L’hôtel Saint-Côme, temple de la chirurgie au XVIII siècle, est un monument emblématique situé au coeur de Montpellier. Par son amphithéâtre d’anatomie, il symbolise l’union de la chirurgie à la médecine voulue par le Montpelliérain François Gigot de Lapeyronie.
Il est l’oeuvre de l’un des plus grands architectes de la ville, Jean Antoine Giral, auteur quelques années plus tard de l’embellissement de la place royale du Peyrou. La coupole de la rotonde , qui semble vouloir rivaliser avec celle des églises italiennes, est une merveille du genre, par ses proportions, sa légèreté et son caractère élancé.
Depuis 1919, ce monument historique est la propriété de la chambre de commerce et d’industrie de l’Hérault, qui le transforme et le décore lors de sa reconversion pour son nouvel usage. Les vitraux de Jacques Grüber, la ferronnerie d’Edgar Brandt et les mosaïques de Gentil et Bourdet signent la naissance à Montpellier de l’Art déco, courant artistique international qui prolonge l’Art nouveau. Sa récente restauration renforce le caractère exceptionnel de ce patrimoine.

le secteur sauvegardé d'Arles
- Pourquoi les secteurs sauvegardés
- Le secteur sauvegardé d'Arles
- Toits et terrasses
- Menuiseries
- Ferronnerie, serrurerie
- Façades
- Commerces, enseignes
- les intérieurs
- Projet urbain : un centre historique vivant
- Effectuer des travaux dans le secteur sauvegardé

Fiches pratiques
- Fiche 1 : façades
- Fiche 1a : façades en pierre de taille
- Fiche 1b : façades enduites
- Fiche 2a : toiture en tuiles canal
- Fiche 2b : les terrasses en toiture
- Fiche 3a : menuiserie : les fenêtres
- Fiche 3b : menuiserie : portes d'entrée
- Fiche 3c : menuiserie : les volets
- Fiche 4a : la serrurerie
- Fiche 5a : la devanture commerciale
- Fiche 5b : l'enseigne commerciale
- Fiche 5c : stores, fermetures
- Fiche 5d : climatiseurs
- Fiche 6 : travaux intérieurs

L'abbaye de Saint-Roman : une histoire encore méconnu (7)
- Une vocation religieuse (7)
- La période laïque et militaire (10)
- L'hypothèse d'un ermitage primitif (12)
- L'abbaye (13)

Le cimetière et l'hypothèse d'une "chapelle haute" (16)
- Le studium d'Urbain V (17)
- Le cloître "suspendu" (17)

Un programme collectif de recherches pour percer les mystères des origines de l'abbaye (18)
- Les objectifs scientifiques du PCR (19)

Premiers apports du PCR : le mobilier et les inscriptions lapidaires (24)

Catalogue des ornements lapidaires des âges romans (XI-XII siècle) (25)

Catalogue des pièces lapidaires d'époque gothique (XIII-XIV siècle) (34)

Catalogue des ornements lapidaires d'époque moderne (XVI-XVII siècle) (36)
- Borne, dalles et inscriptions funéraires (38)
- Mortiers et autres curiosités (42)

- La ruralité en France : un peuplement rabougri ou dynamique ? (10)
- Les maires, leur blues et l'entretien du patrimoine communal (14)
- Des financements publics à distinguer (17)
- La Région au secours d'un patrimoine délaissé (22)
- Le tourisme vert face à l'exode et à la pénurie hôtelière (24)
- Tourisme et ruralité : l'impossible mariage ? (27)
- Quelle est la vraie valeur du patrimoine rural ?
- Remettre l'église au centre du village (31)
- Opérations SOS villages (34)
- Face à l'étalement des zones commerciales (35)
- Energies renouvelables : l'urgence de la démarche paysagère (39)
- Faire du reboisement une bonne nouvelle (42)

Droit
- Projet de déconcentration des autorisations de travaux en sites classés (68)
- Les sites classés sont en danger (70)

Bilan de quinze années de labellisation, cet ouvrage témoigne de l'évolution des techniques et des regards. Il offre un panorama de la production architecturale du siècle dernier dans toute sa diversité : oeuvres de créateurs renommés comme d'architectes émergents ; collaborations avec des ingénieurs, des artisants, des porteurs de projets; villes nouvelles, lotissements ou encore grands ensembles...

