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Documents  MétisPresses | enregistrements trouvés : 2

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- 248
Cote : ESA-154

Une ressource, une communauté et des règles de gouvernance établies afin de gérer équitablement la ressource: l’alliance de ces trois éléments constitue ce que l’on nomme aujourd’hui «le commun».

Nous assistons ces dernières années à une véritable explosion des expérimentations et des réflexions autour de ce thème, qui est devenu une référence centrale de la lutte et de l’action politique, sociale, économique et urbaine. Toutefois, si l’on passe de la notion générale à son application à des cas concrets, nous nous apercevons que peu de travaux sont consacrés à la place que prennent les communs dans la ville et à la manière dont ils contribuent à la transformation de ses formes matérielles.

Les communs sont des espaces d’actions collectifs, mais aussi des lieux et des formes spatiales et paysagères: il peut s’agir d’une cour africaine, de la cage d’escalier d’un immeuble collectif, d’une friche industrielle ou d’un potager urbain. Cet ouvrage étudie les modalités d’appropriation de ces espaces par celles et ceux qui les pratiquent et met en résonance l’approche des sciences sociales avec celle de l’urbanisme, pour tenter de répondre à la question: en quoi et sous quelles conditions les communs contribuent-ils à mettre en rapport harmonieux la cité et la ville, les formes matérielles et les modes d’habiter ?

DES COMMUNS AU TERRITOIRE (11)
- De la renaissance des communs aux communs urbains - Éléments de définition (13)
- Les sorcières, les communs et le care (23)
- Les communs, la cité et la ville (35)

CONTROVERSE : LE COMMUN COMME PRINCIPE D’ACTION (57)
- Le commun comme phénomène, comme concept et comme projet (59)
- Malentendus autour du commun (67)
- Réponse au commentaire de Mathieu Berger (59)

LES COMMUNS URBAINS COMME FORMES D’HABITER (75)
- Vies artisanales, habitation du territoire et communalité (77)
- Le foncier comme ressource commune et rapport social (91)
- Nourrir les villes par les communs. Filières d’acteurs et rapport au territoire (99)
- Communs et modes de vie (109)
- Les déchets urbains comme biens communs à Ouagadougou (117)
- Communs d’habitation et économie sociale (125)

MISE EN RÉCIT VIDÉOGRAPHIQUE DES COMMUNS URBAINS (143)

(R)APPORTS DES COMMUNS AU PROJET D’URBANISME ET DE PAYSAGE (159)
- Les communs comme opérateurs d’espace public (161)
- Prospective des modes de vie : vers un retour des mobilités collectives ? (181)
- Communs et paysage (193)
- Commun agro-urbain et ville-jardin. Généalogie croisée d’une troisième voie (205)
- Repenser l’urbanisme au prisme des communs. Une «troisième voie» pour la ville diffuse ? (217)
Une ressource, une communauté et des règles de gouvernance établies afin de gérer équitablement la ressource: l’alliance de ces trois éléments constitue ce que l’on nomme aujourd’hui «le commun».

Nous assistons ces dernières années à une véritable explosion des expérimentations et des réflexions autour de ce thème, qui est devenu une référence centrale de la lutte et de l’action politique, sociale, économique et urbaine. Toutefois, si l’on ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; TERRITOIRE ; RECITS D'URBANISME

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- 201
Cote : ART-029

Tour à tour tactique, temporaire, festif, participatif, créatif, humain, l’urbanisme a pris des formes inédites depuis le tournant du 21e siècle. Les notions d’affect, d’expérience et de design se sont installées progressivement dans l’éthos des professionnels de l’urbanisme, alors que celui-ci s’ouvrait à des acteurs inattendus et à de nouveaux arts-de-faire. Cette transformation est le produit d’un long dialogue entre pratique et critique : à la critique de l’expertise et de la mise à distance de l’habitant, l’urbanisme a répondu par la participation ; à la critique de la légitimité, il a répondu par la narrativité et la mise en scène célébrative de son action ; à la critique de la monotonie et de la morosité du modernisme, il a répondu par le recours à l’authenticité et à l’événementialisation des centres-villes.

L’enquête qui fait l’objet de cet ouvrage dresse le récit d’une intégration progressive de l’action culturelle et artistique en urbanisme. Face à un contexte de défiance à son égard, elle décrit un urbanisme qui s’ouvre à des compétences en matière de médiation, d’animation et de communication. Et dépeint, à l’inverse, un monde de l’art impatient d’investir cette nouvelle niche de la commande publique urbaine. L’intrigue qui s’y joue laisse percevoir l’émergence d’un nouvel esprit de l’urbanisme.

Introduction
- Des régimes d’urbanisation aux esprits de l’urbanisme, (17)
- Art et ville, un mariage plusieurs fois consommé, (21)

I CONSTRUIRE UNE ÉPISTÉMOLOGIE
- De l’objet au terrain, (27)

II PRODUIRE UNE THÉORIE
- La critique en art, et son tournant urbain, (61)
- Les trois horizons de la critique de l’urbanisme, (77)

III COLLECTER DES FRAGMENTS
- De la contre-culture à la ville événementielle, (117)
- L’événement artistique comme outil de planification, (141)
- À la croisée des mondes : la domestication de l’art par l’urbanisme ? (159)
Tour à tour tactique, temporaire, festif, participatif, créatif, humain, l’urbanisme a pris des formes inédites depuis le tournant du 21e siècle. Les notions d’affect, d’expérience et de design se sont installées progressivement dans l’éthos des professionnels de l’urbanisme, alors que celui-ci s’ouvrait à des acteurs inattendus et à de nouveaux arts-de-faire. Cette transformation est le produit d’un long dialogue entre pratique et critique : à ...

ART

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