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Documents  Editions du Seuil | enregistrements trouvés : 15

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Q


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2y

- 560
Cote : ESA-166

Comment fixe-t-on son choix électoral dans cet Archipel qu’est devenue la France ? De quel poids pèsent les singularités individuelles au regard des variables sociales et de l’environnement géographique ? Vers quel type de dessein collectif les nouveaux déterminants du vote nous conduisent-ils ?

Pour brosser le tableau politique de la France d’après, Jérôme Fourquet a une nouvelle fois arpenté le territoire, collecté des données statistiques, dressé des cartes et tracé des graphiques repérant les facteurs contextuels qui, aujourd’hui, façonnent le vote. Mais au-delà de ces variables collectives, il a pris la mesure du poids qu’acquièrent les déterminants individuels (niveau de diplôme, profession, âge) à mesure que l’ « archipélisation » progresse. Et pour en rendre compte, le sondage d’opinion s’avère particulièrement pertinent : son usage, complémentaire de l’approche géographique, fait ici merveille, l’auteur réalisant en quelque sorte l’alliance de « la carte et du camembert».

Un siècle après André Siegfried (Tableau politique de la France de l’Ouest, 1913), Jérôme Fourquet remet ainsi sur le métier l’ouvrage pour traquer, d’une région à l’autre, les ressorts profonds de la formation des opinions politiques et des votes. Sans esquiver la question de savoir de quoi sera fait l’avenir politique de cette France multiple et recomposée dans les années et les décennies qui viennent.

Fin des fiefs et réminiscence périodique d’anciennes couches culturelles

Partie 1 : La fin des fiefs
Le Belinois ou l’arasement du vieux référentiel siegfriedien (23)
Le Parti socialiste ne règne plus sur la Nièvre mitterrandienne (35)
La Seine-Saint-Denis ou la dislocation de la banlieue rouge (43)
La Corse : le crépuscule des clans (55)
Le palimpseste alsacien (63)

Partie 2 : La résurgence ponctuelle d’anciennes couches culturelles
La crise des Bonnets rouges de 2013 et le vote pour la liste Troadec en 2014 comme une réminiscence de la révolte de 1675 (75)
Présidentielle de 2022 : l’écho de Jean Lassalle dans les montagnes des pays d’oc (81)
Mélenchon réactive la mémoire de la Résistance dans les anciennes zones de maquis (87)

Le nouveau cadastre électoral

Partie 1 : Monographies régionales
La dorsale de l’Ouest intérieur (99)
Les grandes marges franciliennes (107)
Le limes parisien (123)
Toulouse, pas assez bobo pour passer aux Verts ? (133)
La basse vallée du Rhône : un couloir frontiste (155)
Plaine et montagne : contrastes catalans (167)

Partie 2 : Déclinaisons et focus thématiques
Géographie électorale du vignoble français (179)
Luttes environnementales, pollution et vote écologiste (193)
Centrales nucléaires, raffineries et éoliennes (199)
Gendarmes et voleurs (205)
Le vote des casernes (215)
Européennes 2019 : La cause animaliste s’invite dans les urnes (221)

L’élection présidentielle de 2022

Partie 1 : La poursuite de la décomposition/recomposition

Au premier tour : Macron / Le Pen, deux France face à face (241)
Genèse et mutation du macronisme électoral (273)
L’archipel électoral mélenchoniste (305)
PS et LR : Ground Zero (337)
Géographie du zemmourisme (343)
Le profil des candidats aux législatives comme métaphore de la tripartition politique et sociologique du pays (365)

Partie 2 : 2002‑2022 : Retour sur la montée des eaux bleu-marines
Une progression dans tous les segments sociodémographiques (381)
Les mécanismes de la diffusion géographique (393)
Délinquance et violences : franchissement de seuils et propagation sur le territoire (419)
L’emprise croissante du trafic de stupéfiants, facteur de déstabilisation de la société française (447)
La France Orange mécanique, CNews, Enquête d’action : une médiatisation accrue de la délinquance (459)
Les séquelles de la vague terroriste (469)
La poursuite de l’immigration au coeur de la dynamique frontiste (487)
Du SPULEN à Samuel Paty : inversion de polarité sur la laïcité (505)
Laissés-pour-compte de la révolution éducative et relégués de la société de consommation (511)
La disparition des services publics, carburant électoral du RN dans les petites villes et les villages (523)

Conclusion (533)
Comment fixe-t-on son choix électoral dans cet Archipel qu’est devenue la France ? De quel poids pèsent les singularités individuelles au regard des variables sociales et de l’environnement géographique ? Vers quel type de dessein collectif les nouveaux déterminants du vote nous conduisent-ils ?

