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Documents  SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES | enregistrements trouvés : 20

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- 441
Cote : ESA-174

Faut-il vraiment faire 10 000 pas par jour ? Pourquoi dire aux enfants de regarder avant de traverser ? Comment gérer la foule lors des grands événements ? La trottinette va-t-elle
supplanter les sprints pour attraper le dernier bus ? Les piétons sont-ils des automobilistes comme les autres ? La « rando » en ville a-t-elle de beaux jours devant elle ? La marche est-elle l'avenir de la mobilité urbaine ? Ces questions, parmi bien d'autres, traduisent d'importantes préoccupations liées à la vie urbaine contemporaine, telles l'insécurité routière, la crise environnementale, les pathologies de la sédentarité, la mixité ou l'exclusion sociale. Les 160 mots-clés de ce dictionnaire abordent ces enjeux en proposant une exploration, tantôt conceptuelle, tantôt opérationnelle, parfois humoristique, de divers domaines de connaissance sur la marche en ville : aménagement et urbanisme, transports et technologies, comportements et ambiances, tourisme, littérature, santé, accessibilité...

Accessibilité (11)
Accidents (15)
Activisme (19)
Activité physique (22)
Adhérence et glissance (24)
Ambiance (26)
Apaisement (29)
Appropriation (31)
Assises (34)
Attente (36)
Attractivité, marketing (38)
Automobilisme (41)
Autonomie, indépendance (45)
Avertisseur (un pas de côté) (49)
Balisage (50)
Biomécanique (54)
Cartographie (55)
Cartographie sensible (58)
Centre commercial (61)
Centre-périphérie (63)
Chaussure (65)
Chute (67)
Code de la route (71)
Code de la rue (75)
Comportement (79)
Confinement (un pas de côté) (80)
Confort (82)
Consommateur, consommation (83)
Convivialité (87)
Coupures urbaines (89)
Course à pied (93)
Déplacement (96)
Détour (98)
Distraction (101)
Doctrines urbanistiques (103)
Drague entre hommes (107)
Dystopie (un pas de côté) (110)
Eclairage (113)
Enfant (115)
Environnement (119)
Equipement personnel (122)
Espace partagé (126)
Espace public (128)
Espace vert (131)
Evacuation (133)
Evènement (135)
Expérience (141)
Externalité (143)
Fable (un pas de côté) (146)
Flânerie (148)
Fonctionnalisme (151)
Foule (154)
Gare (157)
Genre (160)
Grève (un pas de côté) (163)
Groupe (164)
Handicap (167)
Histoire (171)
Inégalités, intersectionnalité (174)
Infrastructures pédestre (176)
Insécurité (180)
Intéractions sociales (181)
Itinéraire (184)
Joute (un pas de côté) (187)
Kilo (un pas de côté) (188)
Lenteur et qualité de vie (190)
Ligne de désir (194)
Littérature américaine (198)
Logistique (202)
Loisirs (206
Maîtrise d'usage (209)
Manifestation politique (212)
Manifestation sportive, culturelle ou religieuse (215)
Marchabilité (216)
Mesure et comptage (220)
Météo (222)
Méthodes de recherche (224)
Métiers ambulants (228)
Métrique (231)
Micro-véhicules portatifs (233)
Mobilier urbain (236)
Mobilité active, douce, alternative, durable (239)
Mobilité ou transport (242)
Mode de transport ou de déplacement (244)
Modélisation des comportements (246)
Modélisation des flux (248)
Morphologie urbaine (250)
Multimodalité, intermodalité (253)
Nuisances (254)
Nuit (256)
Objets connectés (259)
Obstacle (261)
Orientation (263)
Parcours augmenté (267)
Parcours commenté (270)
Parklet (273)
Partage de l'espace (276)
Participation (277)
Pause (279)
Pédibus (282)
Perception (285)
Périurbain (288)
Personnes à mobilité réduite (PMR) (291)
Personnes âgées (293)
Piéton ou marcheur ? (296)
Piéton(n)isation (299)
Piétons contraints (302)
Plan Départementales des Itinéraires de Promenade et de Randonnée (304)
Plan piéton (307)
Planification (309)
Porosité (312)
Potelet (315)
Programme de marche (318)
Promenade (319)
Quintessance (un pas de côté) (321)
Randonnée (322)
Réalité virtuelle (324)
Réglementation (325)
Riverain (327)
Rue piétonne (330)
Saleté et propreté (333)
Santé (335)
Sécurité routière (337)
Sédentarité (340)
Sentier (343)
Signalétique, signalisation (344)
Simulation piétons, simulateur (347)
Sol, revêtement (349)
Sport (353)
Temporalités (356)
Topographie (359)
Tourisme (361)
Transport en commun (364)
Travail (366)
Traversée paysagère (369)
Traversée piétone (372)
Trivialité (375)
Trottoir (379)
Types de marche (383)
Types de piétons (385)
Urban Design (386)
Urbanisme souterrain (389)
Urbanisme tactique (391)
Urbanisme, transport et mobilité (394)
Urbanité (396)
Vagabondage (398)
Valeur, anti-valeur (401)
Végétation (404)
Vélo (406)
Venise (411)
Ville durable (414)
Vitesse (416)
Voirie (418)
X (un pas de côté) (419)
Yeux (un pas de côté) (421)
Zone 30 (423)
Zone de rencontre (424)
Faut-il vraiment faire 10 000 pas par jour ? Pourquoi dire aux enfants de regarder avant de traverser ? Comment gérer la foule lors des grands événements ? La trottinette va-t-elle
supplanter les sprints pour attraper le dernier bus ? Les piétons sont-ils des automobilistes comme les autres ? La « rando » en ville a-t-elle de beaux jours devant elle ? La marche est-elle l'avenir de la mobilité urbaine ? Ces questions, parmi bien d'autres, ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE DES TRANSPORTS ; VILLE ; GÉOGRAPHIE ; MARCHE A PIED ; SCIENCES SOCIALES ; SOCIOLOGIE

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- 221
Cote : ESA-170

Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes ?
Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ?
À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ».
À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité.
Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à ...

