou encore installations prennent place dans les établissements scolaires publics, de l’école maternelle à l’enseignement supérieur. Réalisées par des figures locales comme nationales parmi lesquelles Paul Belmondo, Alexander Calder, François Desnoyer, Hervé Di Rosa, Pierre Nocca ou Paule Pascal, ces œuvres constituent un vaste ensemble marqué par les grandes tendances de l’art des XXe et XXIe siècles.

Dans les années 1980, l’extension de la procédure aux autres constructions de l’État, puis à celles des collectivités territoriales, amplifie sa portée. Ces œuvres d’art font aujourd’hui partie du patrimoine.
Afin de promouvoir la création artistique, l’État met en place en 1951 le 1 % sur proposition du sculpteur audois René Iché (1897-1954). Ce projet prévoit la réalisation d’une œuvre décorative à hauteur de 1 % du coût de chaque construction scolaire. Héritage d’un projet de loi inauguré sous le Front populaire, ce dispositif national vise la promotion de l’art de son temps.

Entre 1951 et 2022, près de 900 œuvres sont réalisées par plus de 500 ...

UN POUR CENT ARTISTIQUE ; DRAC ; OCCITANIE ; PATRIMOINE ; SCOLAIRE ; ETABLISSEMENT SCOLAIRE ; ART

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- n° découverte duo jeux
Cote : P-227

Livret-jeux sur la cathédrale Saint-Etienne de Cahors pour enfants de 8-11 ans sur chacun des édifices cathédraux dont l'Etat est propriétaire.

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; PIERRE ; CATHÉDRALE ; MONUMENT ; JEUNE PUBLIC ; ENFANT ; SCOLAIRE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 103
Cote : P-225

Depuis son classement sur la première liste des Monuments historiques en 1840, l'abbaye de Moissac n'a cessé d'étre l'objet de tous les soins, l'attention de la municipalité et des services patrimoniaux se portant notamment sur son portail sud et son cloître. Durant des décennies, architectes, conservateurs et restaurateurs se ont succédé au chevet de ces chefs-d'œuvre de la sculpture romane.
Aujourd'hui, les reliefs de Moissac voient leur lisibilité comme leur conservation à long terme compromises. La récente étude préalable à la restauration a démontré le processus de dégradation en cours, dû à la contamination des pierres par des sels. La Conservation régionale des Monuments historiques d'Occitanie, la ville de Moissac et le Laboratoire de recherche des Monuments historiques ont décidé d'aborder les questions complexes liées à cette problématique et aux traitements à envisager dans le cadre d'une journée d'étude, organisée à Moissac le 19 octobre 2018.

L'ABBATIALE SAINT-PIERRE DE MOISSAC : QUELLES DÉGRADATIONS, QUELLES RESTAURATIONS ? (15)
- Historique de la dégradation du portail sud de de Moissac et des interventions en conservation-restauration (16)
- Présentation des résultats de l'étude diagnostique réalisée en 2017-2018 : bilan sanitaire et propositions d'interventions pour le portail sud et le cloître de Moissac (26)

L'EXTRACTION DES SELS DANS LA PIERRE : PRINCIPES ET EXPÉRIENCES (39)
- Panorama des pratiques de dessalement, l'exemple de l'Allemagne (40)
- Le dessalement par bain : méthodologie et recommandations pratiques (44)

RETOURS D'EXPÉRIENCES (53)
- La restauration de la façade de Notre-Dame-la-Grande à Poitiers (54)
- Le suivi post-restauration de Notre-Dame-la-Grande de Poitiers (58)
- La restauration du portail de l'abbaye Sainte-Marie de Ripoll en Catalogne (64)
- La restauration de la chapelle de Francesco Laurana dans l'ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Major à Marseille (72)

TABLE RONDE
- Dépose ou restauration in situ, quelles solutions pour Moissac ? (76)

