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Documents  Nigel Dunnett | enregistrements trouvés : 2

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Cote : E-095

Et si, bientôt, nous n'avions plus d'eau pour arroser nos jardins ? Alors que d'année en année l'utilisation de l'eau potable est de plus en plus réglementée et onéreuse, Nigel Dunnett et Andy Clayden proposent une solution révolutionnaire à la fois économique, écologique et esthétique : concevoir des '' jardins de pluie '', c'est-à-dire des jardins qui utilisent exclusivement l'eau de pluie. Un jardin de pluie, c'est d'abord un jardin qui intègre l'eau, source de plaisir et de bien-être, dans une démarche esthétique naturaliste. Plus spécifiquement, l'expression désigne une dépression plantée, créée pour récupérer l'excès d'eau de ruissellement d'une maison ou d'un autre bâtiment et de son environnement paysager ; par extension, le terme désigne l'ensemble des éléments pouvant être utilisés pour optimiser chaque goutte de la pluie qui tombe sur une propriété. Généralement un double problème se pose : nous ne savons pas gérer l'eau excédentaire et polluée qui résulte de violentes pluies d'orage et, à l'inverse, nous manquons de stockage sur site en prévision des périodes de pénurie. Il faut donc dans un premier temps capter l'eau : pour cela, on peut avoir recours à des toitures végétalisées, particulièrement efficaces lors de fortes précipitations, puisque la végétation stocke et filtre une partie des eaux de ruissellement avant de les libérer petit à petit. Pour la canaliser, on utilisera des chaînes de pluie, des pieds de chute et des rigoles. Pour la stocker des tonneaux, des cuves, des réservoirs paysagers pour pluies d'orage, des collecteurs d'eaux pluviales ou encore des bassins de rétention. Parallèlement, des sols pavés perméables ou poreux, des bandes filtrantes et des dépressions plantées permettront d'infiltrer une bonne partie des eaux de ruissellement et d'absorber les polluants. Enfin, certaines catégories de plantes favoriseront la captation et la filtration de l'eau. Les Jardins et la pluie examine en détail chacun de ces éléments et donne toutes les informations pratiques nécessaires à leur mise en œuvre, mettant ainsi ces formidables avancées à la portée du jardinier amateur. Il permettra également aux architectes, paysagistes et gestionnaires d'espaces verts de mettre l'accent sur la collecte, le transport, le stockage et la libération de l'eau de pluie, en un mot de travailler avec la nature plutôt que contre elle et d'aboutir à des réalisations à la fois esthétiques et durables.
Et si, bientôt, nous n'avions plus d'eau pour arroser nos jardins ? Alors que d'année en année l'utilisation de l'eau potable est de plus en plus réglementée et onéreuse, Nigel Dunnett et Andy Clayden proposent une solution révolutionnaire à la fois économique, écologique et esthétique : concevoir des '' jardins de pluie '', c'est-à-dire des jardins qui utilisent exclusivement l'eau de pluie. Un jardin de pluie, c'est d'abord un jardin qui ...

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Cote : E-019

Les toits d'herbage ont caractérisé l'architecture populaire de nombreuses régions du globe pendant des siècles. Avec le réchauffement de notre planète et les phénomènes extrêmes qui l'accompagnent et afin de privilégier une meilleure qualité de vie et de l'environnement de la population, les toits et les murs végétaux se sont multipliés ces dernières années. De fait, l'intégration de plantes vivantes dans l'environnement construit comporte de nombreux avantages : apport de verdure en des lieux où la plantation d'arbres et d'arbustes conventionnels est inenvisageable, réduction de la température intérieure des bâtiments en cas de fortes chaleurs, isolation renforcée pendant les périodes froides, meilleur drainage des eaux de pluie et réduction du ruissellement, diminution des nuisances sonores, lutte contre la pollution, développement de la biodiversité et longévité accrue des toitures. Or l'évolution récente des techniques, la baisse des coûts d'installation et les faibles besoins en entretien permettent désormais d'envisager un fort développement de la végétalisation. En France notamment où, bien que le mouvement soit plus lent que dans de nombreux pays, il semble que les graves inondations des dernières années et les ravages causés par la canicule de 2003 aient conduit à une prise de conscience de la nécessité d'accélérer la mise en place de ces " climatiseurs naturels ". D'où l'importance de cet ouvrage qui fait le point des recherches les plus récentes, présente un grand nombre de réalisations et dresse la liste des plantes les mieux adaptées. Il sera ainsi le vade-mecum des professionnels de l'architecture, de la construction, de l'horticulture, du paysagisme, de l'urbanisme et des agents territoriaux de l'environnement, mais il permettra aussi à tous ceux qui sont intéressés par le bio-habitat et envisagent de végétaliser leur toiture ou leurs façades de discuter en connaissance de cause avec les spécialistes ou, pour les passionnés du " faites le vous-même ", de réaliser leur propre projet. Tous, à chaque niveau, pourront ainsi contribuer à améliorer notre cadre de vie en aidant la nature à regagner du terrain.
Les toits d'herbage ont caractérisé l'architecture populaire de nombreuses régions du globe pendant des siècles. Avec le réchauffement de notre planète et les phénomènes extrêmes qui l'accompagnent et afin de privilégier une meilleure qualité de vie et de l'environnement de la population, les toits et les murs végétaux se sont multipliés ces dernières années. De fait, l'intégration de plantes vivantes dans l'environnement construit comporte de ...

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