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Centre de ressources documentaires
du CAUE du Gard

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Documents  DRAC | enregistrements trouvés : 21

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- 103
Cote : P-259

La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux pour sa demeure située dans le bourg. Ce dernier transforme l'ancien logis en un château néo-gothique, véritable vitrine des produits de la fabrique familiale. Qelques années plus tard, son fils Gaston, spécialiste de la terre cuite émaillée, est chargé de la décoration intérieure de l'église paroissiale. Le domaine de Miremont, le château Dufaÿ et l'église ont été protégés au titre des monuments historiques respectivement en 1984, en 1993 et e, 2016.
Le château de Dufaÿ a été acheté par la commune en 1991 pour y installer la mairie. Les rares meubles dessinés par auguste Virebent, encore conservés au château, ont été protégés au titre des monuments historiques en 2018.
La réussite de la famille Virebent est étroitement liée à la commune de Launaguet, située au nord de la métropole toulousaine et riche en terres argileuses. Dès 1830, les frèress Virebent édifient à Miremont, une villa et une manufacture de céramiques architecturales et ornementales qui a fortement marqué l'architecture de notre région.
Dans les années 1850, le baron Dufaÿ commande à Auguste, l'architecte de la famille, une campagne de travaux ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; ARTS DÉCORATIFS ; MIREMONT

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- 95
Cote : P-220

Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine et la botanique. Un paradis pour l'esprit humaniste de Daniel Jarry qui évoque les maîtres aussi habiles en médecine qu'en botanique ou en anatomie et démontrant l'interdépendance entre l'homme et la nature. Après plus de quatre siècles d'existence, malgré les soubresauts de l'histoire et les difficultés budgétaires, il demaure une institution bien vivante associant recherche et sauvegarde du patrimoine.
Propriété de l'Etat et géré par l'Université, le jardin des plantes de Montpellier est un haut lieu scientifique au rayonnement universel, classé Monument historique par le ministère de la Culture. Si l'histoire naturelle médicale remonte au Moyen Âge montpelliérain, époque où les plantes ont joué un grand rôle dans le destin de la ville, c'est au XVI siècle que des médecins naturalistes créent cet outil pédagogique remarquable pour la médecine ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; JARDIN DES PLANTES

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- 103
Cote : P-257

La collégiale Saint-Martin de Montpezat-de-Quercy a été protégé au titre des monuments historiques dès la première liste nationale établie en 1840. Cet édifice de pierre blanche qui marque le paysage des côteaux du Bas-Quercy est dû à la volonté d'un seul homme : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361, vice-chancelier de l'église, au service de quatre papes d'Avignon. La collégiale est un bel exemple d'architecture qui mêle à la fois la tradition constructive du Quercy aux innovations techniques développées dans la France du Nord et sur les bords du Rhône. Les bâtiments qui accueillaient les chanoines constituent un très rare exemple de ce type d'édifice médiéval conservé dans le Midi de la France. La collégiale abrite également un important trésor d'objets mobiliers : statues médiévales, tapisseries flamandes Renaissance, retables et tableaux des XVII, XVIII et XIX siècles.

SOMMAIRE

Une église dans la cité (6)
- Montpezat à l'époque médiévale (6)
- Des temps modernes à nos jours (12)

La collégiale aujourd'hui (18)

Un fondateur et une communauté (22)
- Avant l'église, un fondateur : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361 (22)
- Une église de la mémoire (26)
- Des chanoines pour l'éternité (30)
- Un quartier canonial unique (31)

L'histoire du monument (42)
- Un chantier homogène (42)
- Influences et originalité (48)
- Comme un fantôme : les décors peints (52)
- Les temps modernes et les restaurations des XIX et XX siècles (63)

Le trésor du cardinal (68)
- Gisants, sculptures et textiles médiévaux (68)
- La tenture de la vie de Saint-Martin : histoire et restaurations (85)
- Retables, tableaux et ornements, des temps modernes à la fin du XIX siècle (92)
La collégiale Saint-Martin de Montpezat-de-Quercy a été protégé au titre des monuments historiques dès la première liste nationale établie en 1840. Cet édifice de pierre blanche qui marque le paysage des côteaux du Bas-Quercy est dû à la volonté d'un seul homme : le cardinal Pierre des Prés 1280-1361, vice-chancelier de l'église, au service de quatre papes d'Avignon. La collégiale est un bel exemple d'architecture qui mêle à la fois la tradition ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; COLLEGIALE

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- 95
Cote : P-224

Ouvrage fonctionnel favorisant les échanges et le transport, le pont est un monument emblématique d’un territoire, au fort pouvoir symbolique. Reliant les peuples de chaque côté des berges d’une rivière ou d’un ravin, il impressionne par sa mise en œuvre, fascine par son ingénierie et témoigne de l’effort millénaire de l’Humanité pour aménager son environnement. Son histoire est parfois auréolée de mystère, voire de folklore, comme l’illustre l’attribution courante d’un ouvrage d’art spectaculaire aux talents constructifs du Malin : ponts du diable de Saint-Jean-de-Fos, de Lagrasse, de Céret, etc.