Le label : une politique publique du Ministère de la Culture
- Une politique en faveur de l'architecture du XX siècle (22)
- Le label "patrimoine du XX siècle", 15 ans d'une politique publique (34)
- Le label "patrimoine su XX siècle" et la protection (42)
- Les archives d'architecture informant la labellisation (46)
- Le label "patrimoine du XX siècle" dans la loi Liberté de création, architecture et Patrimoine et la "Stratégie nationale pour l'architecture" (50)

2000-2015
- Bilan chiffré de 15 ans de labellisation (54)

Le label en région
- Le label "patrimoine du XX siècle" en Lorraine (74)
- le patrimoine du XX siècle : labelliser, protéger, l'exemple des Drac Île-de-France et Occitanie (78)
- L'exemple de Savines-le-lac (82)

Le label en images
Logements (86)
- Maison individuelle (87)
- Individuel groupé (105)
- Logement collectif (114)
- Grands ensembles et quartiers d'habitation (120)
- Villes nouvelles et grandes opérations d'urbanisme (134)

Espaces de travail (138)
- Artisanat et commerce (139)
- Industrie et tertiaire (148)
- Agriculture (160)

Equipements (163)
- Administration (164)
- Culture, recherche, sports et loisirs (171)
- Enseignement (190)
- Santé (206)

Lieux de culte (211)

Génie civil et militaire (223)

Monuments et jardins (238)

Projets présidentiels (242)

Cet ouvrage, qui s'adresse aussi bien à un public adulte que scolaire, propose une analyse et un répertoire des monuments aux morts de la première Guerre mondiale dans le Gard.
Il est complété par des fiches annexes sur quelques monuments et par des informations sur l'ONAC (Office National des Anciens Combattants et victimes de guerre) et l'ONBF (Œuvre Nationale du Bleuet de France) qui contribuent à entretenir la mémoire et l'histoire des conflits contemporains.

- Août 1914 : regard sur l'histoire des soldats gardois (G)
- Des monuments pour la Mémoire (1)
- Elever un monument (2)
- Variation des formes et des symboles (9)
- Inscriptions commémoratives (21)
- Les hommes de l'art (25)
- Inaugurations et cérémonies (27)
- Répertoire des monuments aux morts du Gard (29)
- Monographie des artistes (63)
- index des architectes, sculpteurs et entrepreneurs (97)
- Index des noms de lieux du Gard (99)

Portés par l’école Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier, antenne Réunion (ENSAM/REUNION), en partenariat avec la Direction des Affaires Culturelles Océan Indien (DAC OI) et la Région Réunion, ces premiers entretiens du patrimoine de l’océan Indien ont pour ambition de développer une réflexion et une coopération autour de l’océan Indien et du patrimoine commun qu’il représente pour tous les pays de cette zone géographique.Cette démarche associe une approche scientifique à celle de différents acteurs de la société civile avec la volonté de développer une intelligence collective autour du patrimoine, matériel comme immatériel.

Si l’océan Indien constitue bien un espace géographiquement délimité, il semble ne pas constituer, au contraire de la Méditerranée, un « oceanus noster » conceptualisé.L’océan Indien n’a été perçu comme médium hauturier entre les masses émergées qui le bordent qu’à partir de l’histoire récente, les préoccupations politiques, économiques, religieuses des pays limitrophes étant le plus souvent continentales.

Pourtant, depuis l’antiquité, la frange côtière est fréquentée par les marchands romains, arabes et chinois qui se rendent jusqu’à Taprobana. La représentation de l’océan Indien se modifie avec l’arrivée des Portugais puis des Hollandais, des Anglais et des Français. Contrairement aux emprises européennes sur les Amériques, les flux et les reflux coloniaux pendant six siècles n’auront d’effet profond que sur les franges côtières, et se traduiront par la création de toute pièce de multiples villes portuaires commerciales et défensives.