Pour brosser le tableau politique de la France d’après, Jérôme Fourquet a une nouvelle fois arpenté le territoire, collecté des données statistiques, ...

SCIENCES HUMAINES ; SOCIOLOGIE ; POLITIQUE ET FAITS DE SOCIÉTÉ ; SOCIOLOGIE POLITIQUE

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V

- 416
Cote : E-231

Voici une histoire radicalement nouvelle de l’énergie qui montre l’étrangeté fondamentale de la notion de transition. Elle explique comment matières et énergies sont reliées entre elles, croissent ensemble, s’accumulent et s’empilent les unes sur les autres.
Pourquoi la notion de transition énergétique s’est-elle alors imposée ? Comment ce futur sans passé est-il devenu, à partir des années 1970, celui des gouvernements, des entreprises et des experts, bref, le futur des gens raisonnables ?
L’enjeu est fondamental car les liens entre énergies expliquent à la fois leur permanence sur le très long terme, ainsi que les obstacles titanesques qui se dressent sur le chemin de la décarbonation.

Une histoire symbiotique de l'énegie (13)
- La transition introuvable (15)
- des fresques transitionnistes (19)
- Quand chaque tonne compte (26)

A la lueur d'une bougie (33)
- Modernité de la bougie (36)
- Sous les techniques, la matière (40)
- Sous les matières, le travail (44)
- La malmesure de l'énergie (47)

"L'âge de" : le phasisme matériel et ses problèmes (55)
- Séductions du phasisme (56)
- À qui appartiendra l'âge électrique ? (62)
- "Un raccourci aussi brillant que trompeur" (65)
- Le phasisme matériel en histoire (68)

Une histoireboisée du charbon (77)
- Les vraies forêts souterraines (78)
- Echanges croisés (84)
- Un lent désencastrement (90)

Timber palace (97)
- Les chemins de fer étaient en bois (98)
- De briques et de bois (103)
- Charbon et conservation (105)

Liaisons carbone (113)
- des liens en acier (114)
- Sous la route : les mineurs (119)
- Du charbon dans les réservoirs (125)
- Une union sans cesse plus étroite (128)
- Déplacer les montagnes (132)

Carbon fallacy (141)

Les racines de la croissance (157)
- There will be wood (158)
- Interlude guerrier (163)
- Accumuler du capital (166)
- Emballer la croissance (173)
- Liqueurs noires et "énergie verte" (181)

La pétrolisation du bois (187)
- La brutalité du pétrole (188)
- Le charbon de bois : une énergie nouvelle (196)

Technocracy inc (2023)
- Radicalisme énergétique (205)
- L'avenir est logistique (212)

Les malthusiens atomiques (223)
- Le futur comme présent agrandi (224)
- Pic pétrolier et plateau atomique (228)
- Le climat : une alerte atomique (239)

L'invention de la crise énergétique (249)
- "Environmental blacklash (250)
- Un choc et des transitions (253)
- L'effet logistique (262)

La carte technologique (275)
- La transition en cinquante ans (276)
- "Penser le climat comme une ressource" (280)
- Exxon invente le futur (286)
- "Living with climate change" (294)
- Troisième groupe ou cinquième colonne ? (302)
- La crise des modèles (311)
Voici une histoire radicalement nouvelle de l’énergie qui montre l’étrangeté fondamentale de la notion de transition. Elle explique comment matières et énergies sont reliées entre elles, croissent ensemble, s’accumulent et s’empilent les unes sur les autres.
Pourquoi la notion de transition énergétique s’est-elle alors imposée ? Comment ce futur sans passé est-il devenu, à partir des années 1970, celui des gouvernements, des entreprises et des ...