La région Occitanie est marquée par une topographie et une hydrographie parfois tumultueuses ; elle a la particularité de compter près de 150 ponts protégés au titre des Monuments historiques ou labellisés "Architecture contemporaine remarquable". Certains, comme le pont Valentré de Cahors ou le pont Séjourné du Train Jaune, font partie des édifices iconiques de la région, objets de fierté locale reconnus à l’échelle internationale.
Ouvrage fonctionnel favorisant les échanges et le transport, le pont est un monument emblématique d’un territoire, au fort pouvoir symbolique. Reliant les peuples de chaque côté des berges d’une rivière ou d’un ravin, il impressionne par sa mise en œuvre, fascine par son ingénierie et témoigne de l’effort millénaire de l’Humanité pour aménager son environnement. Son histoire est parfois auréolée de mystère, voire de folklore, comme l’illustre ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; PONT ; DRAC ; PONT DU GARD ; VIADUC

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- 62
Cote : P-229

Claude Charles Mazet 1908-2000 est un architecte de la Reconstruction, installé à Béziers, dont la production applique les principes de rapidité et d'efficacité caractéristiques de cette période. Inventeur du procédé de constructions préfabriquées Delta-J, il est lauréat d'un concours d'école prototype qu'il construit à Saint-Dionisy, Gard et Alignan-le-Vent, Hérault, deux édifices qui ont été labélisés "Architecture contemporaine remarquable" en 2015 et 2019. Particulièrement actif dans la région Occitanie dans les années 1950-1960, il applique son procédé aussi bien à des immeubles collectifs qu'à des villas ou des cliniques. Soucieux de proposer des solutions innovantes et pratiques, il invente également un bloc opératoire clé en main. Son travail, publié dans des revues nationales d'architecture prestigieuses, a été redécouvert grâce à l'étude menée par la DRAC sur l'architecture de la seconde moitié du XX siècle, en vue de la labéllisation "Architecture contemporaine remarquable".

Oeuvres répertoriées dans le Gard
- 1950, école primaire prototype à Saint-Dionisy
- 1952, douches municipales, rue du Mas à Saint-Dionisy
- 1953, villa Bénédittini, 62 avenue de Montaury à Nîmes
- 1956, clinique mutualiste, route d'Uzès à Nîmes
- 1956, villa Dufandéou, 19 rue Tour Magne à Nîmes
Claude Charles Mazet 1908-2000 est un architecte de la Reconstruction, installé à Béziers, dont la production applique les principes de rapidité et d'efficacité caractéristiques de cette période. Inventeur du procédé de constructions préfabriquées Delta-J, il est lauréat d'un concours d'école prototype qu'il construit à Saint-Dionisy, Gard et Alignan-le-Vent, Hérault, deux édifices qui ont été labélisés "Architecture contemporaine remarquable" ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; ARCHITECTE ; DRAC ; PATRIMOINE DU XX SIECLE

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2y

- 184
Cote : ART-027

Afin de promouvoir la création artistique, l’État met en place en 1951 le 1 % sur proposition du sculpteur audois René Iché (1897-1954). Ce projet prévoit la réalisation d’une œuvre décorative à hauteur de 1 % du coût de chaque construction scolaire. Héritage d’un projet de loi inauguré sous le Front populaire, ce dispositif national vise la promotion de l’art de son temps.

Entre 1951 et 2022, près de 900 œuvres sont réalisées par plus de 500 artistes dans toute la région Occitanie. Sculptures, peintures, tapisseries, mosaïques ou encore installations prennent place dans les établissements scolaires publics, de l’école maternelle à l’enseignement supérieur. Réalisées par des figures locales comme nationales parmi lesquelles Paul Belmondo, Alexander Calder, François Desnoyer, Hervé Di Rosa, Pierre Nocca ou Paule Pascal, ces œuvres constituent un vaste ensemble marqué par les grandes tendances de l’art des XXe et XXIe siècles.