De nouveaux flux d’échanges de savoirs et d’apports croisés se développeront alors à partir de ces villes en pleine croissance du fait de leur situation en interface avec l’océan et ses connexions maritimes. Leur destin se distanciera de leurs origines coloniales et elles constituent aujourd’hui un maillage économique et portuaire à l’échelle mondiale.C’est sous ces différents éclairages que le concept de l’océan Indien comme espace culturel prend tout son sens. Cet espace n’englobe certes pas les états dans leurs globalités, mais principalement leurs franges métissées d’échanges multiples, véhiculées par l’océan depuis des millénaires. La notion de patrimoine doit y être comprise dans ses différentes dimensions culturelles et
sociales, matérielles et immatérielles.

De par l’ancienneté des relations, des migrations, des tensions, des métissages et héritages multiples qui ont marqué ses populations côtières, l’océan Indien constitue un espace culturel d’une grande intensité dont le potentiel de créativité s’exprimera avec d’autant plus de force qu’il sera l’objet d’une reconnaissance et d’un enrichissement mutuel.

L’objectif de ce séminaire est de poursuivre la réflexion sur les adaptations nécessaires au corpus législatif, réglementaire et normatif, pour qu’il ne soit pas en contradiction avec la nécessaire préservation et mise en valeur du patrimoine existant. Il s’agit également de recenser les techniques, les matériaux et les savoir-faire, traditionnels ou innovants, susceptibles de participer à une amélioration de la performance énergétique du bâti existant, sans nuire à ses qualités intrinsèques. Il s’agit enfin d’attirer l’attention des décideurs, tant nationaux qu’européens, sur la nécessité de trouver des réponses spécifiques à la préservation de l’architecture et des savoir-faire traditionnels, tout en répondant aux nécessités de réduire la consommation d’énergie fossile et d’émission de gaz à effets de serre.

La présente publication constitue les actes du colloque ."Le patrimoine : un modèle de développement durable" qui s'est tenu à Paris du 4 au 5 octobre 2010.
Préoccupation récente à l'échelle de temps des patrimoines architectural et urbain des centres historiques des villes, la performance énergétique des bâtiments existants prend une dimension majeure et universelle en réponse au changement climatique. Les effets des rénovations thermiques seront sensibles et risquent de faire perdre à ces patrimoines leur authenticité, leurs qualités matérielles et immatérielles de témoignage de notre histoire...
Comment concilier préservation de ces patrimoines et réduction des consommations d'énergie dans une volonté de développement durable ?

Lutte contre les discriminations, égalité des chances, acceptation de la diversité sont aujourd'hui des impératifs majeurs pour le futur de nos sociétés urbaines. A ce titre, l'accessibilité des personnes fragiles à la culture et aux loisirs revêt une grande actualité dans de nombreux pays sur la base de la Convention ratifiée des Nations-Unies pour les personnes handicapées et, en France, dans la perspective de l'échéance de 2015 pour une accessibilité généralisée introduite par la Loi du 11 février 2005.
Comment rendre accessibles à tous, les villes, les monuments et les sites protégés en Europe sans compromettre leur valeur patrimoniale ? Comment différents pays concourent-ils à ces objectifs à priori contradictoires pour dessiner les contours d'une société plus inclusive à l'échelle de l'Europe ?

Cet ouvrage présente les actes du colloque organisé à Paris, en mars 2013, sur ce thème par ICOMOS France.

Cet ouvrage constitue les actes du colloque international "Valeurs universelles, valeurs locales : pour qui, pour quoi un site est-il grand ?" qui s'est tenu les 15 et 16 octobre 2009 à Wimereux, dans le Pas-de-Calais, organisé par ICOMOS-France.

Ce colloque proposait à des responsables de sites patrimoniaux, français et étrangers, deux jours de réflexion sur la question du partage des valeurs des sites qu'ils gèrent : valeurs vécues par les habitants, valeurs consacrées par les experts et les institutions patrimoniales nationales ou internationales (UNESCO), valeurs perçues par le nombre grandissant des visiteurs et touristes.
Dans une société qui se globalise, les confrontations entre sociétés s'accélèrent, les barrières tombent et de nouvelles valeurs émergent. La richesse du voyage, plus que jamais, est faite de la découverte des patrimoines naturels, culturels et paysagers et de la rencontre avec l'Autre. Le voyage est à la fois interrogation sur l'universel et recherche du local. Il faut pour cela qu'entre le visiteur et le visité, entre l'expert et l'habitant, entre les références universelles et la vie locale, les valeurs s'expriment, se confrontent, s'enrichissent les unes les autres, pour s'harmoniser finalement en un ou plusieurs récits, qui brisent le silence des décors figés.
Le caractère exceptionnel d'un site reconnu au plan national ou international est-il partagé par les habitants et les communautés locales ? Les valeurs qui justifient cette reconnaissance, les mesures de préservation trouvent-elles un écho localement ? Sont-elles acceptées ou bien sont-elles en dissonance ? Comment parvenir à construire une vision commune et à la transmettre dans une relation d'accueil ?
Au travers de témoignages concrets de gestionnaires de sites, d'acteurs de terrain et d'habitants, ainsi que des réflexions d'experts, l'objectif de ce colloque est d'identifier les conditions qui permettront d'établir durablement le dialogue autour des valeurs des grands sites patrimoniaux.