ÉNERGIE ; DECARBONATION ; SCIENCES FONDAMENTALES ; FIN DU MONDE ; ENVIRONNEMENT ; HISTOIR DES SCIENCES ; TRANSITION ENERGETIQUE

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V

- 168
Cote : ESA-167

Qu'est-ce qui fait que quelque chose se passe devant une œuvre – ou qu'il ne se passe rien ?
À la croisée de la philosophie et de l'histoire de l'art, ce livre part sur la piste de nos relations à l'art contemporain, et aux œuvres d'art en général.
Et d'abord, une énigme : pourquoi avons-nous souvent l'impression, à l'occasion d'expositions d'art contemporain, que les œuvres sont indisponibles ? Comme si elles n'étaient pas là pour être appréciées, rencontrées. Comment expliquer ces rencontres manquées, autrement que par une inculture du visiteur ou une décadence de l'art contemporain ? Cet échec de communication est ici élucidé à travers une généalogie des contraintes qui pèsent conjointement sur la création contemporaine et sa réception.
Mais à l'inverse, comment comprendre ce qui a lieu, quand il se passe quelque chose, lorsqu'on est saisi par un livre, dévoré vif par un tableau, déplié par une mélodie – simultanément foudroyé et reconstruit par la rencontre avec une œuvre ?
Baptiste Morizot et Estelle Zhong Mengual enquêtent sur le pouvoir de l'art à nous transformer et à se constituer en un lieu privilégié de rencontres individuantes : celles qui nous font.

D'un échec de communication répété avec les oeuvres 59°

Dans la fabrique du mythe (17)
- L'idisponibilité des oeuvres interprétée comme une déficience du spectateur (17)
- Un présupposé problématique : l'art comme libération et puissance critique (22)
- Un art sous double contrainte : liberté absolue et liberté critique (25)
- L'art comme réflexivité sur le médium (31)
- Une compréhension dépolitisée des avant-gardes (36)

L'art contemporain contre la digestion (43)
- Un modèle de production devenu habitude de réception (46)
- La tentation de l'indisponibilité démêlée (49)
- Comment rendre une oeuvre indigeste : la vidéo, cas paradigmatique (51)
- La tentation du digestible dans la création même (64)
- L'anecdote comme discours produit par la t.a.c (71)
- Fausse rencontre et non-rencontre (75)

L’œuvre comme rencontre individuante (81)
- L'expérience vécue de la rencontre (81)
- L'erreur de l'esthétique : individu vs individuation (83)
- Les conditions de la rencontre individuante (88)
- La rencontre comme individuation collective (103)
- Comment l'art nous transforme : le pouvoir de forme des singularités (109)
- La rencontre comme tension de forme et résolution de problème (113)
- Combler les besoins vs inventer des vouloirs (117)
- Penser la réception comme relation : une autre cartographie de l'esthétique (120)

À la recherche des conditions d’une rencontre individuante : une étude de cas (127)
- Exacerber l'oeuvre comme relation (130)
- Inscrire la relation à l'oeuvre dans une durée longue (134)
- Quelques stratégies de la rencontre (135)
- L'oeuvre d'art comme dispositif de rencontre individuante organisée (144)
Qu'est-ce qui fait que quelque chose se passe devant une œuvre – ou qu'il ne se passe rien ?
À la croisée de la philosophie et de l'histoire de l'art, ce livre part sur la piste de nos relations à l'art contemporain, et aux œuvres d'art en général.
Et d'abord, une énigme : pourquoi avons-nous souvent l'impression, à l'occasion d'expositions d'art contemporain, que les œuvres sont indisponibles ? Comme si elles n'étaient pas là pour être ...

SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES ; PHILOSOPHIE ; ART CONTEMPORAIN ; ESTHÉTIQUE ; PERCEPTION ; PHILOSOPHIE DE L'ART