Dans les années 1980, l’extension de la procédure aux autres constructions de l’État, puis à celles des collectivités territoriales, amplifie sa portée. Ces œuvres d’art font aujourd’hui partie du patrimoine.
Afin de promouvoir la création artistique, l’État met en place en 1951 le 1 % sur proposition du sculpteur audois René Iché (1897-1954). Ce projet prévoit la réalisation d’une œuvre décorative à hauteur de 1 % du coût de chaque construction scolaire. Héritage d’un projet de loi inauguré sous le Front populaire, ce dispositif national vise la promotion de l’art de son temps.

Entre 1951 et 2022, près de 900 œuvres sont réalisées par plus de 500 ...

UN POUR CENT ARTISTIQUE ; DRAC ; OCCITANIE ; PATRIMOINE ; SCOLAIRE ; ETABLISSEMENT SCOLAIRE ; ART

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- 103
Cote : P-225

Depuis son classement sur la première liste des Monuments historiques en 1840, l'abbaye de Moissac n'a cessé d'étre l'objet de tous les soins, l'attention de la municipalité et des services patrimoniaux se portant notamment sur son portail sud et son cloître. Durant des décennies, architectes, conservateurs et restaurateurs se ont succédé au chevet de ces chefs-d'œuvre de la sculpture romane.
Aujourd'hui, les reliefs de Moissac voient leur lisibilité comme leur conservation à long terme compromises. La récente étude préalable à la restauration a démontré le processus de dégradation en cours, dû à la contamination des pierres par des sels. La Conservation régionale des Monuments historiques d'Occitanie, la ville de Moissac et le Laboratoire de recherche des Monuments historiques ont décidé d'aborder les questions complexes liées à cette problématique et aux traitements à envisager dans le cadre d'une journée d'étude, organisée à Moissac le 19 octobre 2018.

L'ABBATIALE SAINT-PIERRE DE MOISSAC : QUELLES DÉGRADATIONS, QUELLES RESTAURATIONS ? (15)
- Historique de la dégradation du portail sud de de Moissac et des interventions en conservation-restauration (16)
- Présentation des résultats de l'étude diagnostique réalisée en 2017-2018 : bilan sanitaire et propositions d'interventions pour le portail sud et le cloître de Moissac (26)

L'EXTRACTION DES SELS DANS LA PIERRE : PRINCIPES ET EXPÉRIENCES (39)
- Panorama des pratiques de dessalement, l'exemple de l'Allemagne (40)
- Le dessalement par bain : méthodologie et recommandations pratiques (44)

RETOURS D'EXPÉRIENCES (53)
- La restauration de la façade de Notre-Dame-la-Grande à Poitiers (54)
- Le suivi post-restauration de Notre-Dame-la-Grande de Poitiers (58)
- La restauration du portail de l'abbaye Sainte-Marie de Ripoll en Catalogne (64)
- La restauration de la chapelle de Francesco Laurana dans l'ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Major à Marseille (72)

TABLE RONDE
- Dépose ou restauration in situ, quelles solutions pour Moissac ? (76)

POSTERS
- La restauration du retable sculpté de la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem de la cathédrale de Narbonne (90)
- La restauration de l'autel de Saint-Guilhem-le-Désert (92)
- La restauration de la tour-porche de l'ancienne abbatiale de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire (94)
- La restauration du porche scumpté de l'église Saint-Georges d'Ydes (96)
Depuis son classement sur la première liste des Monuments historiques en 1840, l'abbaye de Moissac n'a cessé d'étre l'objet de tous les soins, l'attention de la municipalité et des services patrimoniaux se portant notamment sur son portail sud et son cloître. Durant des décennies, architectes, conservateurs et restaurateurs se ont succédé au chevet de ces chefs-d'œuvre de la sculpture romane.
Aujourd'hui, les reliefs de Moissac voient leur ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; PIERRE ; ACTE DE COLLOQUE