Eteignez un haut fourneau, il ne tarde pas à rouiller. Dans le plus modeste lavoir de village laissé à l'abandon depuis un quart de siècle, l'eau continue de couler. L'eau, c'est l'âme et le génie du lieu. Construit le plus souvent avec de modestes moyens, dans la ferveur républicaine d'un XIXe siècle préoccupé d'hygiène et de salubrité publiques, le lavoir a pris en de nombreux endroits des allures de petit temple rustique. Les femmes l'ont investi. Elles ont, pendant plusieurs générations, surfilé les rituels de la lessive des confidences domestiques et des secrets d'état qu'elles n'échangeaient plus, désormais, que dans la pénombre humide du lavoir.Ecoutez bien : dans la sereine désuétude de ce patrimoine rural et urbain qui reste à découvrir et à sauvegarder, l'eau chuchote, l'eau persifle toujours.
Pour le Gard
- Beaucaire (49)
- Fontarèches (110)
- Goudargues (105-109-147-154)
- La Bruguière (110)
- Nîmes (142-143)
- Pompignan (148)
- Pont-Saint-Esprit (43-110-154)
- Saint-Victor-la-Coste (104-155)
- Uzès (140-141-155-157)
- Vers-Pont du Gard (24-111-137-138-142)

Ce recueil met en lumière les secteurs sauvegardés, et l’engagement des élus dans l’amélioration du cadre de vie. Il rassemble les témoignages de 15 élus (des villes de Bayonne, Besançon, Bordeaux, Cahors, Chinon, Grasse, Lille, Nancy, Narbonne, Rennes, Saintes, Sarlat-la-Canéda, Troyes, La Charité-sur-Loire, Royan) engagés dans une démarche d’urbanisme patrimonial porteuse d’ambition pour leur territoire.
En 50 ans, les secteurs sauvegardés ont connu de fortes évolutions et aujourd’hui sont porteurs de recherches et réflexions permettant de lier conservation du patrimoine, politique de l’habitat et du logement, développement durable, qualité des restaurations…, réflexions qui servent à l’ensemble des villes.
Ce document est une invitation à une vision large, décloisonnée du patrimoine, lieu d’enracinement et d’ouverture, qui permet à chacun de se situer, de comprendre, de maîtriser et de susciter le changement.
Il convie les acteurs de la ville à inventer et expérimenter pour valoriser ces patrimoines exceptionnels, les respecter, les partager, les raconter, en conjuguant aspirations des habitants, des usagers, des visiteurs.

Perpignan possède un patrimoine du XX siècle remarquable, unique en Languedoc-Roussillon par son ampleur, sa qualité et sa variété. Dès 1906, à l'emplacement de l'enceinte bastionnée démolie au nord puis au sud de la citadelle, sélèvent des immeubles de rapport, des grands magazins, des hôtels particuliers et des maisons de ville, bourgeoises, cossues ou modestes. Avec une forte régularité parcellaire inspirée de la tradition haussmanienne, ces quartiers ont un caractère urbain manifeste et une grande cohérence.

Les quartiers des Remparts Nord, des Remparts Sud, le quartier de la gare, le secteur de la place Cassanyes sont les témoins de l'urbanisation de la ville dans la première moitié du XX siècle par le biais d'opérations immobilières privées. Tout au contraire, la ville nouvelle du Moulin à Vent témoigne de la vitalité urbaine des années 1960-70 impulsée par la municipalité. Ce sont ces cinq quartiers, dans leur ensemble, qui ont reçu le label "patrimoine du XX siècle", attribué par le ministère de la Culture et de la Communication, aunis que huit édifices isolés, considérés comme remarquables en raison de l'importance de leur architecte, Raoul Castan, Edouard Mas-Chancel, Férid Muchir ou Maurice Abelanet, figures de la création architecturale perpignanaise au XX siècle.