ENTRETIEN ; NON-FICTION ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE ; CAMPAGNE ; CLASSES POPULAIRES ; RURAL ; MONDE RURAL ; ETHNOLOGIE

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V

- 125
Cote : ESA-171

La gauche perd les campagnes électorales, c’est entendu. Mais elle perd aussi la campagne de France, où sa bannière devient un repoussoir. À mesure que le Rassemblement national se normalise, c’est la gauche qui y est diabolisée, devenant une élite qui impose un modèle de vie, des donneurs de leçons qui, depuis les métropoles, expliquent comment il faut manger, se loger ou se déplacer. Certes, la gauche n’a jamais été à l’aise dans les territoires ruraux, mais elle avait auparavant une place qui, aujourd’hui, s’étiole au point que le divorce paraît consommé entre les « bobos » des villes et les classes populaires des campagnes. Fin de l’histoire ? Non, tous ne veulent pas ­renoncer, et Rémi Branco en fait partie. Au-delà d’un état des lieux lucide sur la disparition de la gauche dans le monde rural, l’auteur de ce livre propose des pistes de réconciliation, convaincu que la gauche et la ruralité ont un avenir en commun.
La gauche perd les campagnes électorales, c’est entendu. Mais elle perd aussi la campagne de France, où sa bannière devient un repoussoir. À mesure que le Rassemblement national se normalise, c’est la gauche qui y est diabolisée, devenant une élite qui impose un modèle de vie, des donneurs de leçons qui, depuis les métropoles, expliquent comment il faut manger, se loger ou se déplacer. Certes, la gauche n’a jamais été à l’aise dans les ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES

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V

- 168
Cote : ESA-167

Qu'est-ce qui fait que quelque chose se passe devant une œuvre – ou qu'il ne se passe rien ?
À la croisée de la philosophie et de l'histoire de l'art, ce livre part sur la piste de nos relations à l'art contemporain, et aux œuvres d'art en général.
Et d'abord, une énigme : pourquoi avons-nous souvent l'impression, à l'occasion d'expositions d'art contemporain, que les œuvres sont indisponibles ? Comme si elles n'étaient pas là pour être appréciées, rencontrées. Comment expliquer ces rencontres manquées, autrement que par une inculture du visiteur ou une décadence de l'art contemporain ? Cet échec de communication est ici élucidé à travers une généalogie des contraintes qui pèsent conjointement sur la création contemporaine et sa réception.
Mais à l'inverse, comment comprendre ce qui a lieu, quand il se passe quelque chose, lorsqu'on est saisi par un livre, dévoré vif par un tableau, déplié par une mélodie – simultanément foudroyé et reconstruit par la rencontre avec une œuvre ?
Baptiste Morizot et Estelle Zhong Mengual enquêtent sur le pouvoir de l'art à nous transformer et à se constituer en un lieu privilégié de rencontres individuantes : celles qui nous font.

D'un échec de communication répété avec les oeuvres 59°

Dans la fabrique du mythe (17)
- L'idisponibilité des oeuvres interprétée comme une déficience du spectateur (17)
- Un présupposé problématique : l'art comme libération et puissance critique (22)
- Un art sous double contrainte : liberté absolue et liberté critique (25)
- L'art comme réflexivité sur le médium (31)
- Une compréhension dépolitisée des avant-gardes (36)

L'art contemporain contre la digestion (43)
- Un modèle de production devenu habitude de réception (46)
- La tentation de l'indisponibilité démêlée (49)
- Comment rendre une oeuvre indigeste : la vidéo, cas paradigmatique (51)
- La tentation du digestible dans la création même (64)
- L'anecdote comme discours produit par la t.a.c (71)
- Fausse rencontre et non-rencontre (75)

L’œuvre comme rencontre individuante (81)
- L'expérience vécue de la rencontre (81)
- L'erreur de l'esthétique : individu vs individuation (83)
- Les conditions de la rencontre individuante (88)
- La rencontre comme individuation collective (103)
- Comment l'art nous transforme : le pouvoir de forme des singularités (109)
- La rencontre comme tension de forme et résolution de problème (113)
- Combler les besoins vs inventer des vouloirs (117)
- Penser la réception comme relation : une autre cartographie de l'esthétique (120)

À la recherche des conditions d’une rencontre individuante : une étude de cas (127)
- Exacerber l'oeuvre comme relation (130)
- Inscrire la relation à l'oeuvre dans une durée longue (134)
- Quelques stratégies de la rencontre (135)
- L'oeuvre d'art comme dispositif de rencontre individuante organisée (144)
Qu'est-ce qui fait que quelque chose se passe devant une œuvre – ou qu'il ne se passe rien ?
À la croisée de la philosophie et de l'histoire de l'art, ce livre part sur la piste de nos relations à l'art contemporain, et aux œuvres d'art en général.
Et d'abord, une énigme : pourquoi avons-nous souvent l'impression, à l'occasion d'expositions d'art contemporain, que les œuvres sont indisponibles ? Comme si elles n'étaient pas là pour être ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; PHILOSOPHIE ; ART CONTEMPORAIN ; ESTHÉTIQUE ; PERCEPTION ; PHILOSOPHIE DE L'ART

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V

- 270
Cote : ESA-168

Veut-on vraiment que les habitants des quartiers populaires participent ? Deux analyses s'affrontent, en théorie comme en pratique, sur la participation des habitants aux politiques de la ville. La première pointe les dérives de « l'injonction participative », cette demande unilatérale et méprisante faite aux pauvres de se comporter en citoyens, sans leur donner la possibilité de débattre sur le fonctionnement des institutions. La seconde voit au contraire dans la participation un levier pour leur émancipation sociale et politique, et l’amélioration de l’action publique. Le croisement de plusieurs perspectives d’analyse et terrains d’enquête permet de dépasser cette vision binaire et de rendre compte de la manière dont les problèmes sociaux, économiques et urbains sont débattus dans l’espace public. L’ethnographie de la participation aide à mieux comprendre la manière dont les habitants prennent part, ou non, à la définition et à l’évaluation des politiques publiques qui les concernent. Cet ouvrage montre que l’apathie des habitants des quartiers d’habitat social n’est qu’apparente, ou plutôt qu’elle se développe dans des contextes d’interaction particuliers. Sous certaines conditions, au contraire, de nouvelles formes de contre-pouvoir, engendrées par l’activité délibérative des « artisans de la participation », émergent dans les milieux populaires.
Veut-on vraiment que les habitants des quartiers populaires participent ? Deux analyses s'affrontent, en théorie comme en pratique, sur la participation des habitants aux politiques de la ville. La première pointe les dérives de « l'injonction participative », cette demande unilatérale et méprisante faite aux pauvres de se comporter en citoyens, sans leur donner la possibilité de débattre sur le fonctionnement des institutions. La seconde voit ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; ANALYSE ; ETHNOGRAPHIE ; DEMOCRATIE ; PARTICIPATION ; THÉORIE ; POLITIQUE ; SOCIAL ; SCIENCES HUMAINES ; SOCIOLOGIE ; PARTICIPATION DES CITOYENS ; POLITIQUE URBAINE ; DEMOCRATIE PARTICIPATIVE

