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Documents  Gilles Clément | enregistrements trouvés : 3

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Cote : PAY-060

Les bouleversements climatiques que nous connaissons aujourd'hui ont des conséquences sur les paysages et leur devenir.
Dans ce contexte, Les Carnets du paysage ont choisi d'explorer la question des impacts de ces modifications multiples sur notre manière de percevoir et surtout de transformer les paysages. Comment le changement climatique peut-il affecter la façon dont tes paysages se fabriquent, en quoi les paysagistes, les aménageurs, les responsables politiques vont-ils intégrer cette nouvelle donne à laquelle ils devront et doivent déjà faire face ? Autrement dit, comment projeter et gouverner à court et à long terme le paysage, cet être en perpétuel devenir, en fonction des désordres et des déséquilibres que de tels phénomènes suscitent, qu'ils soient environnementaux, sociaux, géopolitiques, voire juridiques ? Comment agir sur le paysage sous de nouveaux climats ? L'objectif de ce dossier est d'attirer l'attention sur un certain nombre de démarches en cours, sur des solutions actuellement expérimentées et sur les mutations dans les pratiques et les représentations paysagères qui peuvent déjà être observées, tout comme sur tes enjeux plus théoriques qui apparaissent ainsi soulevés : projeter le paysage, c'est aussi anticiper sur le futur.
SOMMAIRE
Agir sous de nouveaux climats (3)
Nuages (10)
Du patrimoine des jardins dans un climat en mutation : une approche britannique (20)
Etre attentif aux moindres bruissements (36)
Polders du XXIe siècle : des paysages diversifiés et mouvants (50)
Montagne défaite (74)
L'arbre et le ciel (80)
Vues du ciel : les conséquences écologiques d'un mode de vie (96)
La fiction comme outil de projet de paysage (104)
La revanche du château de sable (114)
Et si le droit invitait au jardinage (124)
Une diplomatie sans paysages (144)
Sur la rive, à la marge (152)
Les bouleversements climatiques que nous connaissons aujourd'hui ont des conséquences sur les paysages et leur devenir.
Dans ce contexte, Les Carnets du paysage ont choisi d'explorer la question des impacts de ces modifications multiples sur notre manière de percevoir et surtout de transformer les paysages. Comment le changement climatique peut-il affecter la façon dont tes paysages se fabriquent, en quoi les paysagistes, les aménageurs, les ...

DEFIS CLIMATIQUE ; CLIMAT ; CLIMATOLOGIE

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- 263
Cote : PAY-071

Avec Gilles Clément naît un jardin totalement nouveau, le premier jardin qui n'est pas pensé en fonction de la présence humaine et dans lequel l'homme est un visiteur parmi d'autres visiteurs vivants, végétaux et animaux, une présence non nécessaire et parfois exclue, comme sur l'île du parc Derborence, dans le parc Matisse à Lille. Le jardin de Gilles Clément est effectivement une région sur laquelle l'homme n'a qu'une souveraineté limitée, et c'est la limitation de ces pouvoirs qui suscite le mystère, l'exotisme énigmatique et le charme incomparable de ces lieux. Les projets présentés dans ce livre offrent une vision significative d'une activité exercée depuis presque quarante ans ; procédant à travers une multitude d'expériences, d'intérêts et de lieux différents, elle parvient aujourd'hui à exprimer, de manière extrêmement claire et complète, une vision globale. Naturellement, Gilles Clément a de nombreux autres projets en cours ; ils sont animés, et il s'en est fait une règle, par une forte volonté d'expérimentation. Cependant, il est aisé de reconnaître, dans le niveau qu'il a atteint au cours de cette dernière décennie, une espèce de "climax", le sommet d'une trajectoire d'une grande originalité. Elle est aujourd'hui une référence incontournable, évocatrice et fertile, pour toute la culture projectuelle. Il n'est pas exagéré, en effet, de penser que le message de Gilles Clément représente une véritable révolution copernicienne, à commencer par son point de départ, le jardin en mouvement. Si le jardinier observe, accompagne et suit le mouvement (plus ou moins) spontané du jardin, qu'en est-il de l'idée de landscape design ? La différence est nette, le design apparaît irréversiblement hors jeu. Il faut cependant établir une distinction. Il y a le dessin formel, celui qui instaure une relation à la nature fondée sur la domination totale de celle-ci, dans la sélection et dans la disposition des essences végétales et dans la nécessaire manipulation du sol. Ce design s'appuie sur un traitement fortement sélectif du sol, sur un contrôle sévère du monde vivant et sur le caractère immuable de l'ordre institué par le dessin. Il existe, par ailleurs, un design différent, alternatif, plus difficile à définir, qui projette la partie permanente du jardin, ce que nous pourrions appeler l'infrastructure, et qui garantit le respect des nécessités de base : accessibilité et facilité des parcours, bien-être et sécurité, aussi bien pour les visiteurs que pour les êtres vivants du jardin. Dans certains projets, au Royal et dans le parc Matisse, ce dessin se limite à quelques éléments significatifs : les escaliers, les parcours, l'île écologique, et l'on perçoit les échos de l'expérience menée dans le jardin de la Vallée. Ce sont les réalisations les plus radicales, celles où le savoir et le goût expérimental du jardinier sont le plus visibles. Dans les projets de Blois et de Valloires, la relation avec les bâtiments historiques se reflète dans une relecture des figures traditionnelles - l'esplanade, la grotte, la promenade, les escaliers, l'axe perspectif - qui sont traitées de manière utilitaire, dépouillées de l'emphase monumentale et renforcées dans leur rôle fonctionnel, dans l'organisation et la distribution des espaces.
- Le jardinier nomade, le voyageur permanent (9)
- Les caractéristiques du jardin planétaire (10)
- Le paysage est un détail du jardin (55)
Neuf jardins :
- Château de Blois (81)
- Musée du quai Branly, Paris (95)
- Parc Henri-Matisse, Lille (115)
- Abbaye de Valloires, Somme (131)
- Fontaine d'herbe, DRAC Rénion (151)
- Parc André-Citroën, Paris (161)
- La vallée, Le Champ, Creuse (207)
- Domaine du Rayol, Var (225)
- Jardins de la grande arche, Paris (245)
Avec Gilles Clément naît un jardin totalement nouveau, le premier jardin qui n'est pas pensé en fonction de la présence humaine et dans lequel l'homme est un visiteur parmi d'autres visiteurs vivants, végétaux et animaux, une présence non nécessaire et parfois exclue, comme sur l'île du parc Derborence, dans le parc Matisse à Lille. Le jardin de Gilles Clément est effectivement une région sur laquelle l'homme n'a qu'une souveraineté limitée, et ...

JARDIN ; JARDINIER ; PAYSAGE

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Le paradoxe environnement-écologie
Acte de la conférence du 11 Février 2010, Gilles Clément, paysagiste, écrivain, jardinier, enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles.

CYCLE DE CONFERENCE CAUE DU GARD ; CONFERENCE CAUE DU GARD ; PAYSAGISME ; PAYSAGISTE ; PAYSAGE ; ENVIRONNEMENT

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