POSTERS
- La restauration du retable sculpté de la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem de la cathédrale de Narbonne (90)
- La restauration de l'autel de Saint-Guilhem-le-Désert (92)
- La restauration de la tour-porche de l'ancienne abbatiale de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire (94)
- La restauration du porche scumpté de l'église Saint-Georges d'Ydes (96)
Depuis son classement sur la première liste des Monuments historiques en 1840, l'abbaye de Moissac n'a cessé d'étre l'objet de tous les soins, l'attention de la municipalité et des services patrimoniaux se portant notamment sur son portail sud et son cloître. Durant des décennies, architectes, conservateurs et restaurateurs se ont succédé au chevet de ces chefs-d'œuvre de la sculpture romane.
Aujourd'hui, les reliefs de Moissac voient leur ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; PIERRE ; ACTE DE COLLOQUE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y

- 79 p
Cote : P-206

Paule Pascal, née en 1932, entre à 15 ans à l’Ecole des beaux-arts de Nîmes puis à l’Ecole des beaux-arts de Paris, dans l’atelier du sculpteur Marcel Gimond de 1954 à 1958.
De retour à Nîmes, grâce au sculpteur et architecte Armand Pellier (1910-1989), elle travaille pour des oeuvres de grandes dimensions liées à l’architecture. Elle bénéficie de nombreuses commandes publiques et collabore avec les architectes les plus actifs du troisième quart du XXe siècle dans le Gard. Sur les chantiers d’Armand Pellier, elle réalise à Vauvert une frise et des piliers avec chevaux et taureaux de Camargue, des murs abstraits pour les agences du Crédit agricole, pour des villas des bas-reliefs, noyau d’escalier ou sculptures pour bassin. Pour Joseph Massota (1925-1989), elle sculpte un bas-relief en pierre du Pont du Gard sur le thème des moissons et des récoltes à la Maison de l’agriculture de Nîmes. Mais elle travaille également le béton moulé à l’église Saint-Dominique de Nîmes ou le métal avec un immense oiseau en tôle au lycée agricole de Rodilhan. Elle affectionne particulièrement le travail sur de grands murs qu’elle sculpte directement sur les chantiers, pour de nombreux immeubles nîmois et des résidences de la nouvelle station de Port Camargue. Elle réalise douze oeuvres au titre du 1% artistique dans des écoles, collèges, lycées du Gard, de l’Hérault, de l’ Aude et de Seine-Maritime, avec les architectes Chabanne, Chouleur, Agniel, Pagès, Catanèse, Pomier, faisant pour chaque lieu des propositions variées : rondes-bosses, petit théâtre de béton, lieu de rencontre animé, mur en tubulures… Paule Pascal envisage la sculpture non comme un art d’ornement, mais comme un art monumental intrinsèquement lié à l’architecture, elle reste durant toute sa carrière fidèle à l’emploi de la pierre du Pont du Gard, jaune et claire qu’elle traite dans un esprit abstrait et brutaliste. Plusieurs de ses oeuvres ont reçu le label « Patrimoine du XXe siècle ».
Paule Pascal, née en 1932, entre à 15 ans à l’Ecole des beaux-arts de Nîmes puis à l’Ecole des beaux-arts de Paris, dans l’atelier du sculpteur Marcel Gimond de 1954 à 1958.
De retour à Nîmes, grâce au sculpteur et architecte Armand Pellier (1910-1989), elle travaille pour des oeuvres de grandes dimensions liées à l’architecture. Elle bénéficie de nombreuses commandes publiques et collabore avec les architectes les plus actifs du troisième ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; PATRIMOINE DU XX SIECLE ; SCULPTEUR ; SCULPTURE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 111 p
Cote : P-208