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y

- 325
Cote : ESA-042

Avec la mondialisation, nous voilà projetés dans l'"après-ville", dans le "post-urbain ". En Europe, nous étions habitués à voir la ville comme un espace circonscrit dans lequel se déroule une vie culturelle, sociale, politique rendant possible une intégration civique des individus... Nous voici maintenant confrontés d'un côté à des métropoles gigantesques et sans limites, et de l'autre au surgissement d'entités globales, en réseau, coupées de leur environnement. La reconfiguration en cours suscite l'inquiétude : allons-nous assister au déclin irrémédiable des valeurs urbaines qui ont accompagné l'histoire européenne? La fragmentation et l'étalement chaotique vont-ils inéluctablement l'emporter? Sommes-nous condamnés à regretter la polis grecque, la ville de la Renaissance, le Paris des Lumières, les grandes villes industrielles du XIXe siècle? En rappelant les éléments distinctifs qui composent l'expérience urbaine, Olivier Mongin pose les fondements d'une réflexion d'aujourd'hui sur la condition urbaine. Nous vivons à une époque où l'information s'échange immatériellement selon des flux plutôt que dans des lieux: comment, dans ces conditions, refonder des lieux urbains accordés à notre temps ? après-ville", dans le "post-urbain ". En Europe, nous étions habitués à voir la ville comme un espace circonscrit dans lequel se déroule une vie culturelle, sociale, politique rendant possible une intégration civique des individus... Nous voici maintenant confrontés d'un côté à des métropoles gigantesques et sans limites, et de l'autre au surgissement d'entités globales, en réseau, coupées de leur environnement. La reconfiguration en cours suscite l'inquiétude : allons-nous assister au déclin irrémédiable des valeurs urbaines qui ont accompagné l'histoire européenne? La fragmentation et l'étalement chaotique vont-ils inéluctablement l'emporter? Sommes-nous condamnés à regretter la polis grecque, la ville de la Renaissance, le Paris des Lumières, les grandes villes industrielles du XIXe siècle? En rappelant les éléments distinctifs qui composent l'expérience urbaine, Olivier Mongin pose les fondements d'une réflexion d'aujourd'hui sur la condition urbaine. Nous vivons à une époque où l'information s'échange immatériellement selon des flux plutôt que dans des lieux: comment, dans ces conditions, refonder des lieux urbains accordés à notre temps ?
Avec la mondialisation, nous voilà projetés dans l'"après-ville", dans le "post-urbain ". En Europe, nous étions habitués à voir la ville comme un espace circonscrit dans lequel se déroule une vie culturelle, sociale, politique rendant possible une intégration civique des individus... Nous voici maintenant confrontés d'un côté à des métropoles gigantesques et sans limites, et de l'autre au surgissement d'entités globales, en réseau, coupées de ...

MONDIALISATION ; SOCIOLOGIE ; SOCIOLOGIE URBAINE

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- 384
Cote : ESA-044

Aux yeux des Français, les États-Unis sont souvent un parfait repoussoir en matière de politique sociale et urbaine. Notre « politique de la ville » volontariste, qui a multiplié d'en haut les lois obligeant à la mixité sociale, semble justement faite pour éviter les « dérives à l'américaine » de nos cités. Or un regard attentif et une enquête sérieuse démentent ces vues avantageuses. On découvre qu'aux États-Unis une vraie politique de la ville est à l'oeuvre. Elle est plus incitative que volontariste. Elle fait davantage confiance aux gens et, ce faisant, elle leur apprend à se faire mutuellement confiance et à acquérir confiance en eux-mêmes. Du coup, cette politique fait parfois voir les limites de la nôtre : nous avons une propension à traiter des lieux plutôt qu'à aider les gens à se remettre en mouvement. Ce livre éclairant peut nous aider à sortir d'une certaine complaisance, à voir les limites de nos politiques et à découvrir de nouveaux moyens d'action.
Aux yeux des Français, les États-Unis sont souvent un parfait repoussoir en matière de politique sociale et urbaine. Notre « politique de la ville » volontariste, qui a multiplié d'en haut les lois obligeant à la mixité sociale, semble justement faite pour éviter les « dérives à l'américaine » de nos cités. Or un regard attentif et une enquête sérieuse démentent ces vues avantageuses. On découvre qu'aux États-Unis une vraie politique de la ville ...