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- 174
Cote : URB-241

L'urbanisation du monde est elle irréversible? Pourquoi faudrait-il l'arrêter, l’ « air de la ville » rend libre, n’est-ce pas ?
Effectivement, il fut un temps où il permettait de s’affranchir du fief, puis quand aller chercher un salaire à l’usine libérait de la fatigue des champs. Mais aujourd'hui, la ville, cette terre promise, n’est plus qu’un mirage. Le plus grand exode de l'histoire de l'humanité est à l’oeuvre : d’une part vers l'hyper-espace télématique, assujetti à la domination des réseaux globaux et, d’autre part vers les mega-cities ou méga-régions de dizaines de millions d'habitants du Sud et de l'Est du monde.
En 2050, sur 9 milliards d'habitants 6,4 seront des urbains selon l'ONU. Mais les protagonistes de ce méga-exode n'arrivent plus « en ville », ils arrivent dans des urbanisations démesurées et sans fin.. Ces produits exponentiels des processus de déterritorialisation ont déjà gagné les banlieues de la ville-usine occidentale et ils se traduisent par la rupture des relations culturelles et environnementales avec les lieux et avec la terre, la perte des liens sociaux, la dissolution de l’espace public, des conditions d’habitat dé-contextualisées et homogènes, et la croissance de nouvelles pauvretés.

Le territoire, bien commun (9)
- Territoire (9)
- Territoire, bien commun (9)
- De la conservation des biens culturels au projet de territoire-bien commun (19)

L'urbanisation de la planète : un exode sans terre promise (25)
- Le processus de déterritorialisation continu (25)
- Le grand exode : l'urbanisation planétaire, une transformation anthropologique éco-catastrophique pour l'espèce humaine (40)

Le contre exode ou le retour au territoire-bien commun (49)
- Le retour au territoire (49)
- Les déclinaisons du retour au territoire (54)
- "Conscience de lieu" et auto-gouvernement du territoire (57)
- Usages civiques et nouvelles formes de gouvernement du territoire-bien commun (67)

La biorégion urbaine : un territoire d'accueil pour le contre-exode (73)
- La biorégion, instrument interprétatif et projectuel pour le retour à la terre (73)
- Une définition territorialiste de la biorégion urbaine (77)

Le projet de biorégion urbaine : un glossaire de ses "éléments constructifs" et de ses règles de transformtion (89)
- Les cultures et les savoirs du territoire et du paysage "fondations" cognitives de la biorégion (91)
- Les structures environnementales, "fondations" matérielles des établissements humains (102)
- Les centralités urbaines et leurs systèmes d'implantations polycentriques (109)
- Les systèmes productifs locaux qui valorisent le patrimoine de la biorégion (118)
- Les ressources énergétiques mocales pour l'autoproduction de la biorégion (123)
- Les structures ago-forestières et leurs valeurs multifonctionnelles pour les nouveaux pactes ville-campagne (127)
- Les structures de l'auto-gouvernement et de la production sociale du territoire pour un fédéralisme participatif (143)

L'autosoutenabilité de la biorégion : vers la recomposition des savoirs (151)
- Le partage et l'autodétermination (151)
- La production sociale du paysage (152)
- Recomposer les savoirs pour une science du territoire (155)
L'urbanisation du monde est elle irréversible? Pourquoi faudrait-il l'arrêter, l’ « air de la ville » rend libre, n’est-ce pas ?
Effectivement, il fut un temps où il permettait de s’affranchir du fief, puis quand aller chercher un salaire à l’usine libérait de la fatigue des champs. Mais aujourd'hui, la ville, cette terre promise, n’est plus qu’un mirage. Le plus grand exode de l'histoire de l'humanité est à l’oeuvre : d’une part vers l...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; GÉOGRAPHIE ; URBANISME ; LINGUISTIQUE ; SCIENCE DE LA LANGUE ; ECOLOGIE ; LITTERATURE ITALIENNE ; XX SIECLE ; BIOREGIONALISME ; AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE ; ASPECT ENVIRONNEMENTAL

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- 385
Cote : ESA-158

Alors qu'elle l'a longtemps négligée, l'écologie est entrée en ville et cherche à s'approprier l'écosystème urbain. L'enjeu est de taille dans un contexte mondial de plus en plus urbanisé. Cet ouvrage collectif interroge les différentes facettes de cette écologie qui s'urbanise, en proposant les perspectives croisées des sciences humaines et sociales, des sciences de la nature, ainsi que des gestionnaires urbains. L'objectif est de répondre à deux questionnements principaux en miroir. D'une part : Qu'est-ce que la ville fait à l'écologie ? En quoi fait-elle évoluer ses concepts, ses pratiques, ses imaginaires ? Et, d'autre part : Qu'est-ce que l'écologie fait à la ville ? En quoi influence-t-elle la gestion et la fabrique urbaine contemporaine ? Pour répondre à ces questions, les contributions abordent des espaces et des échelles – parcs, jardins privés, friches, quartier, système urbain – de même que des objets de connaissance naturalistes – plantes, animaux, insectes, sols – très variés dans les villes de Berlin, Zurich, Genève, Lausanne, Paris, Strasbourg et Marseille. Loin d'une opposition ville/nature cet ouvrage démontre pourquoi et comment écologie et ville s'associent et se transforment mutuellement dans un projet urbain écologique en devenir.

ECOLOGIE URBAINE : QUELLES GENEALOGIES ?
- Marginalia : esthétique, écologie et friches urbaines (31)
- De la chimie urbaine à l'écologie territoriale : deux siècles et demi d'analyse du métabolisme urbain (63)
- L'animal dans le viseur de l'écologie urbaine (95)

SAVOIRS, TRAJECTOIRES, IMAGINAIRES : QU'EST-CE QUE LA VILLE FAIT A L'ECOLOGIE ?
- 10 années de recherche en écologie urbaine sur la ville de Marseille : pour quels enseignements disciplinaires ? (125)
- Réinterroger ce qu'est la nature en ville avec les tortues exotiques des parcs publics de Strasbourg (157)
- Faire une écologie urbaine avec la ville : un parcours à partir des jardins privés (183)
- Faire de l'écologie en ville : témoignages de chercheurs (211)

FABRIQUES URBAINES : QU'EST-CE QUE L'ECOLOGIE FAIT A LA VILLE ?
- Mesurer le potentiel écologique des projets d'aménagement urbains, une étape vers la ville biodiversitaire ? (239)
- Aménager la friche : paysagisme et écologie sur la petite ceinture, Paris XV (265)
- Qu'y-a-t-il d'éco dans un écoquartier ? - La sous-estimation du sol dans l'urbanisme durable : le cas de Saint-Ouen entre passé agricole et reconversion industrielle (293)
- Peut-on s'occuper des papillons quand on est jardinier ? - La mise en oeuvres d'un programme de sciences participatives dans un service d'espaces verts urbains (319)