La cathédrale est une référence, un objet particulièrement magique disait Roland Barthes : par sa grandeur matérielle d'abord, «combinaison miraculeuse entre force et légèreté», par sa situation au sein de la ville, mémoire urbaine avec son ancien palais épiscopal, ou son ancien hôtel-Dieu et enfin comme monument au sein de l'espace social, comme lieu de vie.
Cet ouvrage offre une synthèse architecturale des 36 cathédrales de la région auxquelles se rattachent notre histpoire et notre héritage patrimonial. Certaines ont abrité, sous leurs cloîtres, les plus célèbres écoles de l'Europe, toutes ont fait l'éducation religieuse et littéraire du peuple et ont été l'occasion d'un développement dans les arts sans égal.
Monument historique par excellence, chef-d'œuvre d'architecture, riche en trésors artistiques, la cathédrale est avant tout un lieu de rassemblement culturel, politique, social où se déroulent les évènements solannels. C'est un lieu de mémoire patrimonial en partage, à la fois symbole religieux, symbole de la ville et de la nation.
La cathédrale est une référence, un objet particulièrement magique disait Roland Barthes : par sa grandeur matérielle d'abord, «combinaison miraculeuse entre force et légèreté», par sa situation au sein de la ville, mémoire urbaine avec son ancien palais épiscopal, ou son ancien hôtel-Dieu et enfin comme monument au sein de l'espace social, comme lieu de vie.
Cet ouvrage offre une synthèse architecturale des 36 cathédrales de la région ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; CATHÉDRALE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 71
Cote : P-211

La cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Montauban conserve l'un des tableaux les plus célèbres de la région Occitanie, Le Vœu de Louis XIII de Jean-Auguste-Dominique Ingres 1780-1867.
À la demande des édiles locaux, ce tableau est commandé par l'Etat au peintre montalbanais et livré en 1826 dans la cathédrale de sa ville natale.
Reflet de la politique de dépôts de tableaux religieux du XIX siècle dont le Centre national des arts plastiques perpétue aujourd'hui la dynamique de création, à la mise en valeur de la cathédrale.
Le tableau a néanmoins dû quitter ses murs en septembre 2013 pendant des travaux de restauration des intérieurs. Il est revenu en février 2017 après une restauration riche en découvertes sur l'histoire matérielle de l'œuvre.
Cet ouvrage présente l'œuvre dans son contexte et ses différentes aventures jusqu'à sa restauration récente orchestrée par la Conservation régionale des monuments historiques.
La cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Montauban conserve l'un des tableaux les plus célèbres de la région Occitanie, Le Vœu de Louis XIII de Jean-Auguste-Dominique Ingres 1780-1867.
À la demande des édiles locaux, ce tableau est commandé par l'Etat au peintre montalbanais et livré en 1826 dans la cathédrale de sa ville natale.
Reflet de la politique de dépôts de tableaux religieux du XIX siècle dont le Centre national des arts plastiques ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; CATHÉDRALE ; MONTAUBAN ; DRAC ; RESTAURATION

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 87
Cote : P-212

Montpellier a conservé la mémoire de peintres célèbres, Sébastien Bourdon, Antoine et Jean Ranc, Jean Raoux, Hyacinthe Rigaud, Jean de Troy, qui animèrent la scène artistique languedocienne dans la seconde moitié du XVII siècle.
Parmi eux le montpelliérain Antoine Ranc 1634-1716 a laissé une œuvre importante disséminée essentiellement dans les églises de l'Hérault. Sa carrière se mesure à l'aune des œuvres conservées, patiemment mises au jour, redécouvertes, bien que cachées au regard par leur mauvais état de conservation. Le travail conjoint des historiens de l'art et des Monuments historiques a permis de retrouver, d'identifier, de classer et de restaurer nombre d'entre elles. Cet ouvrage présente l'état actuel de la connaissance sur cet artiste et met en lumière l'œuvre d'un peintre majeur en Languedoc au temps de Louis XIV.
Montpellier a conservé la mémoire de peintres célèbres, Sébastien Bourdon, Antoine et Jean Ranc, Jean Raoux, Hyacinthe Rigaud, Jean de Troy, qui animèrent la scène artistique languedocienne dans la seconde moitié du XVII siècle.
Parmi eux le montpelliérain Antoine Ranc 1634-1716 a laissé une œuvre importante disséminée essentiellement dans les églises de l'Hérault. Sa carrière se mesure à l'aune des œuvres conservées, patiemment mises au jour, ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; PEINTURE ; DRAC ; PEINTRE ; LOUIS XIV