POLITIQUE DE LA VILLE

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- 214
Cote : P-097

Au Moyen Âge, on n’hésite pas à utiliser les pierres des temples romains pour construire des édifices nouveaux. Personne ne s’en offusque : on n’attache pas un prix particulier à la conservation des constructions du passé. On ne considère pas qu’elles constituent un patrimoine historique, qu’il faut préserver. Le contraste est frappant avec notre époque, où ce terme de patrimoine est devenu un mot clé de notre société mondialisée. Or, sa signification est loin d’être claire, comme le montrent les textes ici réunis. Cette anthologie regroupe en effet les documents essentiels, qui du XIIe au XXe siècle, nous permettent de comprendre comment a émergé et s’est développé le souci de la préservation des édifices; mais surtout les confusions et les amalgames dangereux qui sont attachés à la notion de « patrimoine », omniprésente aujourd’hui. Se voulant engagée, l’anthologie est précédée par une introduction fondatrice où Françoise Choay désigne le combat qu’il faut mener, en cette époque de mondialisation, contre tout ce qui tend à transformer notre cadre bâti en simple objet de profit, ou de musée.
Au Moyen Âge, on n’hésite pas à utiliser les pierres des temples romains pour construire des édifices nouveaux. Personne ne s’en offusque : on n’attache pas un prix particulier à la conservation des constructions du passé. On ne considère pas qu’elles constituent un patrimoine historique, qu’il faut préserver. Le contraste est frappant avec notre époque, où ce terme de patrimoine est devenu un mot clé de notre société mondialisée. Or, sa ...

PATRIMOINE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL

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- 420
Cote : PAY-117

Le sujet de ce livre est la France.
Le but est de comprendre ce que ce mot désigne aujourd'hui et s'il est juste qu'il désigne quelque chose qui, par définition, n'existerait pas ailleurs." Ainsi commence "Le Dépaysement". Mais pour répondre à cette question, à cette question d'identité, l'auteur, au lieu d'écrire un essai, a pendant trois ans parcouru le territoire, prélevant dans le paysage lui-même, sur le motif, les éléments d'une possible réponse.
Les frontières, les rivières, les montagnes, les écarts entre nord et midi, mais aussi les couches de sédimentation de la conscience historique, ce sont tous ces éléments rencontrés en chemin qu'il restitue au sein d'un livre qui veut être avant tout la description d'un état de choses, à un moment donné. Cette "coupe mobile" fera donc passer le lecteur par une grande variété de lieux, des plus marqués par l'Histoire aux plus discrets, en même temps qu'il croisera quantité de noms et verra, sur pièces, se tendre les enjeux d'une question que l'actualité politique récente a fait resurgir, mais en la défigurant.
Le sujet de ce livre est la France.
Le but est de comprendre ce que ce mot désigne aujourd'hui et s'il est juste qu'il désigne quelque chose qui, par définition, n'existerait pas ailleurs." Ainsi commence "Le Dépaysement". Mais pour répondre à cette question, à cette question d'identité, l'auteur, au lieu d'écrire un essai, a pendant trois ans parcouru le territoire, prélevant dans le paysage lui-même, sur le motif, les éléments d'une possible ...

TERRITOIRES ; PAYSAGE ; IDENTITE

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- 390
Cote : ESA-076

Gregory Bateson. Erving Goffman. Edward T. Hall. Paul Watzlawick. Des noms auxquels s'accrochent des titres ou des idées fortes - la "double contrainte" (ou double bind), la "présentation de soi", la "dimension cachée", l'"école de Palo Alto", etc. En quoi ces auteurs sont-ils liés entre eux ?
Cet ouvrage, devenu un classique, se présente comme l'introduction à ce vaste courant que l'on peut appeler celui de la "Nouvelle Communication", dominant dans le paysage des sciences sociales anglo-saxonnes : la communication n'y est plus définie comme une simple affaire à deux, mais comme un système circulaire, un orchestre dont chacun fait partie et où tout le monde joue en suivant une partition invisible.
Une ample introduction est ici suivie d'un choix de textes fondamentaux et d'entretiens.
Gregory Bateson. Erving Goffman. Edward T. Hall. Paul Watzlawick. Des noms auxquels s'accrochent des titres ou des idées fortes - la "double contrainte" (ou double bind), la "présentation de soi", la "dimension cachée", l'"école de Palo Alto", etc. En quoi ces auteurs sont-ils liés entre eux ?
Cet ouvrage, devenu un classique, se présente comme l'introduction à ce vaste courant que l'on peut appeler celui de la "Nouvelle Communication", dominant ...