CONCLUSION
- Par-delà Barbapapa : imaginaires urbains de l'écologie qui vient (343)

- Trois approches écologiques de la ville (361)
Alors qu'elle l'a longtemps négligée, l'écologie est entrée en ville et cherche à s'approprier l'écosystème urbain. L'enjeu est de taille dans un contexte mondial de plus en plus urbanisé. Cet ouvrage collectif interroge les différentes facettes de cette écologie qui s'urbanise, en proposant les perspectives croisées des sciences humaines et sociales, des sciences de la nature, ainsi que des gestionnaires urbains. L'objectif est de répondre à ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; ÉCOLOGIE URBAINE ; URBANISME DURABLE

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- 254
Cote : ESA-153

Les enfants sont les grands oubliés de l'urbanisme et de l'architecture. Pour Gaston Bachelard, l'enfance est un pays dont on aura toujours la nostalgie et pas seulement un moment de notre existence. Ce pays recèle des lieux réels et imaginaires qui accueillent les jeux que les enfants inventent sans cesse. Ceux-ci alimenteront leurs souvenirs accumulés dans un coin de leur mémoire, comme autant de bienfaits, de paysages amicaux, d'animaux confidents, de copines et copains complices.
Ce sont dans et par ces territoires que l'enfant grandit en lui-même, qu'il devient un chercheur d'hors, toujours en quête d'un ailleurs... Et aussi, un faiseur de mondes qui emprunte à ses territoires (le ventre maternel, sa chambre, la classe, la cour de récréation, l'aire de jeux, les rues de son quartier, le jardin de ses grands-parents, la ville de ses cousins, la forêt du camp de vacances, la beauté du monde...) de quoi configurer sa géographie affective.
Des pédagogues "novateurs" (Geddes, Montessori, Decroly, Dewey, Freinet...), des psychologues et psychanalystes (Freud, Winnicott, Piaget, Wallon, Lécuyer...), des récits littéraires sont entremêlés aux souvenirs de l'auteur pour dessiner ce pays de l'enfance que nous portons tous en nous, comme un trésor.

- L'enfance comme pays (13)
- Du ventre maternel à une chambre à soi (31)
- A l'école buissonnière (65)
- Des aires de jeux au terrains d'aventure (117)
- Dehors, le fabuleux royaume de la ville récréative (149)
- Heureux vertige des réminiscences (193)
- Promenade bibliographique (199)
Les enfants sont les grands oubliés de l'urbanisme et de l'architecture. Pour Gaston Bachelard, l'enfance est un pays dont on aura toujours la nostalgie et pas seulement un moment de notre existence. Ce pays recèle des lieux réels et imaginaires qui accueillent les jeux que les enfants inventent sans cesse. Ceux-ci alimenteront leurs souvenirs accumulés dans un coin de leur mémoire, comme autant de bienfaits, de paysages amicaux, d'animaux ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; ECOLOGIE ; ENFANCE ; ENFANT ; PAYS DE L'ENFANCE ; VILLE ; URBANISME

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- 248
Cote : ESA-154

Une ressource, une communauté et des règles de gouvernance établies afin de gérer équitablement la ressource: l’alliance de ces trois éléments constitue ce que l’on nomme aujourd’hui «le commun».

Nous assistons ces dernières années à une véritable explosion des expérimentations et des réflexions autour de ce thème, qui est devenu une référence centrale de la lutte et de l’action politique, sociale, économique et urbaine. Toutefois, si l’on passe de la notion générale à son application à des cas concrets, nous nous apercevons que peu de travaux sont consacrés à la place que prennent les communs dans la ville et à la manière dont ils contribuent à la transformation de ses formes matérielles.

Les communs sont des espaces d’actions collectifs, mais aussi des lieux et des formes spatiales et paysagères: il peut s’agir d’une cour africaine, de la cage d’escalier d’un immeuble collectif, d’une friche industrielle ou d’un potager urbain. Cet ouvrage étudie les modalités d’appropriation de ces espaces par celles et ceux qui les pratiquent et met en résonance l’approche des sciences sociales avec celle de l’urbanisme, pour tenter de répondre à la question: en quoi et sous quelles conditions les communs contribuent-ils à mettre en rapport harmonieux la cité et la ville, les formes matérielles et les modes d’habiter ?

DES COMMUNS AU TERRITOIRE (11)
- De la renaissance des communs aux communs urbains - Éléments de définition (13)
- Les sorcières, les communs et le care (23)
- Les communs, la cité et la ville (35)

CONTROVERSE : LE COMMUN COMME PRINCIPE D’ACTION (57)
- Le commun comme phénomène, comme concept et comme projet (59)
- Malentendus autour du commun (67)
- Réponse au commentaire de Mathieu Berger (59)

LES COMMUNS URBAINS COMME FORMES D’HABITER (75)
- Vies artisanales, habitation du territoire et communalité (77)
- Le foncier comme ressource commune et rapport social (91)
- Nourrir les villes par les communs. Filières d’acteurs et rapport au territoire (99)
- Communs et modes de vie (109)
- Les déchets urbains comme biens communs à Ouagadougou (117)
- Communs d’habitation et économie sociale (125)

MISE EN RÉCIT VIDÉOGRAPHIQUE DES COMMUNS URBAINS (143)

(R)APPORTS DES COMMUNS AU PROJET D’URBANISME ET DE PAYSAGE (159)
- Les communs comme opérateurs d’espace public (161)
- Prospective des modes de vie : vers un retour des mobilités collectives ? (181)
- Communs et paysage (193)
- Commun agro-urbain et ville-jardin. Généalogie croisée d’une troisième voie (205)
- Repenser l’urbanisme au prisme des communs. Une «troisième voie» pour la ville diffuse ? (217)
Une ressource, une communauté et des règles de gouvernance établies afin de gérer équitablement la ressource: l’alliance de ces trois éléments constitue ce que l’on nomme aujourd’hui «le commun».

Nous assistons ces dernières années à une véritable explosion des expérimentations et des réflexions autour de ce thème, qui est devenu une référence centrale de la lutte et de l’action politique, sociale, économique et urbaine. Toutefois, si l’on ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; TERRITOIRE ; RECITS D'URBANISME

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- 207
Cote : ESA-155

Face à l'urgence écologique, institutions et citoyens entreprennent des politiques de ville durable, d'agriculture urbaine, de consommation locale… Autant d'efforts aussi louables et nécessaires qu'inéluctablement limités. Un élément fondamental est oublié?: le lieu de vie de la population. Dans cet essai militant, Henri Landes démontre la nécessité d'une meilleure répartition de la population sur le territoire français et propose des solutions concrètes pour amorcer ce changement. Ce nouvel exode pourra s'accomplir grâce à une prise de conscience individuelle et à une volonté d'accompagnement par les pouvoirs publics et les entreprises?: investir dans l'économie rurale, créer des microsociétés plus autonomes, reconnecter les citoyens-consommateurs au monde agricole, sensibiliser les nouvelles générations aux richesses de la ruralité pour, en somme, faire revivre ces territoires plus aptes à s'adapter aux conséquences du changement climatique. La véritable transition écologique est à notre portée. Repeuplons les campagnes !