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- 71
Cote : P-211

La cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Montauban conserve l'un des tableaux les plus célèbres de la région Occitanie, Le Vœu de Louis XIII de Jean-Auguste-Dominique Ingres 1780-1867.
À la demande des édiles locaux, ce tableau est commandé par l'Etat au peintre montalbanais et livré en 1826 dans la cathédrale de sa ville natale.
Reflet de la politique de dépôts de tableaux religieux du XIX siècle dont le Centre national des arts plastiques perpétue aujourd'hui la dynamique de création, à la mise en valeur de la cathédrale.
Le tableau a néanmoins dû quitter ses murs en septembre 2013 pendant des travaux de restauration des intérieurs. Il est revenu en février 2017 après une restauration riche en découvertes sur l'histoire matérielle de l'œuvre.
Cet ouvrage présente l'œuvre dans son contexte et ses différentes aventures jusqu'à sa restauration récente orchestrée par la Conservation régionale des monuments historiques.
La cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Montauban conserve l'un des tableaux les plus célèbres de la région Occitanie, Le Vœu de Louis XIII de Jean-Auguste-Dominique Ingres 1780-1867.
À la demande des édiles locaux, ce tableau est commandé par l'Etat au peintre montalbanais et livré en 1826 dans la cathédrale de sa ville natale.
Reflet de la politique de dépôts de tableaux religieux du XIX siècle dont le Centre national des arts plastiques ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; CATHÉDRALE ; MONTAUBAN ; DRAC ; RESTAURATION

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- 87
Cote : P-212

Montpellier a conservé la mémoire de peintres célèbres, Sébastien Bourdon, Antoine et Jean Ranc, Jean Raoux, Hyacinthe Rigaud, Jean de Troy, qui animèrent la scène artistique languedocienne dans la seconde moitié du XVII siècle.
Parmi eux le montpelliérain Antoine Ranc 1634-1716 a laissé une œuvre importante disséminée essentiellement dans les églises de l'Hérault. Sa carrière se mesure à l'aune des œuvres conservées, patiemment mises au jour, redécouvertes, bien que cachées au regard par leur mauvais état de conservation. Le travail conjoint des historiens de l'art et des Monuments historiques a permis de retrouver, d'identifier, de classer et de restaurer nombre d'entre elles. Cet ouvrage présente l'état actuel de la connaissance sur cet artiste et met en lumière l'œuvre d'un peintre majeur en Languedoc au temps de Louis XIV.
Montpellier a conservé la mémoire de peintres célèbres, Sébastien Bourdon, Antoine et Jean Ranc, Jean Raoux, Hyacinthe Rigaud, Jean de Troy, qui animèrent la scène artistique languedocienne dans la seconde moitié du XVII siècle.
Parmi eux le montpelliérain Antoine Ranc 1634-1716 a laissé une œuvre importante disséminée essentiellement dans les églises de l'Hérault. Sa carrière se mesure à l'aune des œuvres conservées, patiemment mises au jour, ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; ART ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; PEINTURE ; DRAC ; PEINTRE ; LOUIS XIV

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- 72
Cote : P-216

Propriété de la ville de Montpellier, l'apothicairerie et la chapelle de l'Œuvre de la Miséricorde, forment un ensemble patrimonial qui occupe une place importante dans l'histoire de Montpellier et dans celle des institutions de bienfaisance et hospitalières. Ces bâtiments, dont le triple intérêt historique, architectural et artistique est clairement identifié par le classement au titre des Monuments historiques, conservent un ensemble de tableaux et de faïences du XVII au XIX siècle constituant une collection unique, encore en place dans son lieu d'origine. Il s'agit d'une source d'information exceptionnelle pour la connaissance et la mémoire du secours social comme pour l'histoire de l'art à Montpellier. Aujourd'hui, la Miséricorde est un des lieux les plus visités de la ville.
Propriété de la ville de Montpellier, l'apothicairerie et la chapelle de l'Œuvre de la Miséricorde, forment un ensemble patrimonial qui occupe une place importante dans l'histoire de Montpellier et dans celle des institutions de bienfaisance et hospitalières. Ces bâtiments, dont le triple intérêt historique, architectural et artistique est clairement identifié par le classement au titre des Monuments historiques, conservent un ensemble de ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC

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- 80
Cote : P-217

Ancrée au cœur de la Cité, dont elle constitue un des repères, l'ancienne cathédrale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse a été le siège du diocèse de Carcassonne, de sa fondation au VIème siècle jusqu'au lendemain de la Révolution Française.
Bien que constituée de deux parties distintes, une nef romane prolongée d'un lumineux ensemble chœur-transept de style gothique rayonnant, elle compose un monument médiéval d'une rare harmonie, restauré par l'architecte Viollet-le-Duc entre 1845 et 1867.
Si l'extérieur de l'édifice est marqué par l'empreinte du XIX siècle, qui lui a restitué gargouilles, couronnements et balustrades, le décor intérieur de l'ancienne cathédrale conserve un remarquable ensemble de vitraux, constitué entre les XIII et XVI siècles, et une statuaire médiévale de premier ordre.
Ancrée au cœur de la Cité, dont elle constitue un des repères, l'ancienne cathédrale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse a été le siège du diocèse de Carcassonne, de sa fondation au VIème siècle jusqu'au lendemain de la Révolution Française.
Bien que constituée de deux parties distintes, une nef romane prolongée d'un lumineux ensemble chœur-transept de style gothique rayonnant, elle compose un monument médiéval d'une rare harmonie, restauré par ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; CARCASSONNE ; CATHÉDRALE