Depuis son classement sur la première liste des Monuments historiques en 1840, l'abbaye de Moissac n'a cessé d'étre l'objet de tous les soins, l'attention de la municipalité et des services patrimoniaux se portant notamment sur son portail sud et son cloître. Durant des décennies, architectes, conservateurs et restaurateurs se ont succédé au chevet de ces chefs-d'œuvre de la sculpture romane.
Aujourd'hui, les reliefs de Moissac voient leur lisibilité comme leur conservation à long terme compromises. La récente étude préalable à la restauration a démontré le processus de dégradation en cours, dû à la contamination des pierres par des sels. La Conservation régionale des Monuments historiques d'Occitanie, la ville de Moissac et le Laboratoire de recherche des Monuments historiques ont décidé d'aborder les questions complexes liées à cette problématique et aux traitements à envisager dans le cadre d'une journée d'étude, organisée à Moissac le 19 octobre 2018.

L'ABBATIALE SAINT-PIERRE DE MOISSAC : QUELLES DÉGRADATIONS, QUELLES RESTAURATIONS ? (15)
- Historique de la dégradation du portail sud de de Moissac et des interventions en conservation-restauration (16)
- Présentation des résultats de l'étude diagnostique réalisée en 2017-2018 : bilan sanitaire et propositions d'interventions pour le portail sud et le cloître de Moissac (26)

L'EXTRACTION DES SELS DANS LA PIERRE : PRINCIPES ET EXPÉRIENCES (39)
- Panorama des pratiques de dessalement, l'exemple de l'Allemagne (40)
- Le dessalement par bain : méthodologie et recommandations pratiques (44)

RETOURS D'EXPÉRIENCES (53)
- La restauration de la façade de Notre-Dame-la-Grande à Poitiers (54)
- Le suivi post-restauration de Notre-Dame-la-Grande de Poitiers (58)
- La restauration du portail de l'abbaye Sainte-Marie de Ripoll en Catalogne (64)
- La restauration de la chapelle de Francesco Laurana dans l'ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Major à Marseille (72)

TABLE RONDE
- Dépose ou restauration in situ, quelles solutions pour Moissac ? (76)

POSTERS
- La restauration du retable sculpté de la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem de la cathédrale de Narbonne (90)
- La restauration de l'autel de Saint-Guilhem-le-Désert (92)
- La restauration de la tour-porche de l'ancienne abbatiale de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire (94)
- La restauration du porche scumpté de l'église Saint-Georges d'Ydes (96)

La naissance et l'évolution d'un projet de mise en valeur d'un élément du patrimoine bâti (12)

L'église aux époques romane et classique et les travaux de restauration (24)

Le territoire de Castries, ses habitants et leur église (32)

Un habitat rural du haut Moyen Âge (38)

D'un sanctuaire à l'autre : d'une initiative privée à un prieuré cure dépendant de l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert (44)

Les études complémentaires
- la population inhumée à Saint-Martin-de-Castries du VIII au XVIII siècle (75)
- le secteur des enfants (80)
- l'étude archéozoologique (période médiévale et moderne) (83)
- la cuve baptismale (87)
- l'objet de suspension (89)
- l'étude de la céramique (91)
- le mobilier : le quotidien et la dévotion (105)
- le verre (108)

Archéologie et patrimoine industriels dans le Bas-Languedoc Oriental : Des années Colbert aux années Pompidou
Actes du colloque tenu à Nîmes du 17 au 20 avril 20132
- Les impacts urbains de l'industrialisation (13)
- Les industries extractives (101)
- Les industries de transformation (165)
- Les transports ferroviaires (255)
- Histoire et mémoire : conserver, animer, valoriser le passé industriel (301)
- Le CAUE du Gard, un acteur privilégié de sensibilisation du public au patrimoine industriel gardois : Anne-Marie Llanta et Françoise Miller architectes conseillers au CAUE du Gard (373)