Déconstruire les idées reçues sur le déménagement à la campagne (25)
- "La campagne, ce n'est pas pour moi, je suis quelqu'un de la ville" (26)
- "La France est un pays urbain et centralisé, on ne peut plus s'organiser autrement" (28)
- "Déménager et vivre à la campagne coûte cher" (31)
- "Retourner à la terre est synonyme de retour en arrière" (35)
- "Nous ne pouvons pas tous devenir agriculteurs" (38)
- "Vivre à la campagne est moins écoresponsable notamment parce qu'il faut se déplacer en voiture individuelle" (40)
- "En déménageant tous à la campagne, nous allons détruire l'environnement et épuiser les ressources naturelles" (45)
- "L'exode urbain entraîne la construction massive de logements dans les campagnes" (48)
- "Forcer les gens à vivre quelque part, c'est une atteinte à la liberté" (51)
- "Le monde de demain sera urbain de toute façon, la transition écologique se joue dans les villes durables (53)

Face au changement climatique, les campagnes sont notre planète B (57)
- les campagnes, plus résilientes face aux fortes chaleurs (57)
- Les bénéfices de l'agroécologie pour stocker le carbone (61)
- Les bénéfices de l'agroécologie pour préserver la ressource en eau (64)
- Restaurer et entretenir des forêts (66)
- La nature permet une médecine préventive et complémentaire au système de santé (67)
- Les villes durables ont aussi besoin de campagnes vivantes (71)

Investir dans l'économie rurale, une économie avec plus de vertus écologiques, de diversité et de sens... (75)
- Une activité professionnelle diversifiée, désenclavée et dans un cadre sain (75)
- Le potentiel et la révolution du télétravail (77)
- Une économie plus résiliente face aux crises et fondée sur la coopération (81)
- La croissance de l'emploi et une économie écoresponsable (89)
- L'entrepreneuriat dans les campagnes : un immense potentiel (93)
- Le sens et le bien-être au travail à la campagne (95)

L'agriculture a besoin de soutien et de nouvelles générations (99)
- Renouer le lien et soutenir les agriculteurs (plutôt que les stigmatiser) (99)
- Le besoin de plus de fermes et plus d'agriculteurs (105)
- Le changement d'objectif de l'agriculture française (109)
- Des pratiques diversifiées pour une agriculture résiliente (111)

Les savoir-faire à la campagne au service de la sobriété (117)
- Les savoir-faire manuels : une richesse des campagnes à préserver (119)
- Décentraliser l'énergie et favoriser l'innovation low-tech (122)
- L'autosuffisance et la sécurité alimentaire : un plaisir et une nécessité (126)
- L'exode urbain redéfinira le progrès (131)

Promouvoir l'éducation à la nature et aux modes de vie à la campagne, de la maternelle à l'enseignement supérieur (135)
- L'intégration des savoir-faire dans les programmes scolaires (135)
- L'éducation à l'observation, à la méditation et à la réflexion (137)
- Plus d'activités extérieures, et un peu moins de temps consacré aux écrans (138)
- Dans l'enseignement supérieur, des formations sur les villes durables mais pas sur les campagnes (142)
- La valorisation des campagnes par la présence d'universités (151)
- L'attente de changement de la jeunesse (153)

Les politiques publiques et les mesures pour organiser l'exode urbain (155)
- L'adoption d'une loi phare sur le peuplement des territoires (156)
- Deux nouveaux services reconnus par l'Etat : un service agricole et un service écologique (161)
- Différencier l'application de certaines mesures et réglementations (162)
- Régler le problème des déserts médicaux (167)
- Valoriser économiquement les atouts écologiques de la campagne (171)
- Maintenir la péréquation entre les territoires tout en favorisant la décentralisation (175)
- Europe, Etat, régions et départements : à chaque échelon son rôle (177)
- Une volonté politique au plus haut niveau (180)
- La responsabilité des entreprises (181)
- La responsabilité des associations et des experts de la transition écologique (182)
Face à l'urgence écologique, institutions et citoyens entreprennent des politiques de ville durable, d'agriculture urbaine, de consommation locale… Autant d'efforts aussi louables et nécessaires qu'inéluctablement limités. Un élément fondamental est oublié?: le lieu de vie de la population. Dans cet essai militant, Henri Landes démontre la nécessité d'une meilleure répartition de la population sur le territoire français et propose des solutions ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; EXODE URBAIN ; TRANSITION ECOLOGIQUE ; DÉVELOPPEMENT RURAL ; ESSAIS ET DOCUMENTS

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- 268
Cote : ESA-156

Vous souvenez-vous de votre dernière promenade ? La dernière fois que vous avez pris le temps de marcher, et d'observer ce qui vous entoure ? Le sociologue Lucius Burckhardt est l'un des premiers à remarquer, dans les années 1970, que la relation à notre environnement est en pleine mutation. Son intuition alors visionnaire est plus que jamais avérée aujourd'hui, alors que les nouvelles technologies et la crise écologique bousculent notre rapport au dehors.
Avec la promenadologie, approche esthétique et sociologique de la promenade, l'auteur entend refonder notre compréhension du paysage et de l'espace urbain, afin d'en saisir la diversité et la beauté. Un livre fondateur qui prend la forme d'une expérience éthique et nous aide à affiner notre regard sur le monde que l'on habite.