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- 80
Cote : P-219

Le patrimoine est souvent considéré comme un reflet des valeurs et des représentations de la société. Cet ouvrage est le résultat d'une enquête ethnophotographique basée sur des entretiens portant sur des monuments d'Occitanie. Celle-ci repose sur le postulat que les « Gens d'ici » pris dans un rapport de proximité au patrimoine en sont devenus les guides, les gardiens, voire les porte-parole.
La dizaine de portraits de femmes et d'hommes interviewés sont révélateurs de l'émotion qu'inspire le patrimoine, de la passion à la détestation, de la connaissance à l'indifférence. Chaque portrait évoque la relation intime à un monument, produit d'une expérience particulière, souvent originale.
Le patrimoine est souvent considéré comme un reflet des valeurs et des représentations de la société. Cet ouvrage est le résultat d'une enquête ethnophotographique basée sur des entretiens portant sur des monuments d'Occitanie. Celle-ci repose sur le postulat que les « Gens d'ici » pris dans un rapport de proximité au patrimoine en sont devenus les guides, les gardiens, voire les porte-parole.
La dizaine de portraits de femmes et d'hommes ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; CARCASSONNE ; CATHÉDRALE

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- 93
Cote : P-232

Cet ouvrage présente les créations architecturales du Gard et de l'Hérault ayant obtenu le label "Architecture contemporaine remarquable".
Après avoir mis l'accent sur les spécificités régionales que sont les caves coopératives viticoles et les stations balnéaires de la fin des années 1960, la recherche de la DRAC Occitanie s'est poursuivie de 2015 à 2018 par une étude raisonnée de la production architrcturale des années 1950-1985.
De nombreux bâtiments publics ainsi que des constructions privées ont été redécouverts et appréciés pour leur valeur historique ou artistique.
Cette étude a également révélè des architectes jusqu'alors méconnus ou oubliés. Les labellisations reconnaissent la qualité des œuvres de Guillaume Gillet, Pierre Vago, andré Wogenscky, André Gomis, Jean Le Couteur, Jean Balladur, François Lopez ou Ricardo Bofill, etc. Elles mettent également en lumière des créateurs locaux de différentes générations, peu connus du grand public comme Armand Pellier, Joseph Massota, Marcel Pigeire, Guy Guillaume ou Guy Grégori, à côté d'architectes bien établis comme Philippe Jaulmes, Jean-Claude Deshons ou encore François Fontès.
Cet ouvrage présente les créations architecturales du Gard et de l'Hérault ayant obtenu le label "Architecture contemporaine remarquable".
Après avoir mis l'accent sur les spécificités régionales que sont les caves coopératives viticoles et les stations balnéaires de la fin des années 1960, la recherche de la DRAC Occitanie s'est poursuivie de 2015 à 2018 par une étude raisonnée de la production architrcturale des années 1950-1985.
De nombreux ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; PATRIMOINE DU XX SIECLE ; GARD ; HERAULT ; ARCHITECTURE CONTEMPORAINE

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- 93
Cote : P-233

La région Occitanie est aujourd'hui dépositaire d'un grand nombre d'objets d'art islamique, dont la présence s'explique par plusieurs facteurs historiques. Le plus déterminant a été sa proximité avec l'Espagne musulmane, al-Andalus, qui a notamment favorisé l'introduction d'objets d'art dans les trésors d'églises.
C'est pour mettre en lumière ces aspects spécifiques du patrimoine régional qu'a été organisée le 14 septembre 2018 à la direction régionale des affaires culturelles Occitanie, et en partenariat avec le musée du Louvre, une journée consacrée aux arts de l'Islam dans le Sud-Ouest, dans le cadre de journées d'études coordonnées par le Réseau d'art islamique en France (RAIF).
Cette journée a permis de brosser un panorama des collections d'art islamique et de leurs modes d'acquisition dans la région, mais également dans le Nord de l'Espagne, afin d'illustrer la spécificité des relations entretenues entre le Sid-Ouest de la France et al-Andulus.
Cet ouvrage réunit la plupart des interventions de cette journée, enrichies de notices d'œuvres qui apportent un éclairage particulier sur certains des objets d'art islamique protégés au titre des monuments historiques ou conservés dans les collections de musées de France de la région.
La région Occitanie est aujourd'hui dépositaire d'un grand nombre d'objets d'art islamique, dont la présence s'explique par plusieurs facteurs historiques. Le plus déterminant a été sa proximité avec l'Espagne musulmane, al-Andalus, qui a notamment favorisé l'introduction d'objets d'art dans les trésors d'églises.
C'est pour mettre en lumière ces aspects spécifiques du patrimoine régional qu'a été organisée le 14 septembre 2018 à la direction ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; DRAC ; ISLAM