INFORMATION ; GROUPE ; THÉORIE DE L'INFORMATION ; THEORIE DE LA COMMUNICATION ; PALO ALTO

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- 410
Cote : ESA-079

A l'heure de la réforme territoriale, peut-on encore croire aux pouvoirs des territoires, de la commune à l'Europe, en passant par les intercommunalités, les départements, les régions, les Etats, alors que les sociétés s'en affranchissent de plus en plus dans les comportements individuels comme dans les aspirations collectives ? Quels nouveaux défis sont posés aux mondes politiques des territoires (élus, administratifs et techniciens, citoyens) par la mobilité, les réseaux, la pluralité territoriale, l'étalement urbain, la mondialisation, la crise des ressources publiques, l'économie des biens publics ? Comment faut-il concevoir désormais le rôle des territoires dans l'action publique, qu'elles qu'en soient les échelles, dans un monde qui change vite ? Cette seconde édition de " l'essai sur l'interterritorialité ", qui a stimulé le débat dans les collectivités locales comme dans les équipes de recherche, fait le point sur la quête permanente d'une réforme institutionnelle des territoires, et étoffe la thèse de l'interterritorialité grâce à l'expérience concrète des acteurs de plusieurs grands territoires en France, sur fond d'expériences européennes. Sciences et pratiques des territoires se combinent pour renouveler la pensée de l'espace géographique et l'action qui le produit.
A l'heure de la réforme territoriale, peut-on encore croire aux pouvoirs des territoires, de la commune à l'Europe, en passant par les intercommunalités, les départements, les régions, les Etats, alors que les sociétés s'en affranchissent de plus en plus dans les comportements individuels comme dans les aspirations collectives ? Quels nouveaux défis sont posés aux mondes politiques des territoires (élus, administratifs et techniciens, citoyens) ...

ANTHROPOLOGIE

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- 268 p
Cote : ESA-106

Comment la réflexion et la liberté, la logique et la volonté, peuvent-elles surgir de la vie du corps ?
Que suis-je, quelle est ma destinée, si mon corps est non-sens, s'il n'a d'autre avenir que la mort ?. Si la pensée refuse ces interrogations, elle relègue le corps dans les faux-problèmes d'une philosophie ignorant la biologie et enlisée dans l'expérience, elle risque de s'aliéner en un jeu stérile.
En fait, affirmer que la vie et la mort ne concernent pas le discours conceptuel, c'est cependant souscrire à une philosophie du corps. L'opinion de chacun est ici solidaire de représentations issues de certaines écoles philosophiques : nul ne peut en retarder l'examen lucide, critique, rigoureux.
Car le plus souvent, sinon toujours, le corps est compris comme absolu (de même que Dieu est conçu, même si Dieu est nié). Que peut alors répondre le philosophe à la question qui hante nos esprits depuis que le christianisme nous interroge : la résurrection de la chair a-t-elle un sens, est-elle possible ?
Comment la réflexion et la liberté, la logique et la volonté, peuvent-elles surgir de la vie du corps ?
Que suis-je, quelle est ma destinée, si mon corps est non-sens, s'il n'a d'autre avenir que la mort ?. Si la pensée refuse ces interrogations, elle relègue le corps dans les faux-problèmes d'une philosophie ignorant la biologie et enlisée dans l'expérience, elle risque de s'aliéner en un jeu stérile.
En fait, affirmer que la vie et la mort ne ...

CORPS HUMAIN ; PHILOSOPHIE

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- 480 p
Cote : URB-166

Places royales et faubourgs brumeux, enceintes, barricades et passages, c'est la trame serrée des quartiers parisiens qui organise cette déambulation proposée aux flâneurs des rues et des livres. On y voit naître l'éclairage public, l'enfermement des pauvres et des fous, le numérotage des maisons, les terrasses de cafés et la police de proximité. Du Marais des Précieuses au XIe arrondissement des " branchés ", on assiste aux migrations de la mode, à l'apparition de microvilles dans la ville, celles de Scarron, de Des Grieux, de Desmoulins, celles de Gavroche, de Baudelaire et de Manet, d'Apollinaire, celles encore de Nadja, de Doisneau ou d'Anna Karina. Mais les vrais héros du livre, ce sont des anonymes, les architectes du désordre qui, de génération en génération, se sont transmis l'art d'empiler les magiques pavés, démontrant à chaque fois la force de rupture de Paris.
Places royales et faubourgs brumeux, enceintes, barricades et passages, c'est la trame serrée des quartiers parisiens qui organise cette déambulation proposée aux flâneurs des rues et des livres. On y voit naître l'éclairage public, l'enfermement des pauvres et des fous, le numérotage des maisons, les terrasses de cafés et la police de proximité. Du Marais des Précieuses au XIe arrondissement des " branchés ", on assiste aux migrations de la ...