LE PAYSAGE
- L'évolution du paysage et la structure sociale - 1977 (29)
- Pourquoi le paysage est-il beau ? - 1979 (45)
- L'écologie ne serait qu'une mode ? - 1984 (55)
- La nature invisible - 1989 (63)
- La nature n'a ni écorce ni noyau - 1989 (71)
- Esthétique et écologie - 1990 (83)
- Esthétique du paysage - 1991 (88)
- Le paysage est transitoire - 1994 (109)
- La friche comme contexte - Existe-t-il des paysages postmodernes ? - 1998 (117)
- Paysage - 1998 (133)

LA PROMENADOLOGIE
- Considérations promenadologiques sur la perception de notre environnement et sur les devoirs de notre génération - 1996 (163)
- La promenadologie comme science - 1995 (171)
- Que découvrent les explorateurs ? - 1987 (213)
- Escalade sur l'île de Sylt - 1989 (219)
- Voir et reconnaître - 1993 (233)
- La promenadologie - Une nouvelle science - 1998 (241)
- Mouvement et point de vue - Expériences du promenadologue - 1999 (251)
Vous souvenez-vous de votre dernière promenade ? La dernière fois que vous avez pris le temps de marcher, et d'observer ce qui vous entoure ? Le sociologue Lucius Burckhardt est l'un des premiers à remarquer, dans les années 1970, que la relation à notre environnement est en pleine mutation. Son intuition alors visionnaire est plus que jamais avérée aujourd'hui, alors que les nouvelles technologies et la crise écologique bousculent notre rapport ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; PROMENADE ; ASPECT SOCIAL ; PAYSAGE ; ECOLOGIE HUMAINE

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- 243
Cote : ESA-157

La fabrication des villes s'est toujours organisée à partir de la constitution d'un centre. Lieu des échanges, des pouvoirs et du sens (religieux, politique, identitaire), le centre rassemblait une multiplicité de fonctions et quelque chose de plus : l'innovation, l'imprévu, l'ouverture sur le monde et l'altérité, l'effervescence sociale et, dans les démocraties, le débat public. Le centre de la ville était aussi celui de la société. Aujourd'hui ces caractéristiques sont plus que jamais d'actualité et pourtant le centre s'est décomposé en une multitude de centralités. Dans une lecture urbanistique et socio-économique, ce livre interroge : à quoi sert le centre aujourd'hui, en particulier dans la production de différents types de valeurs ?

LE CENTRE
- Les figures du centre (25)
- Fonctions et suprafonctionnalité du centre (37)
- La puissance du centre (49)
- Urbanité et valeurs du centre (61)

LES CENTRALITES
- Le non-centre n'est plus ce qu'il était (81)
- L'intensité en court-circuit ? (91)
- Une puissance affaiblie ou dérivée (99)
- Des symboles à consommer et un imaginaire en miettes (109)
- Les produits de la décomposition du centre (121)

FAIRE CENTRE
- Faut-il faire centre ? (133)
- Centre, centralités, modes de vie (145)
- Centres et centralité de proximité (161)
- Urbanisme des lieux et augmentation des centralités (185)
- Travailler les centralités (197)
- L'avenir des centres anciens (211)

Conclusion (227)
La fabrication des villes s'est toujours organisée à partir de la constitution d'un centre. Lieu des échanges, des pouvoirs et du sens (religieux, politique, identitaire), le centre rassemblait une multiplicité de fonctions et quelque chose de plus : l'innovation, l'imprévu, l'ouverture sur le monde et l'altérité, l'effervescence sociale et, dans les démocraties, le débat public. Le centre de la ville était aussi celui de la société. Aujourd'hui ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; CENTRE VILLE ; VILLE ; URBANITÉ ; CENTRE ANCIEN

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- 178
Cote : ESA-143

F reiner fortement le système automobile, sur l’ensemble du territoire, est probablement nécessaire et urgent, si l’on se réfère notamment à la situation climatique.
Peut-on cependant se fier aux adjectifs-sésame tels que vert, citoyen, éco-responsable, propre, civilisé, doux, ou apaisé, qui qualifient les politiques contemporaines ? Les outils techniques en vogue (tramway, « zone de rencontre », voiture électrique) et les mots d’ordre consensuels (le développement des « modes doux », la lutte contre l’étalement urbain, la répression des comportements polluants ou inciviques) permettent-ils vraiment de promouvoir des mobilités durables, c’est-à-dire aux conséquences environnementales et sociales maîtrisées ? La grandeur de la justification écologique n’est-elle pas instrumentalisée au service d’une compétition féroce entre métropoles en quête d’attractivité ?
Cet ouvrage rassemble des points de vue critiques et documentés autour d’une trentaine de slogans, notions et outils techniques relatifs à la mobilité urbaine durable en insistant sur les implications sociales et politiques de leur usage et la complexité de leurs effets. Son ambition est de nourrir les réflexions et le travail d’argumentation, de rendre visible des controverses, d’ouvrir des débats, bref de politiser au sens noble du terme les objets contemporains de la mobilité durable.

- Automobile (27)
- Boulevard urbain (31)
- Délinquance routière (37)
- Deux-roues motorisés (41)
- Droit au transport, droit à la mobilité (47)
- Etalement urbain (51)
- Immobilité (59)
- Libre choix modal (63)
- Modération de la circulation (69)
- Modes doux (73)
- Parc relais (77)
- Partage de la voirie (83)
- Péage urbain (87)
- Pédibus (bus pédestre) (95)
- Piétonisation (aire piétonne) (101)
- Répression (107)
- Réseau vert (113)
- Rue nue (naked street, shared space) (117)
- Tramway (121)
- Urbanisme sécuritaire (131)
- vélo en libre-service (139)
- Vidéosurveillance, technologies du contrôle, automates judiciaires (143)
- Ville lente (cittaslow, slow city) (151)
- Voiture électrique (155)
- Voiture-ventouse (161)
- Zone de rencontre (167)
F reiner fortement le système automobile, sur l’ensemble du territoire, est probablement nécessaire et urgent, si l’on se réfère notamment à la situation climatique.
Peut-on cependant se fier aux adjectifs-sésame tels que vert, citoyen, éco-responsable, propre, civilisé, doux, ou apaisé, qui qualifient les politiques contemporaines ? Les outils techniques en vogue (tramway, « zone de rencontre », voiture électrique) et les mots d’ordre ...

SOCIOLOGIE ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; GÉOGRAPHIE ; ENVIRONNEMENT

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- 192
Cote : ESA-146

La transition écologique, qu'appellent de tous leurs voeux de nombreuses figures publiques, s'impose dans la discussion collective. Cet ensemble d'entretiens, rencontres, débats, analyses littéraires et odes à la vie permet de transformer notre rapport à la nature. Qu'ils soient agroécologistes, ethnologues, journalistes, philosophes, auteurs, écoculteurs, gestionnaires de forêt, ingénieurs..., ou un peu de tout ça à la fois, chacun raconte l'interdépendance entre les espèces et dit l'espoir de la connexion au vivant. Ce corpus lumineux, aux tons très différents - il en faut pour tous les goûts, répare les angoisses et le lien rompu avec la nature.