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- 103
Cote : P-242

Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, a été relevé avec finesse et élégance par l'Atelier d'Architecture Philippe Prost. Révélant le génie du lieu et dialoguant avec les décors historiques, quatre grands décors de plafonds ont été confiés à des artistes d'envergure internationale, continuant ainsi le dialogue entre art et architecture et l'alliance entre œuvre patrimoniale et création contemporaine.


L'hôtel Richer de Belleval, un monument historique (8)

Le monument historique : histoire et restauration
Du palais de Guilhem VI à l'hôtel de ville (16)
La place de la Canourgue et la fontaine des Licornes (33)
A comme Architecture (34)
La restauration de l'hôtel Richer de Belleval (38)

L'architecture et son décor : restauration et création
Redécouverte et restauration des grands décors des salles d'apparat (66)
Une fondation pour l'art contemporain (86)
Situé place de la Canourgue, l'hôtel Richer de Belleval, inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques est un des hôtels particuliers parmi les plus importants du centre historique de Montpellier, marquant le renouveau de l'architecture civile des XVII et XVIII siècles. Le défi de sa restauration, sa transformation en un hôtel de prestige, avec restaurant gastronomique et Fondation d'entreprise GGL Helenis pour l'art contemporain, ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER

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- 103
Cote : P-243

L'université de médecine de Montpellier a célébré ses 800 ans le 17 août 2020
C'est la plus ancienne écle universitaire de médecine du monde, créée le 17 août 1220, par le cardinal Conrad d'Urach, légat apostolique du pape Honorius III, qui concède à "l'universitas medicorum" ses premiers statuts. Mais dès 1181 Guilhem VIII, seigneur de Montpellier avait accordé le droit d'exercer et d'enseigner la médecine. Née d'une volonté politique, l'université de médecine s'est developpée grâce au partage des cultures médicales arabes, juives et chrétiennes, dans un esprit humaniste et scientifique relayé au travers des siècles.
Reflet du prestige de cette institution multiséculaire, son patrimoine architectural, artistique et scientifique est exceptionnel. Monuments et collections conservent la mémoire de cette longue histoire que cet ouvrage invite à découvrir.

La fondation de l'université de médecine de Montpellier (10)
Mémoire du savoir et patrimoine (28)
La médecine et les arts (40)

Panorama des monuments et collections
Le bâtiment historique de la faculté de médecine (54)
Le conservatoire d'anatomie (74)
Le jardin des plantes (82)
L'université de médecine de Montpellier a célébré ses 800 ans le 17 août 2020
C'est la plus ancienne écle universitaire de médecine du monde, créée le 17 août 1220, par le cardinal Conrad d'Urach, légat apostolique du pape Honorius III, qui concède à "l'universitas medicorum" ses premiers statuts. Mais dès 1181 Guilhem VIII, seigneur de Montpellier avait accordé le droit d'exercer et d'enseigner la médecine. Née d'une volonté politique, ...

MONUMENT HISTORIQUE ; ARCHITECTURE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; MEDECINE ; FACULTE DE MEDECINE

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- 103
Cote : P-246

La voie Domitienne est créée dès la conquête de la future Narbonnaise. Cette route stratégique qui relie l'Italie à l'Espagne sous domination romaine depuis la fin des guerres puniques est aménagée en effet en 118 avant J.-C. par le consul Cneus Domitius Ahenobarbus.
La reconnaissance de son tracé a intéressé les érudits depuis le XVIIe siècle et grâce à l'archéologie moderne, on connaît mieux les vestiges de l'axe viaire, son mode de construction, son impact sur les paysages parcourus ainsi que l'attractivité économique de cette via publica.
Plus de vingt ans après la parution du dernier ouvrage de synthèse, la documentation tirée des fouilles archéologiques récentes permet de mieux comprendre comment les concepteurs de la voie ont adapté leur ouvrage à la grande diversité de la plaine languedocienne, dotée d’un réseau complexe de cours d'eau à franchir, à la traversée des centres urbains, comme à la difficulté du passage des Pyrénées.
Les relais routiers constituent un équipement indispensable pour la mise en service de la voie. Leur étude apporte de nombreuses informations sur les voyageurs et les conditions de déplacement à l’époque antique. Le mobilier découvert nous éclaire sur les services offerts lors de l’étape, sur la restauration dans ces auberges de bord de route ou sur les activités commerciales et administratives pratiquées.