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 72
Cote : P-216

Propriété de la ville de Montpellier, l'apothicairerie et la chapelle de l'Œuvre de la Miséricorde, forment un ensemble patrimonial qui occupe une place importante dans l'histoire de Montpellier et dans celle des institutions de bienfaisance et hospitalières. Ces bâtiments, dont le triple intérêt historique, architectural et artistique est clairement identifié par le classement au titre des Monuments historiques, conservent un ensemble de tableaux et de faïences du XVII au XIX siècle constituant une collection unique, encore en place dans son lieu d'origine. Il s'agit d'une source d'information exceptionnelle pour la connaissance et la mémoire du secours social comme pour l'histoire de l'art à Montpellier. Aujourd'hui, la Miséricorde est un des lieux les plus visités de la ville.
Propriété de la ville de Montpellier, l'apothicairerie et la chapelle de l'Œuvre de la Miséricorde, forment un ensemble patrimonial qui occupe une place importante dans l'histoire de Montpellier et dans celle des institutions de bienfaisance et hospitalières. Ces bâtiments, dont le triple intérêt historique, architectural et artistique est clairement identifié par le classement au titre des Monuments historiques, conservent un ensemble de ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 80
Cote : P-217

Ancrée au cœur de la Cité, dont elle constitue un des repères, l'ancienne cathédrale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse a été le siège du diocèse de Carcassonne, de sa fondation au VIème siècle jusqu'au lendemain de la Révolution Française.
Bien que constituée de deux parties distintes, une nef romane prolongée d'un lumineux ensemble chœur-transept de style gothique rayonnant, elle compose un monument médiéval d'une rare harmonie, restauré par l'architecte Viollet-le-Duc entre 1845 et 1867.
Si l'extérieur de l'édifice est marqué par l'empreinte du XIX siècle, qui lui a restitué gargouilles, couronnements et balustrades, le décor intérieur de l'ancienne cathédrale conserve un remarquable ensemble de vitraux, constitué entre les XIII et XVI siècles, et une statuaire médiévale de premier ordre.
Ancrée au cœur de la Cité, dont elle constitue un des repères, l'ancienne cathédrale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse a été le siège du diocèse de Carcassonne, de sa fondation au VIème siècle jusqu'au lendemain de la Révolution Française.
Bien que constituée de deux parties distintes, une nef romane prolongée d'un lumineux ensemble chœur-transept de style gothique rayonnant, elle compose un monument médiéval d'une rare harmonie, restauré par ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; CARCASSONNE ; CATHÉDRALE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 80
Cote : P-219

Le patrimoine est souvent considéré comme un reflet des valeurs et des représentations de la société. Cet ouvrage est le résultat d'une enquête ethnophotographique basée sur des entretiens portant sur des monuments d'Occitanie. Celle-ci repose sur le postulat que les « Gens d'ici » pris dans un rapport de proximité au patrimoine en sont devenus les guides, les gardiens, voire les porte-parole.
La dizaine de portraits de femmes et d'hommes interviewés sont révélateurs de l'émotion qu'inspire le patrimoine, de la passion à la détestation, de la connaissance à l'indifférence. Chaque portrait évoque la relation intime à un monument, produit d'une expérience particulière, souvent originale.
Le patrimoine est souvent considéré comme un reflet des valeurs et des représentations de la société. Cet ouvrage est le résultat d'une enquête ethnophotographique basée sur des entretiens portant sur des monuments d'Occitanie. Celle-ci repose sur le postulat que les « Gens d'ici » pris dans un rapport de proximité au patrimoine en sont devenus les guides, les gardiens, voire les porte-parole.
La dizaine de portraits de femmes et d'hommes ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; CARCASSONNE ; CATHÉDRALE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y