URBANISME ; URBANISATION ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; ARCHITECTURE ; PROJET URBAIN ; POLITIQUE URBAINE ; DEVELOPPEMENT URBAIN

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- 481 p
Cote : RO-002

Souvenirs d'un architecte hors du commun, Fernand Pouillon.
Dans une chambre où il s'est réfugié à Fiesole, un évadé parle. Il est recherché par toutes les polices du monde. Il s'appelle Fernand Pouillon.
Sa réussite a été sensationnelle ; il a couvert de ses chantiers la France, l'Algérie, l'Iran. Et finalement, le CNL sombre "affaire" l'a plaqué au sol. Livré par la presse en pâture à l'opinion publique, il veut à son tour, sans contrainte, dire sa vérité, dire tout : ses débuts à Marseille, les étapes d'une carrière fulgurante, les hommes qu'il a affrontés, les succès qui lui ont révélé sa solitude intérieure, les avanies qui l'ont forcé jusqu'en son recreux. Le récit continue en prison : c'est le journal d'un "grand procès" où l'on découvre l'envers du décor...
Depuis lors, le bâtisseur a repris son oeuvre ; il a fait sortir de terre des dizaines de chantiers. Mais ceci est une autre histoire.
Fernand Pouillon est décédé le 24 juillet 1986.
Souvenirs d'un architecte hors du commun, Fernand Pouillon.
Dans une chambre où il s'est réfugié à Fiesole, un évadé parle. Il est recherché par toutes les polices du monde. Il s'appelle Fernand Pouillon.
Sa réussite a été sensationnelle ; il a couvert de ses chantiers la France, l'Algérie, l'Iran. Et finalement, le CNL sombre "affaire" l'a plaqué au sol. Livré par la presse en pâture à l'opinion publique, il veut à son tour, sans contrainte, ...

ROMAN ; ARCHITECTE

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- 144 p
Cote : E-214

Si, la France va bien ! Partout, aux quatre coins du pays, des femmes et des hommes inventent, innovent, expérimentent, réussissent. Quoi ? De nouvelles façons de vivre, de travailler ensemble, de coopérer, de s’émanciper.
C’est une mutation tranquille qui est à l’œuvre, ignorée par les grands médias : elle n’en est pas moins réelle et vigoureuse.
Armé de son sac à dos et de son carnet de notes, le jeune journaliste Emmanuel Daniel a été à la rencontre de ces aventuriers et aventurières d’un nouveau monde. Nul besoin d’aller en Papousie ou au Kamtchaka pour explorer une contrée méconnue : la ré-invention du quotidien. Ce voyage au pays des alternatives conduit à des entreprises sans patron, des démocraties villageoises, des monnaies indépendantes, des écoles émancipatrices, des habitats participatifs
Au fil des histoires alertes que l’auteur nous raconte ici, l'optimisme renaît. Car le plus extraordinaire dans son récit, c’est qu’on découvre que chacun peut aussi participer à transformer l’état des choses.
Si, la France va bien ! Partout, aux quatre coins du pays, des femmes et des hommes inventent, innovent, expérimentent, réussissent. Quoi ? De nouvelles façons de vivre, de travailler ensemble, de coopérer, de s’émanciper.
C’est une mutation tranquille qui est à l’œuvre, ignorée par les grands médias : elle n’en est pas moins réelle et vigoureuse.
Armé de son sac à dos et de son carnet de notes, le jeune journaliste Emmanuel Daniel a été à la ...