UNE VOIE ROMAINE EN LANGUEDOC
Aux origines de la voie Domitienne (12)
- Voies et chemins des Gaulois du Midi
- De la voie Héracléenne à la voie Domitienne

La route-monument : itinéraires et tracé privilégié (18)
- En suivant les itinéraires antiques
- Une grande route tracée dans la plaine languedocienne
- Viam refecere, viam restituere : évolution et réfection de la voie

L'anatomie de la voie : tracé et modelé (28)
- De la voie unique au faiseau de routes
- Tracé et profils en long de la voie
- Modelé et profils en travers de la voie

SUR LA ROUTE
Les établissements routiers (58)
- Le relais tardo-républicain de Marinesque à Loupian
- Ambrussum, une agglomération routière
- L'auberge de Roux/Moulinas, un lieu d'étape du Haut Empire

Voyage et voyageurs (72)
- Se restaurer sur la voie Domitienne
- Le monnayage, économie et circulation des hommes
- Objets perdus, objets trouvés sur la voie Domitienne

LE DEVENIR DE LA VOIE APRES LA PERIODE ANTIQUE
Déclassement et résilience d'un tracé (84)
La voie, protection et valorisation (88)
La voie Domitienne est créée dès la conquête de la future Narbonnaise. Cette route stratégique qui relie l'Italie à l'Espagne sous domination romaine depuis la fin des guerres puniques est aménagée en effet en 118 avant J.-C. par le consul Cneus Domitius Ahenobarbus.
La reconnaissance de son tracé a intéressé les érudits depuis le XVIIe siècle et grâce à l'archéologie moderne, on connaît mieux les vestiges de l'axe viaire, son mode de c...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; VOIE DOMITIENNE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHÉOLOGIQUE ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER

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y

- 79
Cote : P-247

En cette année 2021, il y a exactement 900 ans que la présence juive est attestée à Montpellier grâce au testament dicté en 1121 par Guilhem V. De l’existence de cette communauté quelques traces subsistent, notamment un exceptionnel édifice, le bain rituel juif ou mikveh identifié dès 1737 par le chanoine Pierre d’Aigrefeuille.
Depuis 1984, le service régional de l’archéologie est sollicité pour comprendre et préciser l’histoire et la fonction des vestiges présents dans la rue de la Barralerie afin d’assurer leur bonne conservation. Après des années d'enquête, ce Duo livre une synthèse des observations effectuées. L’ouvrage résulte d'un croisement des sources d’information. Il doit beaucoup à l’étude des travaux des historiens et des érudits, à la relecture des archives montpelliéraines et aragonaises, à l'analyse du bâti et, enfin, aux observations archéologiques.
Au-delà de l'étude du monument, l'enquête s'est poursuivie sur l'ensemble de la ville, livrant une image jusque-là inédite du cadre de vie des Juifs montpelliérains entre le XIIe siècle et 1394. Elle permet de redessiner les contours de leurs deux quartiers d’habitat et de proposer une localisation des édifices cultuels dans une trame viaire complexe. Hors du centre urbain, les cimetières juifs établis dans les faubourgs, et plus largement en périphérie de la ville, ont aussi été repérés.
À travers l'histoire des établissements juifs montpelliérains, c’est celle de la ville médiévale qui ressurgit. La vie de cette communauté avec ses édifices, ses quartiers et ses cimetières, laisse apparaître les enjeux du pouvoir exercé par les seigneurs, les Guilhem puis les rois d’Aragon et de Majorque, d'une part, et par l'évêque de Maguelone et, enfin, le roi de France, d'autre part. Ce travail peut aider les Montpelliérains d’aujourd’hui, à connaître, comprendre et mieux préserver le patrimoine de leur ville.
En cette année 2021, il y a exactement 900 ans que la présence juive est attestée à Montpellier grâce au testament dicté en 1121 par Guilhem V. De l’existence de cette communauté quelques traces subsistent, notamment un exceptionnel édifice, le bain rituel juif ou mikveh identifié dès 1737 par le chanoine Pierre d’Aigrefeuille.
Depuis 1984, le service régional de l’archéologie est sollicité pour comprendre et préciser l’histoire et la fonction ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC ; MONTPELLIER ; MOYEN-ÂGE