La modernité a transformé la nature en objet de domination et a défait les liens émotionnels et merveilleux qu'entretenaient avec elle les Occidentaux. Mais aujourd'hui, face aux crises liées à la destruction des écosystèmes, il semble urgent de renouer ces liens et de modifier notre rapport au vivant. Dans une discussion polyphonique mêlant des voix bien connues, la nature étire ses branches pour s'imposer non plus comme l'altérité mais comme un tout dont les hommes et les femmes font partie. Le message est multiple et puissant : nous devons apprendre à vivre en harmonie avec notre environnement, nous insérer dans le cycle du vivant, arrêter de nous surestimer, réapprendre à réparent entraider, semer le trouble, nous inspirer de la nature et repenser nos structures politiques. Interrogés ou racontés, ces penseurs-chercheurs du vivant avec leurs différentes sensibilités les angoisses et le lien rompu avec la nature.

Sommaire :
"La nature, ça n'existe pas" (9)
Comment l'Occident a joué avec les nuages (17)
Des lumières écologiques (23)
Libres de polluer ? (29)
L'épopée d'Homo Sapiens (35)
L'homme face au sauvage (43)
Fin du monde et détresse écologique (51)
Apprendre à vivre dans un monde abîmé (57)
Qu'est-ce que l'écoféminisme ? (63)
L'autre Loi de la jungle (69)
"La vie n'est pas toujours une étincelle miraculeuse" (77)
A l'écoute des oiseaux (85)
Cohabiter avec les animaux (91)
"L'espèce humaine doit cesser de se surestimer" (99)
La nature a-t-elle touours raison ? (105)
Pister les animaux (111)
Considérer les gorilles (119)
Comment le blé a piégé l'humanité (127)
Ce champignon survivra au capitalisme (135)
L'agronomie doit revenir sur terre (141)
"Je parle de chaos climatique" parce que personne ne sera à l'abri" (151)
Notre-Dame-des-Landes, bilan d'une utopie concrète (161)
Eloge de la montagne (167)
Les terrestres contre le hors-sol (173)
En 2025, on vote la fin du pétrole : une fiction de Bruno Latour (179)
Bienvenue dans la zoopolis ! (185)
La transition écologique, qu'appellent de tous leurs voeux de nombreuses figures publiques, s'impose dans la discussion collective. Cet ensemble d'entretiens, rencontres, débats, analyses littéraires et odes à la vie permet de transformer notre rapport à la nature. Qu'ils soient agroécologistes, ethnologues, journalistes, philosophes, auteurs, écoculteurs, gestionnaires de forêt, ingénieurs..., ou un peu de tout ça à la fois, chacun raconte ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE

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- 96
Cote : ESA-147

Issu d'un duo ethnologue/photographe, ce livre retrace, à travers mémoires et témoignages collectés auprès de viticulteurs-coopérateurs de Montpeyroux, l'histoire locale d'un mouvement sociopolitique qui a transformé l'histoire du village. Solliciter ces paroles a permis d'identifier des valeurs et des souvenirs partagés : ceux de la coopération viticole.

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE ; VITICULTEUR ; VITICULTURE ; CAVE COOPERATIVE ; HISTOIRE LOCALE

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- 341
Cote : ESA-148

Un recueil de témoignages inspirants...

Figuig, oasis du Sud-est marocain. Enclavée depuis la fermeture des frontières. Trente-deux femmes ont bien voulu confier leur détresse, leur impatience, leur ennui, leurs peurs, mais aussi leurs aspirations, leur volonté de s’affranchir de certaines des traditions, de s’émanciper. De leur désir de mieux comprendre la religion, de leurs espoirs, de paix, de plus d’égalité. Autant de témoignages qui nous transportent loin, dans les jardins, près des séguias, au souk et nous enrichissent sur l’humanité.
Un recueil de témoignages inspirants...

Figuig, oasis du Sud-est marocain. Enclavée depuis la fermeture des frontières. Trente-deux femmes ont bien voulu confier leur détresse, leur impatience, leur ennui, leurs peurs, mais aussi leurs aspirations, leur volonté de s’affranchir de certaines des traditions, de s’émanciper. De leur désir de mieux comprendre la religion, de leurs espoirs, de paix, de plus d’égalité. Autant de témoignages qui nous ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; SOCIOLOGIE ; OASIS ; TERRE CRUE ; TEMOIGNAGE ; MAROC

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- 216
Cote : ESA-149

Tout plaquer pour partir vivre au vert et imaginer un mode de vie plus solidaire : c'est le projet de Mich et Julie, dont la routine est joyeusement bouleversée le jour où ils décident de remonter un collectif avec les jeunes qui viennent d'arriver dans leur hameau. Tout est à inventer : poulailler partagé, groupe de parole, répartition des récoltes... Mais rapidement, les différences qui faisaient la richesse du groupe commencent à poser problème...
Deux membres du collectif racontent leur expérience sans tabous : à l'heure où préoccupations écologiques et aspirations à la décroissance génèrent de nombreuses vocations de néo-ruraux, Le Collectif apporte un témoignage choral, joyeux et plein d'optimisme de ce choix de vie pas si utopique.
Tout plaquer pour partir vivre au vert et imaginer un mode de vie plus solidaire : c'est le projet de Mich et Julie, dont la routine est joyeusement bouleversée le jour où ils décident de remonter un collectif avec les jeunes qui viennent d'arriver dans leur hameau. Tout est à inventer : poulailler partagé, groupe de parole, répartition des récoltes... Mais rapidement, les différences qui faisaient la richesse du groupe commencent à poser ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; BANDE DESSINÉE ; BANDES DESSINEES AUTOBIOGRAPHIQUES ; COMMUNAUTES ; MODE DE VIE DURABLE ; UNIVERS JEUNESSE ; ECOHAMEAU ; ECO-HAMEAU

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- 175
Cote : ESA-150

« J’ai exploré les tiers-lieux en essayant de comprendre comment s’organisent ces individus, ce qu’ils redoutent, ce qu’ils espèrent. J’ai étudié sur le terrain ces populations émergentes, avec leurs coutumes et leurs mœurs. J’ai utilisé leurs services, leurs outils, leurs référentiels juridiques et politiques. J’ai participé à la création des services, produit des textes, alimenté des réflexions. J’y ai trouvé des amis, des emplois, des méthodes, des axes de recherche, et ma compagne. J’ai vécu comme eux, voyagé, consommé, rencontré les mêmes angoisses, les mêmes joies. Et c’est un engrenage, car ils explorent une autre manière de vivre en société, de penser les organisations et la création de valeurs. C’est une pratique quotidienne, et, lorsque l’on commence à s’y frotter, peu importe sa viabilité à long terme, il est difficile de faire marche arrière. » Ce livre est le résultat de près de cinq années de recherche sur le terrain. Antoine Burret retrace l’origine des tiers-lieux et analyse leurs racines philosophico-politiques. Il décrit comment, dans une société gouvernée par l’information, ils sont devenus des lieux de vie et de production. Il montre que la manière de travailler et de vivre qu’ils proposent débouche sur des modèles de création entrepreneuriale très éloignés du schéma directeur des start-up. Cet ouvrage apporte un éclairage essentiel pour comprendre l’avènement d’une économie collaborative où l’individu se retrouve entrepreneur de soi, où les modes de travail et de salariat issus de la révolution industrielle se sont radicalement transformés.