- 93
Cote : P-232

Cet ouvrage présente les créations architecturales du Gard et de l'Hérault ayant obtenu le label "Architecture contemporaine remarquable".
Après avoir mis l'accent sur les spécificités régionales que sont les caves coopératives viticoles et les stations balnéaires de la fin des années 1960, la recherche de la DRAC Occitanie s'est poursuivie de 2015 à 2018 par une étude raisonnée de la production architrcturale des années 1950-1985.
De nombreux bâtiments publics ainsi que des constructions privées ont été redécouverts et appréciés pour leur valeur historique ou artistique.
Cette étude a également révélè des architectes jusqu'alors méconnus ou oubliés. Les labellisations reconnaissent la qualité des œuvres de Guillaume Gillet, Pierre Vago, andré Wogenscky, André Gomis, Jean Le Couteur, Jean Balladur, François Lopez ou Ricardo Bofill, etc. Elles mettent également en lumière des créateurs locaux de différentes générations, peu connus du grand public comme Armand Pellier, Joseph Massota, Marcel Pigeire, Guy Guillaume ou Guy Grégori, à côté d'architectes bien établis comme Philippe Jaulmes, Jean-Claude Deshons ou encore François Fontès.
Cet ouvrage présente les créations architecturales du Gard et de l'Hérault ayant obtenu le label "Architecture contemporaine remarquable".
Après avoir mis l'accent sur les spécificités régionales que sont les caves coopératives viticoles et les stations balnéaires de la fin des années 1960, la recherche de la DRAC Occitanie s'est poursuivie de 2015 à 2018 par une étude raisonnée de la production architrcturale des années 1950-1985.
De nombreux ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; PATRIMOINE DU XX SIECLE ; GARD ; HERAULT ; ARCHITECTURE CONTEMPORAINE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 93
Cote : P-233

La région Occitanie est aujourd'hui dépositaire d'un grand nombre d'objets d'art islamique, dont la présence s'explique par plusieurs facteurs historiques. Le plus déterminant a été sa proximité avec l'Espagne musulmane, al-Andalus, qui a notamment favorisé l'introduction d'objets d'art dans les trésors d'églises.
C'est pour mettre en lumière ces aspects spécifiques du patrimoine régional qu'a été organisée le 14 septembre 2018 à la direction régionale des affaires culturelles Occitanie, et en partenariat avec le musée du Louvre, une journée consacrée aux arts de l'Islam dans le Sud-Ouest, dans le cadre de journées d'études coordonnées par le Réseau d'art islamique en France (RAIF).
Cette journée a permis de brosser un panorama des collections d'art islamique et de leurs modes d'acquisition dans la région, mais également dans le Nord de l'Espagne, afin d'illustrer la spécificité des relations entretenues entre le Sid-Ouest de la France et al-Andulus.
Cet ouvrage réunit la plupart des interventions de cette journée, enrichies de notices d'œuvres qui apportent un éclairage particulier sur certains des objets d'art islamique protégés au titre des monuments historiques ou conservés dans les collections de musées de France de la région.
La région Occitanie est aujourd'hui dépositaire d'un grand nombre d'objets d'art islamique, dont la présence s'explique par plusieurs facteurs historiques. Le plus déterminant a été sa proximité avec l'Espagne musulmane, al-Andalus, qui a notamment favorisé l'introduction d'objets d'art dans les trésors d'églises.
C'est pour mettre en lumière ces aspects spécifiques du patrimoine régional qu'a été organisée le 14 septembre 2018 à la direction ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; DRAC ; ISLAM

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- n° découverte duo jeux
Cote : P-234

Livret-jeux sur le plafond peint du château de Capestang, Hérault

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; MONUMENT ; JEUNE PUBLIC ; ENFANT ; SCOLAIRE ; CHÂTEAU ; PLAFOND PEINT

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 103
Cote : P-242

Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, a été relevé avec finesse et élégance par l'Atelier d'Architecture Philippe Prost. Révélant le génie du lieu et dialoguant avec les décors historiques, quatre grands décors de plafonds ont été confiés à des artistes d'envergure internationale, continuant ainsi le dialogue entre art et architecture et l'alliance entre œuvre patrimoniale et création contemporaine.


L'hôtel Richer de Belleval, un monument historique (8)

Le monument historique : histoire et restauration
Du palais de Guilhem VI à l'hôtel de ville (16)
La place de la Canourgue et la fontaine des Licornes (33)
A comme Architecture (34)
La restauration de l'hôtel Richer de Belleval (38)

L'architecture et son décor : restauration et création
Redécouverte et restauration des grands décors des salles d'apparat (66)
Une fondation pour l'art contemporain (86)
Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER

... Lire [+]

Z