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2y

- 103
Cote : P-248

L'activité des Garros, dynastie d'architectes bordelais, s'étend sur plus d'un siècle et constitue un exemple fondamental pour l'étude de l'architecture. Elle témoigne des diverses influences que peuvent subir des hommes de l'art liés par une double appartenance familiale et professionnelle. L'apport de cette dynastie encore trop peu connue au niveau national a considérablement enrichi le patrimoine régional.
La production des Garros débute au milieu du 19e siècle avec la fondation de l’agence par Michel Louis Garros en 1861 et leurs activités s’achèvent dans le dernier quart du 20e siècle. La pratique professionnelle des différents membres de cette dynastie porte témoignage d’une période architecturale féconde, aussi bien pour les projets de construction et les innovations techniques adoptées, que pour la magnificence et le luxe des réalisations. Pur produit de son époque, Michel Louis Garros est un architecte éclectique, puisant ses sources d’inspiration dans les formes du passé. Si le néo-Renaissance est très fréquent dans son œuvre, il s’intéresse à l’art médiéval dont il réutilise les caractéristiques stylistiques dans ce que les anglo-saxons appellent le Gothic Revival.
Les considérables budgets consacrés par leurs commanditaires, joints au génie entrepreneurial de ces architectes, sont examinés ici, à travers notamment le prisme des châteaux viticoles, et plus particulièrement ceux réalisés en Biterrois et Narbonnais. Entre 1880 et 1930, dans la grande plaine biterroise et narbonnaise, la dynastie Garros, forte de plusieurs générations d’architectes, ne construit pas moins de onze châteaux et en restaure vingt-neuf. Elle édifie également ou réaménage trente-trois hôtels particuliers, presque tous situés à Béziers. Les châteaux de Libouriac (1885), Saint-Geniès-de-Ménestrol (1884-1896, 1923-1925), Le Terral (1895-1910) et Valmirande (1893-1907) reflètent la créativité de ces architectes et permettent d’apprécier leur originalité.
L'activité des Garros, dynastie d'architectes bordelais, s'étend sur plus d'un siècle et constitue un exemple fondamental pour l'étude de l'architecture. Elle témoigne des diverses influences que peuvent subir des hommes de l'art liés par une double appartenance familiale et professionnelle. L'apport de cette dynastie encore trop peu connue au niveau national a considérablement enrichi le patrimoine régional.
La production des Garros débute au ...

PATRIMOINE ; MONUMENT HISTORIQUE ; PROTECTION DU PATRIMOINE ; OCCITANIE ; DRAC

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2y

- 88
Cote : P-249

Le 50ème anniversaire de l’acquisition de l’hôtel de Grave par l’État en 1971 pour installer les Affaires culturelles au centre historique de Montpellier est l’occasion d’évoquer l’histoire d’un monument d’exception situé à l’emplacement de l’ancienne résidence des évêques de Maguelone. L’appel à deux architectes de renom, Simon Levesville (vers 1600-1645) puis Charles-Augustin Daviler (1653-1701) permit à Jean de Sartre, conseiller à la Cour des comptes, aides et finances, à partir de 1633, puis à Louis de Vignes dès 1696, d’édifier ce qui deviendra au fil des siècles l’hôtel de Grave, l’une des plus belles demeures montpelliéraines. La transformation d’une habitation privée pour un usage public éclaire l’histoire institutionnelle du ministère des Affaires culturelles en région et l’aventure de la déconcentration culturelle qui aboutira à la création des Drac et leur évolution jusqu’à la fusion des régions.

Du palais épiscopal à l'hôtel des Espous (12)
- Le palais épiscopal (14)
- L'hôtel classique (22)
- Le temps des Espous (36)

De la demeure privée à l'udage public : décors, mobiliers historiques et aménagement (44)
- L'acquisition de l'hôtel de Grave par l'Etat (46)
- Le mobilier et l'ornement de l'hôtel de Grave (52)
- Le plan d'aménagement pour l'installation de la DRAC (60)

L'installation à l'hôtel de Grave du ministère de la Culture en région (72)
Le 50ème anniversaire de l’acquisition de l’hôtel de Grave par l’État en 1971 pour installer les Affaires culturelles au centre historique de Montpellier est l’occasion d’évoquer l’histoire d’un monument d’exception situé à l’emplacement de l’ancienne résidence des évêques de Maguelone. L’appel à deux architectes de renom, Simon Levesville (vers 1600-1645) puis Charles-Augustin Daviler (1653-1701) permit à Jean de Sartre, conseiller à la Cour ...

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