ÉNERGIE ; TECHNIQUE ALTERNATIVE ; ENVIRONNEMENT ; ECOLOGIE ; CITOYENNETÉ ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; RECITS PERSONNELS ; MONDIALISATION

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y

- 138 p
Cote : E-215

Le changement climatique, à qui la faute ? Vous, moi, les Etats, les riches, les pauvres ? Oui, mais pas seulement. Derrière les émissions de gaz à effet de serre, des multinationales et des banques s’obstinent au nom du profit à maintenir le vieux monde, fondé sur le charbon, le pétrole ou le gaz. Elles financent les climato-sceptiques et influencent les gouvernements par un lobbying d’autant plus intense qu’il est caché. Elles soutiennent une agriculture industrielle désastreuse et une déforestation dramatique. Elles brandissent l’éco-blanchiment pour détourner les regards.

Dans cette enquête fourmillant d’informations méconnues, Nicolas de La Casinière démonte les ressorts de la mécanique qui empêche une lutte résolue pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une mécanique où de grandes groupes français, comme Total, Société générale ou Michelin, jouent un rôle notable. Pour enrayer le changement climatique, il faut empêcher de nuire les saboteurs du climat. En commençant par bien les connaître.
Le changement climatique, à qui la faute ? Vous, moi, les Etats, les riches, les pauvres ? Oui, mais pas seulement. Derrière les émissions de gaz à effet de serre, des multinationales et des banques s’obstinent au nom du profit à maintenir le vieux monde, fondé sur le charbon, le pétrole ou le gaz. Elles financent les climato-sceptiques et influencent les gouvernements par un lobbying d’autant plus intense qu’il est caché. Elles soutiennent une ...

ÉNERGIE ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; ENVIRONNEMENT ; ECOLOGIE ; CITOYENNETÉ ; CLIMAT ; MONDIALISATION ; ÉNERGIE FOSSILE ; PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT ; REDUCTION DES EMISSIONS DE CO2

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Cote : PEV-191

Cet ouvrage parle aussi bien de l'écaille de la tortue que des éclaboussures de lait, il parle aussi des galaxies,des plantes,des animaux, d'architecture, d'art...
Le lien entre ces centres d'intérêt divers, c'est la structure sous-jacente.
Sommes-nous en présence d'une spirale, d'un branchement, d'une explosion, d'un méandre? En fait, quelles sont les grandes structures de base dans la nature ?, de nombreuses photographies et des croquis illustrent le propos.

Espace et grandeur (11)
- La nature de l'espace (14)
- Courbures (16)
- Polyèdres et mosaïques (19)
- L'effet d'échelle (24)

Structures (41)
- Structures de base (43)
- Topologie (53)

Ecoulements (57)
- Turbulence (59)
- Nombre de Reynolds (61)
- La turbulence dans l'univers (64)
- allées de vortex (69)
- contraintes et écoulement (70)
- Les contraintes dans le bois et l'os (76)
- Contraintes, écoulements et art de l'ingénieur (79)

Spirales, méandres et explosions (82)
- Spirales (85)
- Méandres (94)
- Explosions (100)

Branchements (109)
- Ramifications aléatoires des rivières et des arbres (111)
- Topologie des ramifications aléatoires (118)
- Economie de travail et angle de branchement (119)
- Arbres à motifs répétés (125)
- Arbres théoriques (129)

Arbres (133)
- La tuyauterie des arbres (136)
- Evolution des arbres (138)
- Méristèmes (143)
- Modèles de base de croissance (145)
- Phyllotaxie spirale (152)

Bulles de savon (163)
- Films de savon (135)
- Découpages (167)
- Surfaces qui se rétrécissent (171)
- Grains dans les cristaux (175)
- Ecume (178)
- La mathématique des bulles (184)

Empilements et craquelures (193)
- Empilement compact (195)
- Craquelures (198)
- Analogies géologiques (201)
- De nombreuses causes (207)
Cet ouvrage parle aussi bien de l'écaille de la tortue que des éclaboussures de lait, il parle aussi des galaxies,des plantes,des animaux, d'architecture, d'art...
Le lien entre ces centres d'intérêt divers, c'est la structure sous-jacente.
Sommes-nous en présence d'une spirale, d'un branchement, d'une explosion, d'un méandre? En fait, quelles sont les grandes structures de base dans la nature ?, de nombreuses photographies et des croquis ...

PAYSAGE ; NATURE ; ART ; SCIENCES HUMAINES

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