- Le plus grand bonheur du plus grand nombre (21)

- L’invention des tiers-lieux (67)

- Avant d’en revenir à la culture (107)

- Le concierge et le dictateur bienveillant (145)

- Conclusion (163)

- Quelques exemples de tiers-lieux (166)
« J’ai exploré les tiers-lieux en essayant de comprendre comment s’organisent ces individus, ce qu’ils redoutent, ce qu’ils espèrent. J’ai étudié sur le terrain ces populations émergentes, avec leurs coutumes et leurs mœurs. J’ai utilisé leurs services, leurs outils, leurs référentiels juridiques et politiques. J’ai participé à la création des services, produit des textes, alimenté des réflexions. J’y ai trouvé des amis, des emplois, des ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; TIERS-LIEUX ; FABLAB ; HACKERSPACES ; TIERS-LIEUX

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- 256
Cote : ESA-152

Saviez-vous que les objectifs de « neutralité carbone » reposent largement sur des technologies qui n’existent pas ? Que la destruction d’une zone naturelle peut être « compensée » par l’investissement dans un produit financier ? Que l’on ne produira jamais assez d’hydrogène « vert » pour remplacer le pétrole ? Alors que l’enjeu écologique est décisif, nous avons un besoin urgent de clarifier les débats sur le sujet. Le greenwashing est ce qui nous en empêche. Évoquant tour à tour un verdissement de façade, la récupération d’un discours environnementaliste vidé de sa substance, la mise en place d’innovations aux effets « écologiques » douteux, il biaise le débat public et empêche des choix démocratiques éclairés.
Fort de ses vingt-quatre entrées : croissance verte, économie circulaire, énergies décarbonées, dématérialisation, politiques publiques, nucléaire, transition, véhicule propre, ville durable… ce manuel d’autodéfense intellectuelle permet d’appréhender le greenwashing dans toute son ampleur. Trente-cinq scientifiques et spécialistes de ces questions révèlent les fausses promesses, les illusions rassurantes et les formes d’enfumage qui nous enferment dans des trajectoires insoutenables. Un outil essentiel pour ouvrir la voie aux bifurcations nécessaires.

- Du verdissement de façade au verrouillage de l'avenir : formes et fonctions du greenwashing (11)
- Agriculture durable : comment la nocivité de l'agriculture industrielle est-elle dissimulée ? (35)
- Anthropocène : l'écomodernisme pour piloter la catastrophe écologique ? (44)
- Biodiversité : à qui profite le flou ? (53)
- Compensation : notre impact sur la biosphère peut-il être l'objet d'un jeu comptable ? (61)
- Construction écoresponsable : le grand gâchis des normes environnementales ? (69)
- Croissance verte : la raison économique peut-elle faore l'économie de la raison ? (76)
- Dématérialisation : le monde numérique est-il un paradis virtuel ou un bagne industriel ? (85)
- Développement durable : jusqu'à quand va-t-on perpétuer la religion du Progrès ? (93)
- Eco-citoyen (écocitoyen) : changer les individus sans repenser la société ? (101)
- Economie circulaire : recycler la promesse d'infini ou prendre au sérieux les limites écologiques ? (108)
- Ecopsychologie : simple développement personnel ou combat culturel ? (116)
- Energie décarbonée : mangeons-nous assez de frites, pour voyager en avion ? (122)
- Finance verte : financer la transition ou financiariser la nature ? (135)
- Nationalisme vert : peut-on concilier nationalisme et écologie ? (143)
- Nature humaine : l'être humain est-il écocidaire par nature ? (150)
- Neutralité carbone : quand la baignoire déborde, le plus simple n'est-il pas de fermer le robinet ? (157)
- Nucléaire : un avenir à la fois plus chaud et plus radioactif ? (164)
- Politiques publiques : en matière d'écologie, l'Etat peut-il autre chose que se payer de mots ? (173)
- Prise de conscience : une incantation au service des pollueurs ? (183)
- Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) : peut-on moraliser les joueurs sans changer les règles du jeu économique ? (191)
- Tourisme : quelle empreinte pour visiter le monde de manière "responsable" ? (199)
- Transition : évoluer vers un monde soutenable ou relancer les illusions du développement durable ? (205)
- Véhicule propre : changer de voiture pour changer le monde ? (215)
- Villes durables : les métropoles peuvent-elles verdir autre chose que leurs façades ? (224)
Saviez-vous que les objectifs de « neutralité carbone » reposent largement sur des technologies qui n’existent pas ? Que la destruction d’une zone naturelle peut être « compensée » par l’investissement dans un produit financier ? Que l’on ne produira jamais assez d’hydrogène « vert » pour remplacer le pétrole ? Alors que l’enjeu écologique est décisif, nous avons un besoin urgent de clarifier les débats sur le sujet. Le greenwashing est ce qui ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; GUIDE ; NEUTRALITE CARBONE ; ECO-BLANCHIMENT ; ARGUMENTATION ECOLOGIQUE

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- 96
Cote : ESA-151

Nos villes sont les grandes oubliées du débat politique. Elles fondent pourtant nos relations humaines. Leur construction doit être culturelle et sensible pour répondre à nos besoins.
Au moment où nous entamons une décennie décisive pour l’avenir de l’homme sur la Terre, nous ne pouvons plus attendre : il faut proposer une vision courageuse de la ville, à la hauteur des enjeux du siècle. Une vision qui tienne compte de ses habitants comme du ménagement de la planète. Mais alors qu’il y a urgence à adapter la ville qui nous entoure aux chocs qui commencent, nous privilégions encore l’étalement urbain et la construction neuve.

- Ce qu'il faut laisser derrière nous (15)
- La ville du futur est déjà là (25)
- Faire la ville en circuit court (35)
- Bien chez soi et bien en ville (43)
- Faire la campagne à la ville (51)
- Libérer nos rues (59)
- La ville est le coeur de notre démocratie (67)
- Quels territoires voulons-nous ? (77)
Nos villes sont les grandes oubliées du débat politique. Elles fondent pourtant nos relations humaines. Leur construction doit être culturelle et sensible pour répondre à nos besoins.
Au moment où nous entamons une décennie décisive pour l’avenir de l’homme sur la Terre, nous ne pouvons plus attendre : il faut proposer une vision courageuse de la ville, à la hauteur des enjeux du siècle. Une vision qui tienne compte de ses habitants comme du ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; LA VILLE DE DEMAIN ; VILLE ; POLITIQUE URBAINE

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